Les Américains d’origine asiatique ont un QI supérieur aux Blancs et aux Noirs…

Illustration : QI moyen par pays

… QI et tests d’intelligence : la science serait-elle raciste ?

 

Le psychologue américain Bo Winegard : aucun psychométricien ne conteste qu’il y a un écart standard de QI entre Noirs et Blancs aux Etats-Unis se situant entre 10 et 15 points
 

« En tant que généticien, il n’est simplement plus possible d’ignorer des différences moyennes entre “races”.

.

Holalala ! L’éminent David Reich, professeur à Harvard a utilisé le mot interdit, celui qui fait peur, celui que l’on a retiré de la Constitution pour que le racisme disparaisse à tout jamais, celui qui rappelle les heures-les-plus sombres blablabla…

Pour un Français, et particulièrement pour un journaliste d’un hebdo subventionné, c’est dur à entendre ! Chez nous, heureusement, il n’y a pas de statistiques ethniques pour affirmer qu’un Congolais ou un Soudanais aurait moins de chance d’être reçu à Polytechnique ou à l’ENS qu’un Blanc comme disons… Cédric Villani. Qu’on se le mette dans le crâne une bonne fois pour toutes – et même si Rokhaya Diallo ou Lilian Thuram en parlent tout le temps – il n’y a pas de races et nous sommes tous pareils.

Et puis, c’est vrai, on nous l’avait affirmé, les migrants campant à Calais ou porte de la Chapelle sont tous ingénieurs ou médecins. Ce sont eux qui nous soigneront et paieront nos retraites.

Et, c’est vrai aussi, tous les NTR (« Nique ta race ») et autres « Zyva » de banlieue brillent par leur intelligence cognition. Ce sont nos chances pour la France.

.

La preuve par corrélation : depuis 40 ans, l’immigration augmente et le pourcentage de réussite au bac, aussi (il frôlera bientôt les 100%). Il y a un lien, non ? D’ailleurs – Christine Tasin sera sûrement d’accord avec moi – tout le monde peut réussir l’agrégation, que l’on vienne du bled algérien, d’une madrasa pakistanaise ou du pays Dogon.

Toute cette polémique de Blancs, c’est rien que du racisme !

.

Vers le retour d’une science raciste ?

Les différences de QI entre groupes ethniques font aujourd’hui l’objet de houleuses polémiques dans les pays anglo-saxons.

Par Guillaume Grallet et Thomas Mahler

« En tant que généticien, il n’est simplement plus possible d’ignorer des différences moyennes entre “races”. »

Le 23 mars 2018, David Reich, éminent professeur à Harvard, publie une tribune dans le New York Times pour dire qu’il devient scientifiquement de plus en plus intenable de nier des différences « substantielles » entre les populations humaines, y compris cognitives.

.

« Est-ce que le QI, l’intelligence ou le nombre d’années d’études sont influencés par l’éducation ? Bien sûr. Mais est-ce que cela mesure également des caractéristiques cognitives et comportementales ? Presque certainement. Et comme tous les caractères influencés par la génétique diffèrent d’une population à l’autre (…), les influences génétiques sur le comportement et la cognition varieront également d’une population à l’autre. »

.

Difficile de soupçonner David Reich de racisme. Spécialiste de l’ADN fossile, le chercheur de confession juive a égratigné les discours de pureté nationale en démontrant que le melting-pot génétique avait commencé bien des siècles avant les sociétés multiculturelles modernes.

.

Mais pour la journaliste scientifique britannique Angela Saini, ce n’est rien de moins qu’un retour en force de la « science raciale ».

Aujourd’hui, le secteur de l’intelligence est peuplé de gens aux idées racistes qui ne sont absolument pas scientifiques, certains d’entre eux étant des spécialistes en sciences politiques. Dire que ce genre de recherches sur l’intelligence peut se faire sans aucune motivation politique est simplement faux. Les eugénistes voulaient justement chercher qui est le plus intelligent et qui est le plus faible mentalement, pour que les plus faibles soient découragés d’avoir des enfants », nous explique Angela Saini.

En 1994, le politologue libertarien Charles Murray et le psychologue Richard J. Herrnstein publiaient « The Bell Curve ». Selon eux, le QI est un meilleur indicateur que le statut socio-économique des parents pour prédire les revenus ou le fait de basculer dans la criminalité. Dans une dernière partie qui mit le feu aux poudres, le duo abordait les différences ethniques, avançant que les Américains d’origine asiatique ont un QI supérieur aux Blancs et aux Noirs…

.

Sulfureux. Vingt-cinq ans plus tard, l’ouvrage est toujours aussi sulfureux et… populaire. « Ce livre a été discrédité. Beaucoup de personnes que les auteurs citaient étaient des contributeurs de Mankind Quarterly. Mais, sur Internet, on continue à le brandir », assure Angela Saini. Professeur assistant au Marietta College, le psychologue américain Bo Winegard fait partie de ces universitaires pour qui le sujet du « QI et des races » ne devrait nullement être tabou.

« Je suis un scientifique cognitiviste et je pense qu’il est utile de séparer des groupes quand ça nous permet de mieux comprendre la réalité et le monde qui nous entoure, nous dit-il. Aucun psychométricien ne conteste qu’il y a un écart standard de QI entre Noirs et Blancs aux Etats-Unis se situant entre 10 et 15 points, que ce soit Nicholas Mackintosh, Nathan Brody ou Earl B. Hunt. Parmi les scientifiques qui connaissent ces sujets, le seul débat concerne la cause de cet écart et l’évaluation de la part d’environnemental et de génétique. » Bo Winegard ne comprend pas pourquoi nous sommes choqués par ce genre de propos. « Je suis bien sûr fermement en faveur d’une égalité morale et dans la loi. Mais ce n’est pas la même chose que de dire que tous les humains sont identiques. Cela ne devrait pas être un sujet problématique. » 

.

… En décembre 2018, son ami le sociologue britannique Noah Carl s’est vu retirer une bourse à Cambridge à la suite d’une pétition de 500 universitaires contre ses prises de position « éthiquement suspectes et méthodologiquement défectueuses » sur la race et l’intelligence. Mais Noah Carl a reçu le soutien du psychologue Jonathan Haidt ou de Peter Singer, pape de l’antispécisme, au nom de la liberté académique.

Depuis, le statisticien Nassim Nicholas Taleb est entré en fronde contre la notion même de QI (voir p. 183) et a accusé le magazine en ligne Quillette, qui défend Noah Carl, de poursuivre un programme « néonazi » sous couvert de prôner la liberté d’expression. « Taleb est très intelligent, mais il fait du QI quelque chose de bien trop moral et politique, alors que c’est une question empirique », rétorque Winegard.

.

SAT. Vu de notre France républicaine, où les statistiques ethniques sont prohibées, ce débat peut paraître insensé. Même le chirurgien et auteur de « La guerre des intelligences », Laurent Alexandre, qui ne jure que par le QI, alerte « contre les dérives d’une telle discussion sur des différences de capacités intellectuelles entre groupes communautaires ». Mais il souligne aussi que la logique communautaire et la discrimination positive le remettent invariablement sur la place publique :

« Le procès fait à Harvard par les associations d’étudiants d’origine asiatique concerne directement cette problématique, puisque ces élèves d’origine asiatique cherchent à démontrer que, vu leurs résultats au SAT [l’examen standardisé utilisé pour l’admission aux universités, qui est fortement corrélé au QI, NDLR], ils devraient avoir beaucoup plus d’admissions à Harvard et que les communautés blanches, hispaniques et noires leur prennent des places. Ces étudiants ont des résultats au SAT nettement supérieurs. Pour être acceptés dans les meilleures universités, les Asiatiques devaient – du fait de la politique de discrimination positive – obtenir en moyenne 140 points de plus que les étudiants blancs, 270 points de plus que les Hispaniques et 450 points de plus que les Afro-Américains aux tests intellectuels SAT (sur une échelle de 2 400 points). »

… Pour Angela Saini, les Américains d’origine asiatique « ont simplement tendance à travailler plus en moyenne »

https://www.lepoint.fr/societe/vers-le-retour-d-une-science-raciste-13-09-2019-2335481_23.php

La journaliste anglaise Angela Saini

 1,210 total views,  1 views today

image_pdf

16 Comments

  1. Je suis désolée de dire cela mais un QI ne veut rien dire en lui-même (je sais, à l’Education Nationale on aime bien la mesure des QI) même si personnellement, je suis d’accord avec cette idée qu’il y a bien effectivement une part innée au niveau des capacités intellectuelles.
    Dans les tests de QI, l’intelligence telle qu’on l’entend n’est pas exclusivement mesurée, il en va aussi des capacités d’adaptation sociale, etc…. En fait, un test ne mesure que les capacités que l’on veut qu’il mesure et rien d’autre.
    Les tests dits « d’intelligence » qui mesurent le QI sont aussi construits selon la culture donnée (c’est un point très important), le contexte de l’instant T de la mesure compte aussi, ainsi que l’influence de l’examinateur,….etc…. Il va sans dire qu’il en est de même de l’émotionnel (qui n’a pas raté ses examens car il perd tous ses moyens quand il les passe ? Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas « intelligent »).
    On peut remarquer aussi que culturellement, les asiatiques surinvestissent le côté intellectuel, ceci influence très certainement les résultats qui dépendent aussi de la capacité de concentration. Mais est-ce vraiment de l »‘intelligence » que l’on a mesuré dans tous les cas ?
    Les Américains adorent ce genre de tests, ils surinvestissent les mesures et le cognitif, mais cela n’est qu’une appréciation « de surface » qui ne dit rien des capacités réelles de la personne. L’affectif joue aussi un rôle que l’on ne peut nier.
    On a vu aussi des personnes qui vivent dans un milieu culturellement privilégié et qui ne font pas preuve pour autant d’intelligence et des personnes qui vivent dans des milieux difficiles qui réussissent aidés d’une intelligence supérieure.
    On n’a jamais réussi en fait à mesurer la véritable part de l’inné et de l’acquis au niveau de la mesure de l’intelligence (cf. les expériences sur les jumeaux monozygotes au début du XXe siècle, qui ont donc le même patrimoine génétique, qui montrent quand même des différences).
    Comprendre donc que cela est très complexe et que ce n’est que la mesure du QI n’est qu’un « repère » à analyser dans tout un contexte.
    Alors, je ne sais pas comment ces tests, et surtout quels tests, ont été réalisés, mais je garde beaucoup de recul quant aux résultats.

  2. C’est pour quand,la première voiture de marque Africaine.? Et tous ces musulmans,qui n’ont rien d’autre chez eux,que ce que les Européens ont inventé. Et on fait venir ces ignards chez nous.? De quelle chance pour la France,nous parle ce Macron.?

  3. Je suis allé dans une école en afrique de l’est, où il y avait plein de races et de différentes nationalités, et beaucoup de ses derniers avaient de très bonnes notes, souvent supérieurs à beaucoup de blancs, surtout des blancs nés en afrique bizarrement, mais les blancs savaient comment un cric fonctionnait, contrairement à tous ces étudiants avec des ‘A’. Comme les perroquets ils sont excellent à faire la répète, mais dans d’autres situations ils étaient incapable de penser et d’action ciblée.

  4. David dobsky
    ‏ @dobsky33
    En réponse à @FredMOISYNGUYEN @RATPgroup et
    Par beau temps, un ingénieur en aérodynamique neutralise les essuie glaces d’un tramway afin d’améliorer le coefficient de pénétration dans l’air et ainsi abaisser la consommation de carburant.
    Quel beau geste pour la planète.
    :::: https://twitter.com/dobsky33/status/1172934295587102720

  5. Oups ! Aurais-je fait un mauvais – et stupide – procès à Angela Saini ? Si c’est le cas, toutes mes excuses…

  6. « … pour que les plus faibles soient découragés d’avoir des enfants », nous explique Angela Saini. »
    Ah, bon, ce ne sont pourtant pas eux qui ont le moins d’enfants ? Elle a enquêté cette journaliste avant de clamer de telles stupidités ? Et ça se prétend journaliste, de facto, d’investigation ! Enfin, si je me présentais comme diplômée en journalisme j’aurais au moins fait de l’investigation poussée. Faut croire qu’il n’est point difficile de nos jours d’avoir un titre sans… l’intelligence, surtout lorsque l’on s’essaie à la philosophie de café de gare ou tenir un discours de psychologue à deux balles en utilisant un sophisme médiocre. Pitoyable.

  7. Rien ne vaut la vérité ,
    toutes les idéologies sont souvent des impasses qui ne conduisent qu’à la destruction, la confusion délibérément imposée et au final ,une perte de temps,
    la recherche de la vérité est la seule chose qui peut faire avancer la science, si ça chiffonne les susceptibilités, passons outre !

  8. paul – andre
    Ils copient peut etre, mais souvent en mieux………….
    Vivant aujourd’hui principalement en Asie, je confirme
    Rappelez vous
    Quand la Chine s’eveillera…………….

  9. Les asiatiques ont un QI supérieur aux Blancs et aux Noirs…
    ça, on le savait déjà, je ne dis pas ça parce que mes chats sont supérieurs, je dis ça parce que mes chats sont d’une race asiatique.
    (pour parodier un chat de race belge nommé Geluk)

  10. On peut constater,grâce à cette carte,qu’il y a donc bien une volonté de ne faire venir chez nous, que des tarés et des ignares (que des hommes jeunes),qui se chargeront,grâce à leur bestialité, de violer les jeunes Européennes, et ainsi,de détruire nos origines et notre peuple, en les engrossants de métis crépus aux yeux sombres,et au QI insignifiant. Désormais,j’en croise chaque jour,de ces migrants, qui hurlent et gesticulent dans tous les sens,et traînent la savate en ville, à épier le bon moment pour faire des saloperies. Tout cela est d’une extrême gravité,et ce salopard de macron est une véritable pourriture,de la pire espèce.

  11. Si les asiatiques ont le QI le plus élévé, pourquoi copient-ils tout ce que fait l’occident en matière technologique ?

  12. Excellent ! J’avais prévu un autre article sur le sujet. Je mettrai celui-ci en lien pour le retrouver facilement.

Comments are closed.