Mais c’est peut-être pire !
Si Château Rouge, la rue Myrrha donnent une image indéniable d’africanisation des quartiers Nord de Paris, le décor offert au visiteur ne se milite pas au remplacement progressif de la population. La fausse droite des Juppé, Chinaud, Decorte, et la vraie gauche des Vaillant, Brossat, Lejoindre, Lepetit, ont fait de ce quartier un laboratoire grandeur nature de la déglingue, dans lequel chacun joue sa partition.
A commencer par les « Blancs », visibles à certaines heures et toujours présents. Car notre ami Eric semble oublier que le foncier n’est pas encore africain. Seule une politique offensive de logement social permet de stabiliser une population africaine dans le Nord Est de Paris. Mais la journée, de nombreux CPF (les « chances pour la France ») viennent de banlieue pour faire des affaires dans le XVIII ème arrondissement. Là se trouve l’argent !
Pour revenir au foncier, la dépréciation immobilière par rapport à d’autres quartiers de Paris, permet encore l’accession à la propriété par des classes moyennes venues de toute la France : en pratique une population plutôt jeune, biberonnée aux Droits de l’Homme, que les mauvaises langues appelleront les « bobos ». Elle s’investit dans les œuvres de bienfaisance (elle n’a que l’embarras du choix avec l’afflux massif des clandestins !). Elle est adepte du « no borders », vote pour Mélenchon ou Besancenot, qui sévit encore dans le quartier. Le succès électoral de la députée gabono-française Obono, ne saurait s’expliquer autrement.
Elle nie l’insécurité, comme le montre le tract ci-dessous, nie les dérives de tout bord, croit au « vivre ensemble » et aux bienfaits du communautarisme multiculturel.
Pourtant, Il n’est pas difficile de constater que ces populations, françaises de souche, maghrébines, africaines, sri lankaises, pakistanaises, asiatiques… ne se fréquentent pas, malgré la volonté politique des pouvoirs publics de créer du « lien social » par tous les moyens et notamment grâce à la dite « démocratie locale », une institution sur laquelle il y aurait beaucoup de choses à dire !
Les bobos ont leurs bars, leurs restaurants, leurs commerces bio, tandis que les autres fréquentent les commerces de gros (souvent illégaux), les boutiques halal et les lieux de prière. L’acculturation n’est que fictive et c’est au plus fort d’imposer ses valeurs !
A cela s’ajoute l’apartheid scolaire : les nouveaux bourgeois voient bien les limites de l’acceptable, et tout en prônant le « vivre-ensemble », ils mettent leur progéniture dans les écoles privées plutôt de choisir l’école républicaine, qui pour le coup s’est fortement africanisée. L’intégration n’est même plus un objectif affiché. C’est aux populations « de souche » de s’adapter aux « cultures du monde ».
Pas de Gilets Jaunes ici et, comme le dit un maghrébin de Barbès dans la vidéo de Vincent Lapierre (acte XIX ) à la 14 ème minute 30 seconde : « tout Barbès est avec Macron ! ». Car le multiculturalisme est bien l’alliée du mondialisme.
Mais le paradis multiculturel vanté par Justine Henry, la référente de la République en Marche dans le XVIII ème, véhicule une image nettement moins flatteuse.
Le juteux commerce de drogue prospère dans un climat de permissivité bien inquiétant. Cela va du haut de gamme (le bobo quadra qui se fait livrer sa cocaïne à domicile) à la petite délinquance de rue avec des marchandises les plus variées, mais non moins nocives : shit, crack etc…
On ferme les yeux sur les dommages collatéraux : l’errance, les bagarres entre dealers, les agressions de passants, les vols, cambriolages et attaques au couteau des soi-disant mineurs isolés. On veut ouvrir de nouvelles salles de shoot, pour éviter la contagion à d’autres quartiers. La bourgeoisie a toujours su défendre ses intérêts !
Chaque jour au métro La Chapelle, s’installe impunément sur le trottoir un souk de vendeurs de rue, à l’intérieur duquel il est difficile de se frayer un passage. Certes, il y a bien quelques voitures de police, mais on se demande bien quelles consignes elles ont reçues de leurs supérieurs. Et si la presse ou les associations de défense des commerçants ne cessent de tirer la sonnette d’alarme, les solutions « bidon »proposées par les pouvoirs publics laissent rêveurs !
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-cafe-police-pour-tisser-des-liens-26-03-2019-8040273.php
A cela s’ajoute l’islamisation rampante du quartier, le voile qui devient la norme vestimentaire et un marqueur d’identité, le trafic de cigarettes de contrebande, à l’intérieur même des stations du métro, de jour comme de nuit. Voit-on cela en Afrique ?
Monsieur Zemmour, sans avoir beaucoup voyagé, je pense que Dakar est une ville plus policée !
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Le 18eme est devenu Arabo Africain.Les Français, même s’ils sont effectivement présents CHEZ EUX, sont néanmoins extrêmement minoritaires .Le grand remplacement ayant agi.