La taxe escrologique…
Sur la taxe, maKron dit ne pas en démordre !
Alors, c’est donc à nous, son projet de le tordre…
Français, il faut emplir les rues,
d’une grande colère en crue !!
Notre voix se levant, le voilà le contre ordre….
PACO. Haaa ça ira, ça ira, ça ira !
05/11/2018.
POLITIQUE – Après les ministres, et notamment le premier d’entre eux depuis le Vietnam, c’est Emmanuel Macron lui-même qui est entré dans la danse. Dans un entretien publié ce lundi 5 novembre par plusieurs quotidiens de l’Est de la France, le chef de l’État reprend à son compte l’argument écolo utilisé depuis plusieurs jours par ses proches pour défendre la hausse des taxes sur les carburants, notamment le gazole.
« Je préfère la taxation du carburant à la taxation du travail. Les mêmes qui râlent sur la hausse du carburant, réclament aussi qu’on lutte contre la pollution de l’air parce que leurs enfants souffrent de maladies« , déclare le président de la République. Il ajoute entendre la colère des Français mais « assume » une décision largement impopulaire qui ne sera pas remise en cause.
Si l’exécutif ne revient pas sur les futures hausses prévues en janvier 2019, c’est qu’il en va de la défense de l’environnement. En théorie, et au regard de la prise de conscience collective sur le sujet, cet argument pourrait faire mouche. « Cette mesure devrait être plus facile à faire accepter (que d’autres taxes) car de nombreuses enquêtes montrent l’attachement des Français à la protection de l’environnement« , estime ainsi auprès de l’AFP le sociologue Alexis Spire, directeur de recherche au CNRS.
La gauche dénonce un double discours
Pourtant, les premiers retours ne vont pas en ce sens, comme en témoigne le soutien à la mobilisation du 17 novembre qui est largement majoritaire dans l’opinion. Au-delà la réticence des Français pour la taxation verte qui s’apparente à ce que Ségolène Royal appelle « l »écologie punitive », des raisons liées à cette majorité explique que l’argumentation écolo ne passe pas. « Le grand public a l’impression qu’en fait il s’agissait de trouver certaines recettes et qu’on a utilisé l’argument écologique », estime l’économiste Mireille Chiroleu Assouline.
Même les écologistes n’accordent pas un bon point au gouvernement sur cette question. S’il défend le rattrapage diesel-essence (alignement progressif des taxes sur les deux carburant), Yannick Jadot réclame que l’argent collecté par ces taxes soient affectés à la transition écologique des transports. « Je demande au gouvernement de redonner ces 13 milliards au transport, à la mobilité, aux automobilistes. Les écologistes assument que le carbone, parce qu’il participe du dérèglement climatique, doit être davantage taxé. C’est ce gouvernement qui n’assume pas (…) Ce que fait Édouard Philippe, c’est de prendre l’argent des automobilistes pour renflouer les caisses liées à la baisse de l’ISF« , dénonçait en octobre la tête de liste EELV aux européennes sur France Info.
Dans le Budget 2019, seulement 19% du montant total des taxes payées sur les carburants seront affectés à la transition écologique.
Même argument dans la bouche de Delphine Batho, l’ancienne ministre de l’Écologie de François Hollande. « Le vrai reproche qui peut être fait au gouvernement actuel n’est pas de prélever la taxe carbone. C’est de ne pas l’utiliser au bénéfice exclusif de l’investissement écologique et de la réduction des inégalités environnementales », déplore-t-elle dans une tribune publiée sur Les Échos. Dans ce texte, elle critique aussi le double langage de l’exécutif.
Alors qu’il soutient la hausse des taxes sur les carburants, le gouvernement valide des forages pétroliers en Guyane ou confirme un avantage fiscal pour les biocarburants à base d’huile de palme. Deux décisions qui accréditent l’idée qu’Emmanuel Macron et son équipe n’en font pas assez pour l’écologie. C’est la conclusion que Nicolas Hulot avait tirée à la fin de l’été quand il avait démissionné avec fracas du gouvernement.
Pas de compensation à court terme
D’autres responsables politiques, venus de familles politiques dans lesquelles la défense de l’environnement est moins emblématique, c’est un argument social qui est mis en avant pour dénoncer les choix du gouvernement. « Il faut être sacrément déconnecté des réalités pour ne pas comprendre que taxer le carburant, c’est taxer les Français qui travaillent« , tacle par exemple Laurent Wauquiez après que le président de la République a dit dans la presse préférer « taxer la pollution que le travail ».
La droite accuse l’exécutif de s’attaquer une nouvelle fois aux Français des zones périphériques voire rurales qui n’ont bien souvent pas d’autre choix que de prendre leur voiture pour aller travailler. « Aujourd’hui, le mécontentement contre l’impôt se concentre particulièrement au bas de la hiérarchie sociale et dans les zones géographiques où les contribuables se sentent délaissés par les pouvoirs public », relève Alexis Spire.
En plus de la prime à la conversion qui est une mesure de moyen ou de long terme pour inciter à changer de voiture, Les Républicains réclament qu’un « chèque carburant » puisse être distribué chaque mois à ceux qui souffrent de la hausse des prix des carburants. Guillaume Peltier, le numéro 3 du mouvement demande qu’il atteigne 100 euros par mois pour « les 13 millions de Français qui n’ont pas accès aux transports en commun ». Cela s’inscrit dans la lignée du combat pour la défense des petites lignes SNCF qui avait émergé dans les premières semaines de débat sur la réforme ferroviaire.
Mais cette idée du chèque carburant est jugée « démagogique » par plusieurs ministres, selon qui, elle est incompatible avec la transition énergétique. Le gouvernement fait donc le pari risqué de finir par convaincre les Français du bien fondé de sa décision, sans contrepartie de court terme.
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maçon s’est un sacré manipulateur ,il joue sur tout les tableaux et mange a tout les râteliers ,et il veut se mettre avec les français qui manifeste contre la taxation des carburants ,pour mieux les entubé et les volé ,avec un grand coup de poignard dans leur dos comme l’islam ,il faut viré tout ses gouvernent de tout bord de la politique ,avant que le pire arrive ,la taxation des carburants le seul bute de faire crevé les pauvres au plus vite ,alors avant qu’ils nous face crevé nous les pauvres ,si on les fait crevé a notre tour ses riches
L’ennui , c’est que les routiers et les agriculteurs qui vont manifester le 17 novembre, ne le feront que pour obtenir une baisse de prix,
ceci mis à part, le reste, tout le reste qui a déclenché cette hausse irraisonnable et malhonnête, ils s’en fichent comme d’une guigne, ils ne voient que le très court terme,
une petite réduction et ils seront satisfaits
La prime à la conversion, encore un attrape-couillon, c’est juste une incitation pour relancer l’achat de voitures neuves, càd un coup de pouce à l’industrie automobile, rien à voir avec l’écologie !
Les nouveaux carburants, à l’huile de palme, ont été surnommés NECROCARBURANTS par les vrais écologistes, ceux qui se préoccupent de la déforestation massive de zones encore vierges de la planète,
La culture de l’huile de palme et la déforestation entrainent les catastrophes climatiques que l’on connait de plus en plus souvent et qui touchent toutes les zones : inondations, cyclones, vents violents, tsunamis…
La COP21 était vraiment un spectacle de clowns, qui se donnent l’air de faire qq chose,
Les taxes actuelles sont faites pour financer le grand remplacement, n’ont rien à voir avec l’écologie,
Où va l’argent ? NDA a répondu : » aux très riches, aux migrants, et à Bruxelles, »
Voilà où va votre argent difficilement gagné à la sueur de votre front
« Je préfère la taxation du carburant à la taxation du travail ».
Il a juste oublié au passage que, hormis les 3 millions de parigots, tout le reste de la France est quasiment obligé de prendre sa voiture pour bosser.
Il veut quoi l’idiot, 30 millions de chômeurs ?
Qu’attend-t-il pour mettre à la casse les milliers de véhicules gouvernementaux qui roulent tous au diesel ? Pompiers, ambulances, police, gendarmerie, voirie, poubelles, voitures de fonctions des « zélus » de tout poil, etc.
Ah ben non, ça c’est pas grave, c’est le contribuable qui paye en plus des taxes.