La chanteuse irlandaise Sinead O’Connor s’est convertie à l’islam et porte désormais le niqab. Certes, si Mme 0’Connor n’était pas une célébrité, ce « fait-divers » somme toute anodin et fréquent (il ne se passe pas un jour en Europe sans conversion à l’islam) serait passé inaperçu. Et pourtant, ce n’est pas anodin. Il y a là un phénomène de cause à effet.
La cause est la détestation de l’Etat d’Israël. L’effet est la conversion subite de O’Connor à l’islam.
Nourrie de pro-palestinisme gauchiste, le pro-palestinisme anti-israélien l’a irrémédiablement amenée à s’islamiser.
Comment-donc ? Il nous faut pour cela fait un petit saut dans l’Histoire.
Jusqu’en 1967 et la Guerre des Six-Jours, la grosse majorité des Français et des Européens avait pour Israël une réelle empathie, et même un solide attachement. Les Israéliens étaient vus comme le sel de la terre, portant le flambeau de l’espoir pour tous les petits peuples réduits à l’état de lambeaux et l’Etat d’Israël montrait la voie aux « damnés de l’Histoire », aux petits peuples opprimés du Proche-Orient (Assyriens, Chaldéens, Kurdes, Yazidis, Maronites, etc…) à revendiquer leur droit à l’auto-détermination et à la souveraineté dans un cadre étatique, à recouvrer leur patrie, leur liberté, leur dignité, leurs terres ancestrales, leur culture, leur langue, et leur patrimoine historique, saccagés, pillés, et volés par les conquérants et les prédateurs panarabistes-musulmans.
En défrichant et plantant des arbres, en faisant la cueillette des oranges, en asséchant les marécages, les Israéliens se disaient que l’existence de leur Etat était un sacré camouflet à tous ceux qui prônaient un déterminisme machiavélique exigeant de « s’adapter au verdict de l’Histoire » et aux oukases du vainqueur. Comme si une conquête armée impliquait une suprématie civilisatrice.
En se levant à l’aube pour la cueillette des oranges, les Israéliens refusaient obstinément l’idée perverse que l’existence d’un pays démarrait après une conquête, et que l’occupant était seul habilité à la ‘mise à zéro’ du compteur de l’Histoire. A travers les rayons du soleil qui leur brûlaient la peau, ils entrevoyaient une nouvelle conception du monde, celle de l’antériorité des droits des ‘peuples premiers’ sur leurs terres.
En dansant la hora– la bourrée locale – après une journée de dur labeur jusqu’au crépuscule, ils exigeaient la justice historique pour un peuple persécuté et spolié de sa terre. Ils osaient vouloir une humanité qui ne soit plus régie par la loi du plus fort mais du plus juste, et dans laquelle l’exploitation de l’homme par l’homme serait abolie. Dans ce but, ils fondèrent le kibboutz,cette collectivité égalitariste qui fut une des plus belles réalisations humaines. De jeunes volontaires, venus des quatre coins du globe pour participer à cette formidable expérience humaine où l’argent était banni, repartaient chez eux enthousiastes, extasiés et fascinés de ce qu’ils avaient vu et vécu.
Qui pouvait imaginer à l’époque que nous vivions le chant du cygne de cette empathie ? En quelques années en effet, la fascination pour l’idéal hébreu des Israéliens fut balayée. Le sionisme devint la risée de ceux qui lui octroyèrent désormais le sobriquet d‘expan-sionisme.
En tant que «fruit véreux du sionisme» dixit ces antisionistes, Israël devait être un État mis au ban des nations. Pis ! Le seul au monde dont la création était remise en cause. Et lorsqu’on concédait du bout des lèvres son droit à l’existence, c’était pour s’empresser d’ajouter avec un petit air contrit : «par complexe de culpabilité après la Shoah ». Et puis : «les Palestiniens ne doivent pas faire les frais de notre complexe envers les Juifs »! Une certaine propagande sournoise provoqua qu’en son for intérieur, tout commun des mortels en Europe contestait de plus en plus la légitimité intrinsèque, voire la légalité de l’État d’Israël.
Pourtant, lors de la déclaration d’Indépendance d’Israël en 1948, l’opinion occidentale avait manifesté de l’admiration pour ce petit État auquel personne ne donnait de chance de survie et qui avait miraculeusement vaincu la coalition arabe. On devait – même de mauvais gré – reconnaître que sa résurrection tenait bel et bien du miracle ! Traduite en termes laïques et rationnels, cette résurrection ne pouvait qu’interpeller les consciences. N’était-ce pas la première fois dans l’Histoire qu’un peuple chassé du pays de ses ancêtres y retournait, retrouvait sa terre désertifiée et la faisait refleurir à « la sueur de son nez » (c’est ainsi que la Bible le dit et non à « la sueur de son front») ? N’était-ce pas l’unique exemple d’un agrégat de cloportes qui recouvrait sa dimension de peuple, son État et sa souveraineté ?
Un peuple dispersé parmi les nations «telle une brebis parmi les loups», ayant perdu à tout jamais – semblait-il – sa patrie décomposée depuis deux mille ans, parvenait à retrouver à coups de pioches d’archéologie, son histoire, sa mémoire, son patrimoine, sa langue et sa culture ! Une ethnie réduite au statut de «congrégation religieuse décadente et fossilisée dans la liturgie de sa langue sacrée» (c’est ainsi que les Hébreux étaient perçus par les essayistes du XIXesiècle), qui fut souvent – si souvent – persécutée, meurtrie et amoindrie jusqu’à sa quasi extermination, réussissait à ranimer la sève de son arbre sec ! Si on y ajoutait la dimension de ce qu’on appelle « la Shoah», l’expression «renaître de ses cendres» prenait tout son sens.
C’est pourquoi dans les années 50 et aux débuts des années 60, l’opinion publique en France, penchait naturellement pour le camp israélien. Israël était perçu comme un pays minuscule mais au dynamisme surprenant, un ilot démocratique dans une région où régnait le féodalisme le plus rétrogradeet l’arbitraire des régimes panarabistes-musulmans dictatoriaux. Les Israéliens étaient regardés comme un petit peuple courageux luttant contre ses agresseurs. Le soutien au réactionnaire « camp arabe » (à l’époque on ne disait pas encore « palestinien »), était l’apanage des groupuscules néo-nazis et fascistes ou des lecteurs de la gazetteMinute.
Jusqu’aux premiers jours de la guerre de 1967, après que les menaces d’exterminations d’Israël proférées au Caire par Nasser furent reprises en chœur par l’ensemble des dirigeants du ‘Monde arabe‘, le bombardement foudroyant des bases aériennes égyptiennes fut naturellement appréhendé comme un acte israélien de légitime défense et pas le moins du monde une agression ou une attaque surprise en vue d’expansionnisme.
Et puis, quelque chose changea, imperceptiblement. Se posa alors la question sur le bien-fondé de la riposte au blocus de Nasser, à ses rodomontades de « détruire l’entité sioniste» et « de jeter tous les Israéliens à la mer». Est-ce que la riposte n’était pas « disproportionnée», dixit certains milieux de « gauche ».
Le public immature et versatile commença à osciller entre les deux camps, au rythme des évènements et des positions intempestives du Général de Gaulle qui entendait mener une politique tiers-mondiste déclarée et pro-arabe inavouée. Et puis l’hostilité envers Israël prit forme et s’emballa.
Après cette guerre éclair de 1967,et surtout depuis 1968 (et jusqu’aujourd’hui !), on assista à un revirement orchestré et véhiculé par des intellectuels de gauche qui se défendaient hypocritement d’être mal intentionnés. Ceux-là même qui avant 1967, encensaient Israël pour son progressisme, se mirent à justifier a posteriori le dixit « peuple fier et dominateur » gaullien.
Dans les quotidiens de gauche comme Combat ou Le Monde, des voix discordantes sur le déroulement de la guerre de 1967, insinuèrent que le bombardement au sol des avions égyptiens par l’armée de l’air israélienne, n’était pas une riposte à l’agression arabe, mais une offensive soigneusement préparée à l’avance. En fait, ils distillèrent l’idée perverse et sournoise que « c’était Israël l’agresseur ». Beaucoup (y compris des membres de la « communauté juive » !), adhérèrent à la thèse jusqu’à appréhender toute réaction armée israélienne aux menaces des ‘Etats arabes’ d’en « finir » avec Israël, illégitime et même illégale.
La bonne réputation de l’État d’Israël s’effrita.Une nouvelle image de marque se présenta au public français et européen. Ce n’était plus le petit pays qui luttait pour sa survie et qui forçait l’admiration et la sympathie. Le petit David fut métamorphosé en Goliath et le public découvrit son nouveau David chéri sous les traits du…. Palestinien et de son foulard à carreaux.
Trois ans en effet avant la Guerre des Six-jours, les différents groupes palestinistes s’étaient regroupés en une ‘organisation mère’, l’OLP. Le Fatah d’Arafat s’était hissé au rang de chef de file grâce à l’appui de Nasser, le promoteur du panarabisme et de la Ligue arabe. Doué d’un flair et d’une ruse remarquables, Arafat comprit dans quel sens le vent soufflait. Bien que lui-même pur produit de l’obscurantisme, il sentit que la (pseudo) métamorphose du Fatah était impérative, pour plaire aux intellectuels français gauchisants qui dictaient en Europe et dans le monde entier ce qui était « bon » et ce qui était « mal ».
La victoire fulgurante d’Israël en 1967 lui en donna l’occasion. Les anciens discours politico-théologiques foisonnant d’incantations haineuses primaires contre Israël pouvaient enfin, non pas être révolus, mais articulés dans un langage pseudo moderne et marxisant, plus approprié à un public occidental estudiantin petit-bourgeois-en-mal-de-contestation.
Des émissaires propagandistes formés par de brillants intellectuels Algériens, anciens FLN, sillonnèrent les universités et les campus parisiens, affichant une rhétorique marxiste d’apparat, accusant les «colons sionistes d’expulser les Palestiniens de leurs terres», alors que les Hébreux ne faisaient que revenir sur la terre de leurs ancêtres et qu’ils s’installaient sur des collines rocailleuses inhabitées depuis l’époque de l’occupant romain dans l’Israël et la Judée de jadis.
L’existence même de l’Etat d’Israël fut remise en cause. Comme si une nouvelle ère de l’humanité n’attendait que son éradication pour s’épanouir.Aujourd’hui, cette détestation viscérale n’a plus de retenue. Elle s’est pour ainsi dire ‘décomplexée’ et ‘lâchée’, et rejoint sans plus aucun scrupule la volonté panarabo-islamiste de rayer Israël de la carte.
Pour capter les dessous de ce phénomène d’islamisation qui lie tous ceux qui haïssent mortellement l’Etat d’Israël, il suffit d’observer la personnalité de ces nouveaux convertis à l’islam : tous des gauchisants pro-palestinistes !
Nourrie de pro-palestinisme gauchiste, O’Connor en était une des plus virulentes ! Et c’est la raison pour laquelle son pro-palestinisme anti-israélien l’a irrémédiablement amené à s’islamiser !
Telle est la « voie royale » qui, depuis 50 ans, a provoqué l’islamisation de près de 2 millions de citoyens français « de souche », et de plus de 12 millions d’Européens.
Et parmi eux, des hommes politiques comme jadis feu Garaudy le staliniste converti à l’islam, ou comme aujourd’hui un Macron, un Mélenchon, un Hamon et consorts, qui s’approchent dangereusement de cette mouvance qui les mènera à trahir leur peuple et à l’offrir en sacrifice au Moloch panarabiste islamique.
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Les drogues gâchent les neurones…
J’ai connu une femme qui s’est convertie à l’islam parce que mariée à un musulman.
Elle était hait et délaissée par sa mère depuis toute petite déjà parce que le père était décédé.
Je pense que ce sont les personnes faibles et gravement perturbées psychologiquement sans aucun repère qui se convertissent à l’islam.
Pour respecter la tradition lors de la conversion à l’islam, Sinead O’Connor à pris un nom musulman : Sinead Ô Konnass. C’est l’évolution normale : socialope d’abord, puis communiste et enfin muzz anti israélienne. Tous les grands coco sont heureusement crevés, Staline, Pol Pot, Castro, Mao il ne leur reste plus que mahomet
Elle a du boire trop de bière dans sa jeunesse et cela bouffe les neurones et aujourd’hui elle a le QI qui lui permettra d »être une bonne musulmane
…et sucer trop d’indigènes!!!
Le chiffre des convertis est terriblement inquiétant,
2 millions de français, et 12 millions d’européens,
comment pouvons-nous y croire ??
quelles sont vos sources ??
Bonjour Frejusien.
La loi en France interdit des statistiques concernant l’adhérence confessionnelle. Nous en sommes donc réduits à des estimations. Et même si ces estimations sont approximatives et à prendre avec prudence, elles nous indiquent une tendance qui semble cohérente.
Ainsi, Djelloul Seddiki, directeur de l’Institut de Théologie El Ghazali de la Grande Mosquée de Paris parlait en 2013 de 1 million de convertis en France.
Depuis 2013, ce processus s’est accentué. Donc, aujourd’hui, nous serions à 1 million 100 mille au moins.
Certes, vous me diriez que c’est de la propagande et que les chiffres sont certainement plus bas. Mais je pense au contraire que les chiffres sont plus élevés, et je vais tenter de vous expliquer pourquoi :
Lorsqu’il parle de « conversions », Djelloul Seddiki n’inclut pas les femmes mariées à des musulmans, sans s’être converties à la mosquée.
Or les femmes mariées à des musulmans sont automatiquement et obligatoirement considérées musulmanes par la shari’a, et cela même sans conversion officielle à la mosquée.
En effet, selon la shari’a, une femme non-musulmane qui a été « prise » (sexuellement parlant) par un musulman, devient automatiquement musulmane.
Lorsqu’on sait que les femmes converties officiellement à l’islam et les femmes considérées musulmanes par épousailles, représentent une part disproportionnée des conversions en France et en Europe (selon les chercheurs de l’Université de Swansea, elles seraient 75 pour cent en Grande Bretagne, et 80 % en Lituanie !), on comprend que les chiffres doivent être revus à la hausse.
Selon Susanne Leuenberger de l’Institut des études avancées dans les sciences humaines et les sciences sociales à l’Université de Berne, les femmes représentent en effet environ 70 % des conversions à l’islam (conversions officielles et officieuses), dans toute l’Europe.
Et je ne vois pas en quoi la France ferait exception. Bien au contraire !
Le chiffre de 1 million 100 mille est donc une estimation vers le bas, et si on ajoute les femmes mariées ou « prises » à des musulmans, donc des musulmanes « officieuses », on parvient à 2 millions.
Etant donné que la population en France représente 8 pour cent de celle de l’Europe (de l’est comprise) et 12 pour cent de celle de l’Union européenne, le chiffre de 12 millions en Europe est très plausible, voire précis..
Libérer la Palestine de l’Islam est une obligation, tant qu’a y être, libérons l’univers de l’islam pour toujours.
Cela fait maintenant un peu plus de 2000 ans que des sectes monothéistes venues du moyen Orient nous polluent la vie.
Ces croyances archaïques en complète contradiction avec les connaissances scientifiques actuelles n’ont plus de raison d’être.
Bonjour,
Oui,ça c’est du relativisme complet comme si Judaïsme = Christianisme = Islam.
C’est le grand classique des « trois monothéismes » des Gauchistes qui ne veulent pas reconnaïtre ce qu’est l’islam.
Et ça, encore, ce sont ceux qui ne font pas l’apologie pure et simple de l’islam.
A ce compte-là : stalinisme = social-démocratie ou nazisme = bonapartisme au prétexte que ce sont tous des courants politiques
source wilképedia…
En 2018, elle se convertit à l’islam, change son nom pour « Shuhada’ Davitt » et pose en photo avec le hijab…
» De fait la majorité des juifs qui ont émigré d’Europe vers la Terre sainte vivaient en Europe depuis des siècles et n’avaient plus de liens de fait avec ce qui allait devenir le territoire d’Israël. »
hahahahaha! juste vous renseigner sur ce que signifie en hébreu le vocable » GABAY » devenu patronyme
comme sur la gueniza du caire et son innombrable correspondance avec les autorités rabiniques de Safed a pravers les siècles de Diaspora
Monsieur وحيد القرن……………… en Espéranto, bien sur !!
bon, je lis que déjà de bien plus documentés que moi se sont heureusement manifestés….. faites donc votre profit de ce flot de connaissance qui vient de vous innonder 😆 😆
Cela serait intéressant de savoir ce que pensent les irlandais de cette putain!
Qu’elle parte vite en Arabie rejoindre sa copine diam’s !
Mark Twain ( l’auteur de » les aventures de Tom Sawyer « , » les aventures de Huckleberry Finn « , etc… ) avait visité cette région, en 1867, avant qu’elle ne redevienne Israël.
Voilà ce qu’il décrivait ( dans » the innocents abroad » ) :
» …. une région désolée dont le sol est suffisamment riche mais abandonné aux mauvaises herbes – une morne et silencieuse étendue.
La désolation présente est telle que l’imagination la plus fertile ne pourrait gratifier ce paysage d’un semblant de vie ou de mouvement.
Nous n’avons pas vu un seul être humain sur notre trajet. À peine ça et là un arbre ou un caroubier.
Même l’olivier et le cactus, derniers amis des sols pauvres, semblent avoir déserté ce pays. Aucun peuple ne l’a considérée comme sa terre, son pays.
Elle n’est plus qu’une province lointaine, pauvre et perdue, livrée à des nomades.
Les forêts ont disparu, les villes tombent en ruine et pendant des siècles pas une ville nouvelle n’y sera construite.
Par qui et pour qui le serait-elle ? »
______________
Voilà ce qu’était » la Palestine « , avant la renaissance d’ Israël.
Alors, qu’on ne vienne pas nous les gonfler avec le soutien aux » palestiniens » et à la pseudo » Palestine « .
Je voulais faire un article sur ce sujet, mais comme j’en propose déjà beaucoup, j’ai préféré ne pas le faire en espérant que quelqu’un s’en chargerait. 😉
L’article de David B. fait un peu de cette conversion un prétexte pour parler d’Israël, ce qui n’ôte rien à sa qualité.
J’ai pensé, sur le coup, au cas de Diam’s car c’est un peu le même genre de profil.
Des femmes on va dire pas très équilibrées, pour ne pas dire plus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sin%C3%A9ad_O%27Connor
Tentatives de suicide à répétition…
Et si le choix du niqab était ni plus ni moins celui de mourir vivante ? Ces cas extrêmes suscitent en tous cas la question.
La page « biographie » de wikipédia vaut le détour : elle aurait changé de prénom deux fois en deux ans, tenté de se suicider 4 fois (dont trois ces dernières années, les plus déséquilibrées semble-t-il de sa vie), en 2015 disparition, divorce au bout de 16 jours, lettres assassines…
Bonjour,
Je pense que ce que souligne David i.e. le rôle du « palestinisme » dans la guerre que nous livre l’islam est essentiel.
La « question palestinienne » est un faux problème, une escroquerie musulmane.
800 000 Palestiniens ont été expulsés ou sont partis d’eux-même : c’est le nombre de musulmans que la France accueille en quelques années; en ce moment.
Un problème, certes très douloureux pour ceux qui le vivent, mais facilement soluble par les pays musulmans, s’ils en avaient, un minimum de volonté.
En attendant, des millions d’Occidentaux, se laissent prendre à cette escroquerie : c’est ce que démontre, excellemment, à mon avis, cet article.
Relayer ce genre d’info, c’est leur faire trop d’honneur…
Bonjour,
C’est très révélateur au contraire.
L’article explique bien le rôle assigné au « palestinisme » par les musulmans.
Sur ce principe des villes et des cités gazaouites existent déjà en France et ce phénomène n’est pas nouveau. Comme disait Colomb, c’est face à face comme l’appel aux caillassages, à l’insurrection sous toutes ses formes. Une intifada à la française est en marche… le moins de pub est préférable.
Des choses vraies dans cet article mais aussi une lecture biaisée de la réalité. Oui la guerre des Six jours a été provoqué par une coalition de pays arabes. Oui une identification excessive excessive de la gauche à la cause palestinienne peut amener certaines personnes par palier successifs à s’intéresser à la dimension islamique du monde arabe-musulman au point telle que certaines personnes en viennent à se à se convertir ou sinon à être les compagnons de route d’un islam radical se complaisant dans la victimisation et la fausse persécution.
Reste cependant que cet article d’une façon impressionniste fait l’impasse sur la présence majoritaire d’une population arabe entre la Méditerranée et le Jourdain avant l’immigration depuis l’Europe à partir de la fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècle d’une population juive en quête d’une Terre promises s’appuyant sur les récits bibliques très lointains dans le temps. Qu’il y ait un lien entre la communauté juive et la terre d’Israël c’est un fait mais ce lien remonte très loin dans l’histoire. De fait la majorité des juifs qui ont émigré d’Europe vers la Terre sainte vivaient en Europe depuis des siècles et n’avaient plus de liens de fait avec ce qui allait devenir le territoire d’Israël. C’est un peu comme si Bretons dont les ancêtre avaient été chassés des les britanniques par les invasions saxonnes exigeaient aujourd’hui de se réinstaller en Angleterre. S’il est vrai que les colons juifs venus en Terre sainte ont su développer les sols ce que la populations arabophone locale n’avait pas su faire, il n’en reste pas moins que celle-ci était majoritaire dans cette partie du Proche Orient comprise entre la Méditerranée et le Jourdain, les recensement effectués par tant par l’Empire Ottoman, que par les autorités britanniques ultérieurement le confirme.
Au moment de la création de l’Etat d’Israël en 1948, il y bien eu des actions violentes commises contre la population Palestinienne résidant dans ce qui allait devenir l’état d’Israël ce qui a amené un grand nombre de palestiniens à se réfugier en Cisjordanie. En disant cela je ne remets pas en cause, ni l’existence ni le droit à la sécurité de l’ Etat d’Israël et je suis parfaitement conscient que le Hamas est un mouvement politique islamiste dangereux et qui opprime d’ailleurs la population de Gaza mais pour autant on ne saurait nier l’existence d’une population arabe de Palestine comme semble le faire un pointillé cet article.
» la présence majoritaire d’une population arabe entre la Méditerranée et le Jourdain »
Une évaluation quantitative, et non proportionnelle, de cette population ? Avec bien évidemment une analyse des composantes de ladite population (fonctionnaires turcs de l’empire ottoman, tribus bédouines dont l’attachement à un lieu bien précis est une fumisterie et qui voyageaient bien au dela de la région » Méditerranée/Jourdain », …), histoire de décrire réellement la réalité factuelle, cette réalité factuelle qu’on retrouve clairement dans les carnets de voyage des Européens décrivant cette région vers la fin du XIXème, avant que les Juifs ne la fassent renaitre et déclenche une immigration arabo-musulmane massive ?
« les recensement effectués par tant par l’Empire Ottoman » : comme tous ceux qui annoncent clairement que la population de Jérusalem est très majoritairement juive, les chrétiens venant en second et les musulmans bon derniers ?
http://www.cesgoysquidefendentisrael.com/fr/population-de-jerusalem-de-1844-a-1948/
Ceci étant rappelé, vous êtes au courant qu’au sein de l’empire ottoman, il n’existait aucune division administrative correspondant à la « Palestine » et que tous les historiens s’accordent à dire qu’on ne peut évaluer ladite population depuis lesdits recensements, juste vaguement l’évaluer (et ce d’autant plus que, comme ces recensements servaient à prélever les impôts, bien des gens tentaient d’éviter de ce faire recenser, et plus particulièrement ceux qui avaient droits à la plus grosse charge fiscale, les dhimmis)
« Au moment de la création de l’Etat d’Israël en 1948, il y bien eu des actions violentes commises contre la population Palestinienne résidant dans ce qui allait devenir l’état d’Israël ce qui a amené un grand nombre de palestiniens à se réfugier en Cisjordanie »
1 : et les massacres des années 1920/1930, on les oublie ?
2 : et les appels, ultra connus, des armées arabes demandant aux populations musulmanes de quitter la zone le temps du nettoyage ethnique, on les oublie aussi ?
3 : et, SURTOUT, le fait que lesdites populations musulmanes étaient en immense majorité composées d’immigrés venus de toute l’oumma et qui n’étaient en rien « palestiniennes », ça aussi on l’oublie ?
Pour quelqu’un qui prétend ne pas remettre en question le droit d’exister d’Israël, vous relayez quand même allégrement toute la propagande écrite par ceux qui n’aspirent qu’à sa disparition…
Excellente mise au point excellent rappel nécessaire merci à toi Gally
Comme on peut le voir ci-dessous si les incitations des états arabes de la région ont joué un rôle dans le départ des Palestiniens habitant dans l’état nouvellement créé d’Israël , l’action de certains groupes dissidents israéliens ont joué dans la fuite d’une partie de la population palestinienne, mais une fois encore, dire ça n’est pas défendre le Hamas ni l’Autorité palestinienne mais rappeler qu’il y a bien une population palestinienne et qui était majoritaire en Terres saintes au début du 20ème siècle.
extrait de Wikipedia citant des sources israéliennes :
Dans 1948 and After, Benny Morris cite une pièce des archives de Tsahal généralement jugée fiable par les historiens : le rapport « L’émigration des Arabes de Palestine dans la période 1/12/1947 – 1/6/1948 » rédigé par les services de renseignement de l’armée israélienne et daté du 30 juin 1948. Ce document estime à 391 000 le nombre de Palestiniens ayant quitté le territoire aux mains d’Israël début juin 1948, et évalue l’influence des différents facteurs dans ces départs :
« Au moins 55 % du total de l’exode a été causé par nos opérations »,
les opérations des « dissidents » de l’Irgoun et du Lehi « ont directement causé environ 15 % de l’émigration »,
les « peurs » et la « crise de confiance » de la population palestinienne sont la cause de 22 % des départs,
5 % des départs sont liés à des appels à la fuite des dirigeants arabes,
2 % des départs sont attribués aux ordres d’expulsion explicites donnés par les soldats juifs,
1 % des départs sont attribués à la guerre psychologique menée par les forces juives.
« extrait de Wikipedia citant des sources israéliennes : Dans 1948 and After, Benny Morris […] »
Dans cette phrase, il y a 3 soucis :
* la Wikipedia, « encyclopédie » massivement pro-palestinienne, cf https://www.dreuz.info/2017/05/21/les-petites-mains-antisionistes-de-wikipedia-ont-supprime-les-temoignages-qui-contredisent-la-nakba/ ou https://www.dreuz.info/2014/07/29/wikipedia-france-lencyclopedie-qui-na-pas-honte-detre-anti-israelienne/
* des sources israéliennes : déjà, le « des », sans aucune précision, est douteux. Vous voulez que je vous donne des sources françaises qui disent qu’à Poitiers, en 732, il ne s’est rien passé de particulier ? Ensuite, Benny Morris aurait dit que « 55% de l’exode aurait été causé par nos opérations » ? Amusant quand je lis cela, de sa plume : « There was no Zionist ‘plan’ or blanket policy of evicting the Arab population, or of ‘ethnic cleansing' » and « the demonisation of Israel is largely based on lies—much as the demonisation of the Jews during the past 2,000 years has been based on lies. And there is a connection between the two. » Disons que, comme d’habitude, certains ont la lecture très très sélective…
1948 : oui, 1948, c’est bien. Il va falloir vous répéter combien de fois que les arabes vivant en Palestine mandataire en 1948 n’étaient pas « palestiniens » ? Il va falloir vous le graver au burin au milieu du front que l’immense majorité de ces arabes étaient des primo-migrants venant de Syrie, du Liban, du Yemen (Barghouti par exemple), d’Egypte (Arafat), … ? Pourquoi croyez vous donc que la définition ONU du « Palestinien » est « Arabe vivant en Palestine mandataire depuis DEUX ans en 1948 » ?
A Jérusalem; oui la communauté juive était majoritaire du temps de l’Empire ottoman selon le recensement. Quant aux fonctionnaires de l’empire Ottoman il y an avait bien sûr mais ils devaient pas être très nombreux , en plus ils pouvaient appartenir à des minorités de l’empire turc (grecs, juifs de l’Empire ottomans, kurdes etc
– Les chrétiens arrivaient en second à Jérusalem . Mais ces chrétiens étaient de culture et de langue arabe.
– le recensement effectué sous l’empire ottoman ne serait pas géographiquement clairement localisé ? ; admettons ! Mais les recensements sous le mandat britannique après la première guerre mondiale signalait aussi une majorité de population arabophone.
– L’appel des états arabes invitant les Palestiniens à quitter le territoire d’Israël, nouvellement créé, c’est exact, mais il y eu aussi comme je l’indiquais des violences : villages palestiniens rasés.
– Les violences contre les communautés juives dans les années 30, réelles mais je ne cherchais pas à retracer l’ histoire de toute la Palestine. Pour le reste on peut être pour le droit à l’existence d’Israël sans donner dans un certain relativisme qui tend à nier la présence arabe en Terres saintes.
» ils devaient pas être très nombreux »
Un appui à cela ? Non, en fait, les faits ne vous intéressent pas, comme tout un chacun pouvait l’avoir clairement compris
« en plus ils pouvaient appartenir à des minorités de l’empire turc (grecs, juifs de l’Empire ottomans, kurdes etc »
En fait, bien plus, de nombreux bosniaques arrivés sur place suite à l’annexion de la Bosnie par l’Empire austro-hongrois, des Circassiens arrivés vers 1880,… Tout ceux ci n’étant pas des fonctionnaires de l’empire ottoman, mais de simples migrants arrivant pour profiter du coup de boost que connaissait le pays depuis que les Juifs y revenaient.
« villages palestiniens rasés » : oui, c’est bien (et encore, je pourrais ironiser sur ce point, comme je le fis avec l’autre ordure de Sami El Deeb qui sortait une liste de ces villages dont, accrochez vous, des villages situés en Judée Samarie soit disant rasés en 1948 : tout simplement savoureux quand on sait que jamais les forces juives n’arrivèrent dans cette zone avant 1967). Et la communauté juive de Hébron, ancestrale celle là (sa présence fut quasi continue, hormis quelques expulsions dans un lointain passé), qui fut pogromé joyeusement sous le mandat britannique, on en fait quoi ?
Un rappel, quand même : 80% de la Palestine mandataire a été donné aux arabes, la Jordanie. Mais bon, je suppose que seulement 20%, c’est encore trop pour les juifs, il faut encore qu’ils en donnent la moitié (en attendant de se faire foutre à la mer) à des arabes infoutus de faire remonter leur présence sur ces terres plus haut que les années 20 (soit 95% des « Palestiniens » musulmans. Les chrétiens, dans leur majorité, ils sont citoyens israéliens depuis 1948)
Et, au juste, un peu de décence ne vous ferait pas de mal, les accusations de « relativisme » venues d’une caisse de résonance à propagande arabo-musulmanes dont les connaissances de l’histoire de la région sont clairement quasi inexistantes, hors âneries lues sur « l’encyclopédie » wikipédienne, et qui passe son temps à zigzaguer entre « arabes ancestraux » et « en 1948 », faisant semblant d’ignorer qu’entre 1900 et 1948, la population arabe dans cette zone a été multipliée par 3 (évaluation faite par les diplomates européens : 150.000 pendant la période ottomane (composée de toutes les ethnies sus citées [et j’en omet de nombreuses, ne serait-ce que les Grecs qui au XVIIe siècle dominaient certaines zones rurales], puis augmentation à 350 000 en 1870, puis 660 000 personnes en 1914, pour en arriver à 1 900 000 en 1948 (dont 32% de Juifs, malgré le frein notoire que les Anglais, trahissant leur mandant, mirent à l’immigration juive) : il est évident qu’on parle là d’une évolution naturelle…………
Allez donc lire (si tout du moins la vérité vous intéresse, ce qui n’est évidemment pas le cas), les carnets de voyage de Henry Maundrell en 1697, l’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738, Fredric Hasselquist en 1749, le comte François Volney en 1785, James Silk Buckingham en 1815, Alphonse de Lamartine en 1832, le vicomte de Châteaubriant en 1838, Edward Robinson la même année, William Thackeray en 1844, Alexander Keith en 1844, James Finn en 1857, Arthur Penrhyn Stanley en 1862, Mark Twain en 1867, Gustave Flaubert en 1910 et Frederick Treves en 1912 pour vous faire une réelle idée de ce qu’était la « population arabe palestinienne ancestrale », si du moins les témoignages desdits Palestiniens ne vous conviennent pas : https://youtu.be/4UhVcAfMmuc
PS : Rinocero, ce n’est pas celui qui faisait preuve d’un anti-américanisme compulsif et totalement ridicule il y a peu ici ? Ahhhh…
Je pense que cette dernière mise au point suffira pour clore le débat, merci à vous trois pour tous ces éléments historiques.
Bonjour Rinocero. Il me semble que sans vous rendre compte, vous reprenez le narratif palestiniste, tel que la propagnde panarabiste islamique l’a répandu depuis 50 ans.
1. Il n’y a jamais eu de » présence majoritaire de population arabe entre la Méditerranée et le Jourdain ».Ce que vous appelez « population arabe », était en réalité et pour la plupart, soit une population hébreue-israélite d’origine (judéenne, samaritaine, galilérenne) qui été forcé de s’arabiser-arabophoniser-islamiser après la conquête arabo-musulmane du VIIème siècle, soit des migrants que l’Empire ottoman fit venir de toutes les régions sous le joug musulman (bosniaque, circassiens, albanais, maghrébins, égyptiens, Iraqiens etc… etc…).
2. Comment oser dire que les Hébreux judaïsés de diaspora n’avaient « plus de liens » avec leur patrie ancestrale, alors que durant tout le temps de leur exil forcé, ils n’ont cessé de réclamer et revendiquer leur patrie de laquelle ils furent chassés et spoliés.
3. Il n’ a pas et il n’ya jamais eu de « population palestinienne ». je vous conseille vivement d’apprendre l’étymologie de ce terme et qui l’a imposé pour faire disparaître les noms originels de cette terre : Pays des Hébreux, Canaan, Israël …
4. Vous parlez des « actions violentes « commises contre les Palestiniens en 1948 », mais vous zappez l’agression de la ligue arabe de 1948 à laquelle ces dits-palestiniesn prirent part entière. Vous zappez aussi sur toutes les attaques d’avant 48 contre la population hébreue revenue sur sa terre.
5. Vous parlez de « colons juifs », mais bizarrement pas des « colons » pararabistes-islamiques qui ont déferlé sur cette terre pour la ruiner , l’exploiter, et l’abandonner à son sort.
6.Et soudain, vous faite usage de « population arabophone ». A la bonne heure ! Mais « arabophone » ne siognifie pas « arabe ». Il y a une différence entre l’usage d’une langue et l’appartenance ethnique. Par exemple, je parle et écrit le français, mais je n’ai aucun lien ethnique avec les peuplades gauloises et franques.
7. Votre exemple des Bretons est fallacieux. Les Bretons ont été souverains en Bretagne durant des siècles, Et jusqu’aujourd’hui, ils sont restés sur place et peuvent y développer leur culture, leur langue, leur patrimoine historique, et même revendiquer leur droit à l’autonomie et l’indépendance. Aucun breton n’a jamais été soumis à la dhimmitude, comme les Hébreux l’ont été sur leur propre terre par les conquérants arabo-musulmans.
Bref, toute votre terminologie et votre approche sont imbibées de propagande panarabiste islamique et de son fer de lance palestiniste. Et ce qui est le plus grave, c’est que vous n’en êtes pas conscient..
Merci David pour ce complément très clair
Q’une population d’origine hébreu ait été arabisée et islamisée au moment de la conquête arabe-musulmane au 7ème siècle c’est probable comme la population gauloise a été romanisée. Qu’il en reste quelque substrat au sein de la population palestinienne, des chercheurs ont soulevé ce point assez récemment. Reste que depuis le 7ème siècle il s’est passé du temps et vous m’accorderez je pense que la population palestiniennes actuelle se vit comme arabe, parle l’arabe et malheureusement pour elle est sous l’emprise de la religion musulmane qui la fige dans des pratiques religieuses moyenâgeuses et contraire à la liberté d’expression, au droit à la liberté ou à l’indifférence religieuse et à l’égalité des sexes.
Rebonsoir Rinocero. Donc pour vous l’aliénation devient avec le temps une identité légitime.
Si quelqu’un m’appelle « chien » durant suffisamment de temps, devrai-je me mettre à aboyer ?
D’autre part, la prescritption n’existe pas lorsqu’il s’agit des droits des peuples et de l’antériorité de leurs droits. Car autrement, il suffit qu’un conquêrant qui a envahi le pays d’autrui soit suffisamment de temps envahisseur pour lui octroyer un droit sur une terre qu’il a conquis par la violence et le crime.
En somme, vous reprochez à la femme violée (Israël) d’avoir transmis le sida à son violeur (le conquèrant arabo-musulman) !.
Désolé, ce n’est pas mon ethique. Le monde que vous prônait est comme disait Jean Ferrat « le choix entre la jungle et le zoo ». Très peu pour moi..
Entièrement d’accord avec Gally et avec David.
L’argumentation de Rinocero est spécieuse. Je continue de considérer les Turcs qui ont envahi Byzance et tout ce qui restait de l’Empire romain d’Orient commme des usurpateurs. Des usurpateurs aussi les Mahométans qui ont conquis les pays chrétiens autour de la Méditerranée ( quand à ceux qui se croient chez eux au Liban et en Algérie, beurk ).
Je pense que les échanges à ce sujet ont été nombreux, détaillés et complets. Je mets donc un terme aux commentaires des Rinocero sur ce sujet.
Sur ce point, le rapport à la terre en France relève avant tout du droit privé. Notre droit prévoit, depuis très longtemps, le principe d’une prescription acquisitive pour occupation prolongée d’un terrain par un particulier, qu’il soit de bonne ou mauvaise foi. Seul le délai varie selon les cas, et a varié dans le temps. On parle d’usucapion. Le droit romain prévoyait déjà l’usucapion, l’ancien droit français aussi, l’usucapion est dans l’ADN de la France intemporelle, de la culture juridique européenne aussi héritière du droit romain…
On raisonne ainsi non en termes de peuples, mais en terme d’individus. Il est donc techniquement impossible pour un descendant de Breton de chasser le Parisien venu prendre sa retraite en Bretagne au motif qu’il y a des siècles et des siècles, cette terre appartenait à sa famille et qu’il est un pur Breton…
Au niveau international, l’usucapion n’est pas reconnue partout. Ce n’est pas un principe universel. Certains cultes, dont l’islam, considèrent que le temps n’appartient qu’à Dieu, ce pourquoi d’ailleurs l’islam interdit le prêt à intérêt mais autorise la rentabilité du crédit par d’autres techniques (finance islamique). Ce qui se passe ailleurs que dans les pays influencés par le droit romain ne peut donc pas être comparé à la situation du territoire français.
En fait, christianisme et islam considèrent que le temps appartient à Dieu, contrairement au judaïsme.
http://www.francoisrachline.fr/ouvrage/le-judaisme-et-largent/
C’est pourquoi les Juifs prêtaient à intérêt dans l’ancien droit, alors que les chrétiens ne pouvaient pas se prêter à intérêt entre eux…
Si le conflit paraît insoluble, c’est tout simplement parce qu’il n’y a pas de règle pour le résoudre dans cette partie du monde. Mais on peut quand même se demander comment des personnes qui considèrent que le temps n’appartient qu’à Dieu peuvent tirer en leur faveur des conséquences de l’écoulement du temps pour prétendre avoir acquis un droit à demeurer en un lieu…
la présence majoritaire d’une population arabe entre la Méditerranée et le Jourdain
ah bon ??
pourtant a cette époque, les juifs forment 80% de la population de Jérusalem, selon le recensement du PACHALIK ottoman de l’ époque!
il n’ existe pas plus de palestine que de beurre en broche en ces temps là
la Grande Syrie est le nom de la région, et les habitants du coin sont des arabes , rien d’ autre!
la majorité de ces arabes vit dans les seules villes de Saint jean d’ acre, haiffa, Naplouse et Ramleh
le reste du lieu est un desert aride parcouru de caravanes de bédouins nomades….les bords du jourdain sont le repaire de pillards arabes, les moutons et les chèvres achevant leur oeuvre de stérilisation multiséculaire démarrée par leurs ancêtres
je crois que vous avez besoin de lire les auteurs-voyageurs occidentaux du 18eme et 19 eme siècle pour vous documenter, de Mark Twain au marquis de Vogüé, ils sont nombreux a décrire ces lieux désolés et…..VIDES !
ou alors lisez l’ itinéraire de Paris a Jérusalem de René de Chateaubriand, ça suffira a vous donner une petite idée….tous ces « arabes » devenus « palestiniens » sous le coup de la baguette magique du KGB , n’ étaient même pas trois cent mille occupants de cette terre désolée, soumis a l’ arbitraire Turc, et comme ils le seront sous les hachémites d’ une « Jordanie » inventée par les anglais, jusqu en 1967
ils furent d’ ailleurs si « maltraités » par les juifs de l’ état naissant d’ israel qu ils passeront de 200.000 n’ ayant pas fui vers le voisinage, qu ils sont aujourd’ hui 1millon et sept cent mille arabes musulmans « israéliens »
nonobstant les quelques millions ( les ex fuyards de 1947/48) passés d’ un peu plus de cent et quelques mille a environ 5 millions aujourd’ hui en judée et samarie, comme en jordanie et ailleurs dans le vasre monde
d’ ailleurs la « palestine » de nos jours a été inventée sur des régions portant curieusement les noms de Judée et Samarie, la Samarie…….VOUS SAVEZ…le pays du bon samaritain de l’ écriture….
quand vous vous serez trés bien documenté, instruit, a ce sujet on en reparlera
Spèsse di kounasse !
Bonjour,
Merci pour ce texte émouvant et superbe que je partage entièrement.
David Belhassen ce n’est pas un inconnu il a même eu le courage de dialoguer avec un ancien contributeur de RR, Sami Aldeeb, qui n’a pu s’empêcher de déraper malheureusement.
Un grand gâchis.
En tout cas c’est un article intéressant, car l’antisémitisme est bien une abomination qui ne cesse de resurgir en prenant une multitude de déguisements.
Cette haine semble increvable et elle a trouvé dans l’islam un nouveau carburant!
Mais cette haine de l’emportera pas et sera vaincue.
Cher Sarisse, Sami Aldeeb n’aurait jamais été un contributeur de RR je ne l’aurais pas permis
La question juive fait tomber les masques des mieux masqués.
Excellent article ! Pour résumer et mettre mon tout petit grain de sel: les israéliens furent sympathiques pour l’extrême -gauche et l’idéologie mondialiste tant qu’ils étaient des victimes, mais, devenus forts et porteurs d’un idéal patriotique, d’une identité nationale sans complexes, ils devinrent l’incarnation de ce qu’il fallait abattre. Pour une certaine extrême-droite antisémite, il était vexant de voir les juifs être meilleurs patriotes qu’eux – particulièrement sur le champ de bataille – pour les gauchos soi-disant « anti-sionistes » cette incarnation de l’identité était insupportable à leur idéologie d’un monde sans frontières ni différences (ils n’aiment ces dernières que pour les opposer à celles qu’ils veulent détruire, comme dans leur soutien tactique – et suicidaire…- à l’islam face au monde occidental).
À propos d’extrême gauche n’oublions jamais que ce ne sont pas les États-Unis qui les premiers ont reconnu l’existence de l’état d’israel mais l’Union des républiques socialistes soviétiques très stalinienne et pourtant très antisémites sous la férule de Staline.
Israël et les juifs en commun dénominateur de leurs conversions.
Ces conversions deviennent un grand classique, elle reposent toutes sur la même chose la même haine d’Israël, la même haine des Juifs, très curieusement d’ailleurs ils viennent souvent d’extrémistes d’extrémistes très à droite ou d’extrémistes très à gauche soit d’anciens nazi qui se convertissent à l’Islam d’anciens gauchistes violents de tendance guévariste se convertissent à l’Islam en général, passe dans le cerveau d’un Aloïs Brünner ça se passe dans le cerveau d’un Vladimir Ilitch Sanchez dit Carlos, ceux qui ont déjà une partie de leur cerveau vouée à une orientation totalitaire, à la haine et la détestation sont prédisposés à ce type de conversion.
Après il y a eu la conversion de quelques intellectuels du genre de Garaudy on se demande même si Faurisson de s’est pas convertis ça je n’en sais rien mais ça ne m’étonnerait pas.
Alors des phénomènes de conversion comme Cat Stevens des sinéad O’Connor ou encore des Diam’s non plus rien d’étonnant autrefois c’était des gauchistes ou des antisémites d’extrême droite ou d’extrême gauche d’ailleurs sous le déguisement de l’antisionisme maintenant ça passe par des people ça ne m’étonnerait même pas que Zaz ou je ne sais encore quel artiste se convertisse à l’Islam, ils sont de plus en plus nuls de plus en plus crétins de plus en plus cons.
Sans oublier d’autres cher Dieudonné qui lui fricote avec l’islam chiite pour les mêmes motifs il est plus intelligent mais certainement pas moins dangereux.
Heureusement il y a un Art Garfunkel qui prend le contre-pied de ces ânes, ou de ces haineux, assez intelligent pour se rendre compte qu’ils ne peut pas faire autrement étant juif comme son comparse Paul Simon du fameux duo de pop music.
Il y n’ a plus à s’en étonner.
Même dans le petit univers de la protest song il y a des clivages nets.
Pauvre Bob Dylan quel héritage!
J ai vu aussi des cathos se convertirent à l islam par honte des scandales pédophiles de leur l Église. Ou encore une juive convertis au christianisme convaincu par les mensonges de la gauche Européene et juifs (antisioniste)et musulmans antisémites.
si vraiment le maire est contrtaint de servir ces reps de substitution, mettez-y des trucs que les gosses n’aiment pas : de la viande de dinde, certes, mais avec des endives bouillies.
Les frites, en revanche, servies le mêm kpur, dans la même assiette que la viande de porc….
la chanteuse irlandaise Sinead O’Connor
jamais entendu parler……. une ex religieuse? curée?pasteur? défroquée,tondue ?
Non, juste une ancienne prostituée ultra-kilométrée qui a fait pénitence, et qui a embrassé la pseudo-religion belliqueuse nommée islam!
Une grosse pute en somme!
allons! allons David!!
disons une chose qui n’ a même pas le charme des choses qui ont beaucoup servi 😆
Apparemment, selon mes rapides recherches, il semblerait que « la dame qui a beaucoup servi » (mais pas son pays), soit déséquilibrée et atteinte psychologiquement!
C’est la seule explication! Parce que, se convertir à cette religion de merde lorsque l’on est irlandais, çà le fait pas!
Il ne reste plus que le groupe irlandais U2 dans son ensemble.
Bono est une ordure de gauchiste, pro palos et islam évidemment. Faut dire qu’avec ses milliards il n’a pas à côtoyer les musulmans, sauf quand il va se pavaner dans un camp de réfugiés.
M’enfin quand on voit ce que l’Irlande devient, avec des somaliens et des pakis qui mettent le pays à feu et à sang avec la bénédiction des autorités…
Elle a fait un énorme tube, « Nothing compares to you », une magnifique chanson avec une voix extraordinaire. Quel gâchis sa conversion !
C’est comme Cat Stevens avec sa superbe chanson « Lady d’Arbanville », qui s’est converti à l’islam et appelait à tuer Salman Rushdie !
Bonjour,
Oui, de belles chansons, mais des traitres …
Je me souviens que l’on avait passé en cours de latin, la chanson de Cat Stevens dans cette langue.
« peuple fier et dominateur » gaullien.
Ma foi………..
mais personne poiur rappeler qu en 70 ans, ce pays adoré ou abhoré a réussi a se hisser parmi les 10 premières puissances mondiales, avec 7 millions d’ habitants et une surface ridicule de 22.000 km2 (le Nigéria, 200 millions d’ habitants, un million de KM2……. et la réputation d’ humanisme, de progressiste, de phare qu on lui sait)
hier, je suivais un reportage sur la production d’ eau potable en Israel, menacé comme toute la région de fort déficit hydrique et d’ une impitoyable sécheresse)
les usines de dessalement a brevet israélien font merveille:ils vont en construire deux autres…le biblique Jourdain n’ est plus qu un mince filet d’ eau boueuse quand il se jette dans la mer morte
Israel, l’ affameur de palestiniens, le monstre qui a fait de Gaza un « camp a ciel ouvert » est là pour fournir a ces eternels crasseux couineurs et chouineurs de l’ eau a boire et du courant electrique
je crois qu ils envisagent de lancer une fusée vers la lune ou Mars ??
pas mal tout de même pour ce petit pays….l’ Egypte – 100 millions d’ habitants et quelques dizaines des pires Hamid connus- vit des charités des riches états du golfe, de l’ Amérique et de l’ europe………..
ALORS? ces disparités enormes alimentent l’ éternel sentiment d’ envie des branleurs crevards envers les bosseurs courageux.
Sans oublier le Coran qui a donné a cette région si aimable une religion d’ amour, de tolérance et de paix
Encore une connasse ! elle doit pas avoir grand chose entre les deux oreilles cette tête de con !
Elle aurait fait de séjours en hôpital psychiatrique, dit la rumeur people.Ceci explique cela.