Suivi des affaires judiciaires médiatisées au pays de Mélusine : une justice à deux vitesses, selon que vous serez blanc ou noir ?
Trois affaires reçoivent actuellement un écho médiatique dans la presse du pays d’Aliénor d’Aquitaine et de Charles Martel.
La première affaire est quasiment inconnue au niveau national et même local.
Les faits datent à peu près de l’époque de l’affaire Daval.
Dans un récent billet, je me demandais si finalement il ne s’agissait pas, par la médiatisation extrême de cette affaire et par les conclusions psy, de mettre en évidence la violence qui émane de certains hommes blancs auxquels tel expert peut-être gauchisant reprochera d’être « dominants » quand d’autres disent le contraire… tant les expertises psychiatriques sont variables même dans une seule affaire.
Ce texte avait suscité l’indignation du commentateur « Néo » et j’avais bien pris la peine de longuement répondre pour clarifier ma pensée à ce sujet…
L’article d’Olivier Loris sur Lelandais et Kouider, publié auparavant mais qui allait un peu dans le même sens sur le traitement médiatique de Lelandais, n’avait apparemment pas suscité les mêmes remous.
Or, en octobre 2017, Stéphanie Devred est morte brûlée vive à Poitiers. Un an après, son compagnon vient d’être mis en examen pour meurtre.
Elle voulait le quitter.
Quasiment personne n’a entendu parler de ce crime.
Pourquoi ?
Parce que son compagnon s’appelait Driss et non Jonathann ?
« Si la famille suspecte d’emblée le meurtre, la justice mettra de longs mois à pouvoir accréditer cette thèse. L’enquête vient de basculer tout récemment.
« Des investigations techniques avaient été lancées, elles viennent contredire les premières déclarations du compagnon », confirme le procureur de la République.
Le 18 septembre dernier, Driss Tarzi, 39 ans, incarcéré à Vivonne depuis juin pour une affaire de détention d’héroïne était extrait de sa cellule et confronté aux résultats des analyses ».
Driss aussi a pleuré, parlé d’un accident, et là encore le corps de la jeune femme est brûlé…
Que de ressemblances avec l’affaire Daval.
https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/il-a-tue-ma-fille-et-brise-notre-famille
Déclarations de la mère de Stéphanie : « Il a tué ma fille et brisé notre famille. Je n’ai jamais cru à ce qu’il a raconté.
Ma fille, elle ne se serait pas suicidée, et encore moins comme ça. Elle voulait le quitter car elle avait peur de perdre ses enfants. Leur père en demandait la garde.
Il y avait une enquête sociale qui devait commencer. Elle ne voulait pas de problèmes à cause de lui (NDLR : Driss Tarzi). Il ne faisait rien, il vivait sur les allocs.
Deux jours avant que ça arrive, elle disait qu’elle allait le quitter.
Cinquante fois je lui avais dit de le faire.
Ils étaient ensemble depuis un an, ils se quittaient et puis ça revenait.
Elle ne m’avait jamais dit qu’il la frappait.
Une fois, j’ai vu qu’elle boitait.
Quand je lui ai posé la question, elle m’a dit qu’elle s’était tordu la cheville. Si j’avais su la vérité, lui, je l’aurais cramponnée ! »
Et eux aussi s’étaient rencontrés à l’école…
Pourtant, à ce jour, cette affaire est quasiment confidentielle.
Ensuite, dans deux affaires relayées par Résistance républicaine, on a encore l’occasion de constater une dissymétrie de traitement.
La première date de l’automne précédent, là encore.
René Moineaud, cambriolé dans la campagne deux-sévriennes, tire sur les voleurs et il en tue un.
Le retraité n’a pas revu sa femme depuis un an.
La reconstitution vient d’avoir lieu.
Certes, il n’y aurait pas de légitime défense dans le présent cas, mais pour bien connaître ce pays, on sait d’avance qu’un cambrioleur ne sera jamais retrouvé car il n’y a âme qui vive dans les environs.
On est quasiment à l’état de nature quand on habite ainsi en pleine campagne et si les voleurs savent qu’ils ne risquent rien, ils sont amenés à recommencer.
Muriel Robin, pourquoi ne lanceriez-vous pas une pétition pour défendre René Moineaud ?
Ah, oui, pardon, il a une paire de testicules et une verge, horresco referens !
https://www.centre-presse.fr/article-635254-cambrioleur-tue-a-vancais-le-tireur-a-mime-les-coups-de-feu.html
Et que pense Muriel Robin du cas où une femme tue une autre femme ? Pétition ou pas, Mumu ?
Une femme avait été tuée à l’arme blanche par une Guinéenne dans un « centre de vie ».
Eh bien, la procédure sur le meurtre de Marina Fuseau va être clôturée…
Il n’y aura pas de procès aux assises.
Les experts psy ont acquitté d’avance la tueuse guinéenne.
Il ne reste plus aux magistrats de la chambre d’instruction de la cour d’appel de rendre leur décision, dont on devine à l’avance le sens dans ce contexte…
Il n’y aura pas de jurés !
Pourtant, comme « Centre presse » a l’honnêteté de le révéler, « la confusion mentale de la jeune mère était-elle si profonde ?
Ses changements d’attitude selon les interlocuteurs, laissent des doutes à la partie civile ».
A un certain Daval, on reproche aussi des « changements d’attitude », mais lui est déjà condamné dans l’opinion publique… comme Lelandais d’ailleurs.
En conclusion, il ne s’agit aucunement de disculper les uns ou les autres, mais d’observer quand même le poids des expertises psy, qui pourtant souvent se contredisent dans une même affaire selon le psy qui intervient, et du traitement médiatique dans ces différentes affaires.
Note d’Antiislam
Les parallèles que trace Maxime sont très troublants.
Quels sont les mécanismes qui font qu’une affaire donnée devient une affaire au niveau national ?
Comment et pourquoi les médias choisissent-t-il de mettre en avant ce fait çi et pas cet autre ?
Autre domaine : les livres racontant des faits abominables, se déroulant dans les écoles, collèges et lycées, abondent depuis maintenant 30 ans.
Pourquoi les médias font-ils tout ce foin sur l’affaire du barbare menaçant son enseignante avec une arme ?
Alors même que c’est un fait insignifiant en regard de l’océan de barbarie qui se déverse en milieu scolaire depuis des années : barbarie sur laquelle les médias sont totalement muets …
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Je vais me répéter mais encore une fois, les psys n’ont rien à faire dans un tribunal. Les magistrats doivent juger les faits et uniquement les faits, argumentés du rapport des enquêteurs et laisser la défense s’exprimer puis juger la chose.
On s’en fout de savoir si le criminel se touchait le zizi à 5 ans.
C’est un tribunal ou un dispensaire ? Merde !
Ah oui @Joël ?
Et dans les cas par exemple ou des femmes ou jeunes filles accusent un homme de viol (cela peut arriver à n’importe quel homme) et que ce dernier n’a strictement rien fait (ça existe), il faut juger par les » faits » seulement ?
Il a violé = il est donc incarcéré (ouf, il n’y a pas la peine de mort…) vu la Loi à ce sujet, logique implacable…
Mais là, l’homme innocent ira en prison.
Là il peut être souhaitable il me semble d’interroger ce qu’il en est psychologiquement de la « victime » et de l’agresseur supposé (et là, il est content de voir un psy, vous pouvez en être sûr).
Déjà que pour identifier ce qu’est un « viol » selon la Loi, pas toujours à voir avec l’image d’un homme qui se jette comme un fou sur une femme… pas simple du tout.
J’ai bien précisé « avec le ou les rapports des enquêteurs », ADN, etc. Il est bien entendu qu’il faut des preuves irréfutables avant de condamner qui que ce soit.
Mais je doute que la psychanalyse apporte du concret.
Oui j’avais bien compris, mais il y a des situations où c’est la parole de l’un contre la parole de l’autre.
Et une enquête concrète ne va pas forcément apporter des réponses sur les circonstances exactes qui entourent le passage à l’acte.
Ce n’est pas aussi simple que les films policiers qui passent à la TV….
.
Maintenant, tous les « psy » (psychologues car les psychiatres sont des médecins et leur réflexion au niveau expertises est essentiellement basée sur la symptomatologie psychiatrique) n’utilisent pas la psychanalyse….
Etrange quand même tous ces fantasmes autour des psy (en France) car c’est comme partout, il y a de tout et autant qu’ailleurs des professionnels très sérieux avec une éthique irréprochable.
Alors qu’en réalité, dans le cas d’un procès, ceux qui ont beaucoup de poids sont les avocats qui sont là pour défendre un client fusse-t-il le pire des meurtriers même si les faits sont indéfendables. et donc trouver articles et circonstances « atténuantes » qui vont aller dans ce sens, ce qui, justement, apparait, vu de l’extérieur, comme insupportable alors que les faits parfois terribles sont effectivement là.
Ainsi, si un mis en cause est acquitté pour « irresponsabilité pénale » c’est le fameux article d »irresponsabilité pénale » qui fait partie du Droit Français qui en est responsable, ce n’est pas le psy qui lui fait son travail en donnant son avis (juste ça) sur le contexte psychologique qui a entouré l’acte ce pourquoi il est mandaté et auquel il ne peut se dérober.
même s’il « bénéficie » D’UNE MALADIE PSYCHIATRIQUE il doit être condamné comme les autres c’est facile d’inventer ce motif à tous les assassins, violeurs voleurs dès qu’ils ne sont pas FRANCAIS l’islam bénéficie du tapis VERT il peut tout se permettre et ce jusqu’à quand allons nous fermer notre gueule ?
Je trouve que la psychiatrie, ainsi que les psychologues tiennent une place trop importante dans les procès,
Exonérer quelqu’un d’un crime, au prétexte qu’il aurait des problèmes psy, ce n’est pas le rôle de la Justice,
La Justice doit s’en tenir aux faits,
Si l’individu a besoin de soins psychiatriques, il peut être placé en unité psychiatrique d’internement de type carcéral, mais en aucun cas ne bénéficier d’un doute fondé sur sa psychologie ou ses antécédents psychiatriques
@frejusien,
J’ai expliqué dans les commentaires d’un autre article, longuement, les procédures liées aux expertises et donc la place et rôle des experts psy (psychiatres ou psychologues), et cela répond tout à fait à vos interrogations, et en particulier à :
« Exonérer quelqu’un d’un crime, au prétexte qu’il aurait des problèmes psy, ce n’est pas le rôle de la Justice, »
Justement si, là, dans ce cas précis, c’est un article de Loi qui à mon sens serait à réinterroger, à savoir celui qui prône l' »Irresponsabilité Pénale » et les juges s’appuient là-dessus.
Mais les juges savent aussi bien interpréter la Loi dans le sens qu’ils veulent donner au verdict final (Maxime d’ailleurs le montre bien dans un commentaire relatif à un autre article concernant la dernière condamnation de Christine).
Les psy ne détiennent donc pas le pouvoir même si bien sûr leurs avis comptent dans les décisions et précisément dans ce cas d’irresponsabilité pénale personne ne voulant prendre de risques, ce n’est pas facile.
Les experts doivent seulement donner leur avis (« avis » seulement) sur l’état de conscience du sujet au moment de l’acte, et ceci ne se résume pas à une phrase, croyez-moi, les avocats qui savent creuser et triturer les paroles des psy dans les prétoires, ont plus de responsabilités que les psy dans les jugements prononcés..
Ceci dit, c’est vrai que l’on a voulu trop par l’intermédiaire des expertises psy s’interroger autour du contexte du passage à l’acte et cela revient en quelque sort à individualiser la peine, la Loi ne devenant plus dans ce cas un repère collectif des Interdits qu’elle met en place (ce qu’elle doit être) et c’est un biais gênant à mon sens.
D’un autre côté, les expertises ont un rôle quand même intéressant pour tenter de comprendre un acte et ses motivations, ainsi notamment pour les incidences psychologique vécues par les victimes et dans les véritables intentions des agresseurs (notamment autour de la légitime défense).
Je le redis, un expert, dans une position la plus neutre possible (il a fait un travail sur lui normalement pour ça) donne uniquement un avis concernant des questions précises posées par les juges auxquelles ils se doivent impérativement répondre, ainsi que des éléments de compréhension, ils ne « jugent » en aucun cas.
Pas des réponses donc dans l’absolu même si les juges leur mettent généralement la pression à ce sujet car bien sûr, cela faciliterait le jugement.
Bref, je ne vais pas recommencer à préciser tout ce que j’ai pu dire à ce sujet.
C’est très compliqué, il faudrait des discussions autour de ça à savoir veut-on des experts ou pas ?
Mais croyez-moi, en cas de gros problèmes judiciaires, il y en a qui sont contents parmi victimes ou agresseurs, de pouvoir porter au tribunal un peu d’eux-mêmes au-delà de la stricte prise en compte des faits qui par eux-mêmes ne disent parfois pas grand-chose.
« Si l’individu a besoin de soins psychiatriques, il peut être placé en unité psychiatrique d’internement de type carcéral, »
Cela n’existe pas dans la longue durée, en réalité dans les U.M.D – Unités pour Malades Difficiles (il y en a très peu en France) ils sortent aussi au bout d’un certain temps.
Je pense souvent à A-M Waters « les infidèles utiles ».
Deux migrants violent une jeune fille de 16 ans et s’endorment à leur procès : « On doit tenir compte de l’aspect culturel » selon le médecin légiste
http://www.fdesouche.com/1093609-deux-migrants-violent-une-jeune-fille-de-16-ans-et-sendorment-a-leur-proces-on-doit-tenir-compte-de-laspect-culturel-selon-le-medecin-legiste
Depuis janvier, 170.000 personnes ont été victimes d’agressions gratuites, « lynchées pour un sourire, une cigarette refusée ou un regard »
http://www.fdesouche.com/1093531-depuis-janvier-170-000-personnes-ont-ete-victimes-dagressions-gratuites-lynchees-pour-un-sourire-une-cigarette-refusee-ou-un-regardn regard »
Les femmes ont obtenu le permis de tuer les hommes. Jacqueline Sauvage. Un peu avant J, Sauvage, Mme Lange égorge son mari : acquittée! Juste après ĺ’affaire Sauvage, Mme Dimet tue son mari : 5 ans avec sursis !
Quand c’est l’homme qui tue sa femme, il prend environ 20 ans de prison.
On a déjà longuement parlé des différences de traitement judiciaires selon les caractéristiques ethniques et c’est une chose constatée à maintes reprises, pas la peine de revenir là-dessus, cela devient une évidence.
La dernière affaire citée où une femme guinéenne a tué une femme éducatrice, me semble un peu plus complexe et je ne pense pas que l’on puisse dire que « Les experts psy ont acquitté d’avance la tueuse guinéenne. », ce serait leur donner un pouvoir qu’ils n’ont pas.
J’interrogerais plus pour ma part, du côté de cet article incoryable de Loi qui prône « l’irresponsabilité pénale » car pour tout acte en dehors des normes compatibles avec la vie sociale (surtout en cas de meurtre), doit être collectivement sanctionné.
Cela en effet a du « sens » et ne peut être que constructif pour l’agresseur quel que soit son état psychiatrique. Les faits montrent en effet que le pire des malades psychotiques a des moments de lucidité et montre des capacités en accord avec le réel, ceci sans compter, et ce n’est pas la moindre raison, qu’une incarcération protège les Autres.
Il y a ainsi et cela on l’oublie souvent dans le « sens » de la notion d’incarcération, aussi un devoir impératif qui devrait être incontournable, de protection de la Société.
L’on sait, comme le dit si bien l’article, que quelqu’un de psychiatrisé dont on juge le discernement aboli sera donc « relaxé » par le biais de cette loi même s’il a commis le pire des meurtres (inimaginable…) et très vite libre, la Psychiatrie estimant, à juste titre d’ailleurs, que son rôle est le soin du patient et non l’incarcération.
Ceci est une chose qui est totalement anormale et inadaptée quand on connait la dangerosité de certains dits « malades mentaux » qui se baladent dans la nature.
Guillemets à « malades mentaux » car on a vite fait, soit dit en passant, de qualifier ainsi actuellement les actes agressifs à répétition de personnes qui en fait seraient plus du côté de comportements antisociaux (la drogue aidant) que relevant de structures psychiatriques, mais c’est plus simple notamment socialement….
On mélange ainsi le Social et le Psychiatrique, ce qui est totalement abusif
Dans cette situation, il y a aussi une autre dimension : ce fameux « social » aliénant qui fait que des gens sont totalement « déresponsabilisés » car totalement pris en charge avec parfois, plus de dix intervenants sociaux et médico-sociaux autour de l’assisté (e)) (bonjour le coût pour la Société…), les dits intervenants culpabilisant à mobiliser la Justice qui, de toute façon, ne peut en réalité rien y faire vu l’ensemble des mesures protectrices qui sont mises en oeuvre autour de ces cas….
Dans cette complexité dont on peut se questionner sur le sens, on arrive à des situations terribles de ce genre…
Je ne pense pas que les experts apparemment seulement « psychiatriques » (bizarre) aient démérité car trois quand même… (pour le dire il faudrait lire carrément les expertises en question et non se fier aux interprétations journalistiques à ce sujet), c’est plus un système qui serait vraiment à réinterroger en profondeur.
Je compatis quoiqu’il en soit à la souffrance terrible de la famille et j’espère qu’il parviendront à des éclaircissements sur les responsabilités respectives dans cette affaire même si cela n’en modifiera pas la terrible et douloureuse issue.
Ces expertises psychiatriques réalisées bien après les faits, prétendent démontrer » qu’au moment de la commission des faits » l’auteur n’était pas en pleine possession de ses facultés mentales. Pas ½ heure avant ou ¼ d’heure après mais exactement dans les cinq secondes d’exécution du crime. C’est un dévoiement de l’idée de départ qui exonérait les » fous » de toute responsabilité. Expertises d’autant plus sujettes à caution qu’il n’y a jamais 2 psy qui, sans se consulter, partagent la même certitude sur le même patient.
« Ces expertises psychiatriques réalisées bien après les faits, prétendent démontrer » qu’au moment de la commission des faits » l’auteur n’était pas en pleine possession de ses facultés mentales. »
Evidemment, est-il besoin de le préciser, une expertise ne se contente pas des faits et explore bien plus loin que cela pour arriver à ses conclusions très bien argumentées en général (les experts ont en leur possession des dossiers très complets). La recherche de sens est bien plus compliquée et élaborée qu’un simple constat…
Mais je sais, on a du mal à dépasser le concret maintenant, donc c’est dur à comprendre, je le conçois.
« Expertises d’autant plus sujettes à caution qu’il n’y a jamais 2 psy qui, sans se consulter, partagent la même certitude sur le même patient. »
Ce n’est pas exact, il est même rare qu’il y ait de grandes dissonances surtout sur des questions de fond.
« certitude »
Et encore une fois, les psy ne donnent pas de « certitude » (impossible dans ce domaine où l’on est dans la probabilité et non dans la logique cartésienne) mais des « avis ».
Par contre, les avocats eux, travaillent sur des « certitudes » (les textes de Lois) d’où dérivent leurs arguments, il ne faut pas tout mélanger.
Intéressant article, mais qui me hérisse le poil :
« Eh bien, la procédure sur le meurtre de Marina Fuseau va être clôturée… »
Eh non, elle va être close ! Même si le résultat en est la clôture, mot à plusieurs sens.
D’accord avec vous, Daniel POLLETT, c’est un peu comme lorsqu’on dit « le débat est clos », manière d’arrêter tout argument supplémentaire, au profit d’une décision arbitraire. Je me rappelle cette affaire, et rapporte toujours actuellement la nationalité de la meurtrière (par expérience professionnelle) aux réglements de comptes parmi les plus expéditifs. « La confusion mentale…était-elle si profonde »?? Tu parles!
Pour une procédure arrêtée de façon administrative, les deux s’emploient :
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/cl%C3%B4turer/16668
J’ai une préférence pour le mot « clore », comme vous. Néanmoins, dans le registre des faits divers relatés, « clôturer » est plus familier et j’ai préféré ce ton à un ton plus soutenu et littéraire qui ne me semblait pas adapté.