Pas de chance, la belle anti-islam est partie, reste la bête islamophile …

On avait Brigitte Bardot, la patriote intransigeante face à l’islamisation, il nous reste l’engin  Ersilia Soudais, la complaisante de l’islam politique

Dans une France en pleine mutation culturelle et démographique, ces deux figures féminines publiques incarnaient des visions radicalement opposées sur l’islam et sa place dans la société française.

D’un côté, Brigitte Bardot, icône du cinéma reconvertie en militante pour les animaux et patriote assumée, qui n’a cessé d’alerter sur les dangers de l’islamisation  de notre pays et de l’Europe. De l’autre, Ersilia Soudais, député de La France insoumise (LFI), qui multiplie les interventions pour dénoncer une prétendue islamophobie d’État et défendre des pratiques ou associations liées à l’islam radical.

 Brigitte Bardot : une voix courageuse contre l’invasion culturelle

Brigitte Bardot, disparue le 28 décembre 2025 à l’âge de 91 ans, a marqué l’histoire non seulement par sa beauté et ses rôles mythiques, mais aussi par son engagement sans compromis. Retirée du cinéma dès 1973, elle a consacré sa vie à la cause animale, fondant sa fondation en 1986. Mais c’est dans ses prises de position sur l’immigration et l’islam qu’elle s’est révélée comme une patriote lucide et qu’elle m’a interpellée.

Dès les années 1990, avant même que j’aie compris, avant l’affaire du voile à l’école (affaire de Creil) Bardot dénonce l’islamisation de la France, qu’elle qualifie d’infiltration souterraine et dangereuse. Elle critique vivement l’abattage rituel halal lors de l’Aïd, qu’elle associe à une souffrance animale inutile et à une imposition culturelle. Dans ses livres et lettres publiques, elle parle d’une France  envahie par une surpopulation d’étrangers, surtout musulmans, qui imposeraient leurs coutumes au détriment des traditions françaises.

Condamnée à plusieurs reprises (six fois entre 1997 et 2008) pour provocation à la haine raciale, Bardot la courageuse n’a jamais renié ses convictions. Elle a soutenu des figures comme Marine Le Pen, voyant en elle une chance de reprendre la France en main  et de remettre des frontières. Jusqu’à la fin, elle a exprimé sa crainte de mourir dans une « France islamisée », affirmant que l’immigration massive détruisait le pays. Pour ses défenseurs, dont nous faisons partie, à Résistance républicaine, Bardot est une patriote authentique, qui ose dire tout haut ce que beaucoup pensent : l’islam radical menace l’identité française, via des pratiques comme l’abattage rituel ou la multiplication des mosquées.

Ersilia Soudais. Elle c’est  la traîtresse qui masque l’islamisme sous le voile de l’antiracisme

À l’opposé de BB, Ersilia Soudais, député LFI de Seine-et-Marne depuis 2022, ancien prof de français, se pose en défenseur acharné des musulmans contre une France qu’elle accuse d’être islamophobe. Elle dénonce régulièrement les politiques françaises comme discriminatoires : interdiction de l’abaya à l’école, critiques du voile, ou focalisation sur le marché halal qu’elle refuse de voir comme un vecteur d’influence idéologique.

Soudais a soutenu des associations musulmanes controversées, comme Al Andalus à Lagny-sur-Marne, en lutte pour une mosquée. Elle a affirmé que la dissolution du CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France) était scandaleuse. Elle traite ceux qui critiquent l’islam de complotistes, racistes…  et accuse l’État français de stigmatiser les musulmans.

Cela va même plus loin puisque, comme Mélenchon, elle a été associée à des manifestations contre l’islamophobie où des appels à l’insurrection ont été lancés, et elle combat ce qu’elle appelle l’instrumentalisation de la laïcité contre l’islam. Bref, complaisante, dangereuse avec l’islam politique, avançant sous le faux-nez de l’anti-racisme; elle tolère sans problèmes des pratiques incompatibles avec les valeurs républicaines.

Bref, 2  France irréconciliables…

Brigitte Bardot, avec son franc-parler, représente la France qui résiste à l’effacement culturel, alertant sur une invasion qui impose des coutumes étrangères au nom du multiculturalisme. Ersilia Soudais, elle, symbolise une gauche qui, par idéologie, ferme les yeux sur les dérives islamistes et traite les Français d’islamophobes dès qu’ils défendent la laïcité ou l’identité nationale.

L’une est une patriote qui a payé cher ses alertes ; l’autre, une élue qui contribue à affaiblir la République en défendant ceux qui la contestent.

Dans ce choc des visions, c’est l’avenir de la France qui se joue : résistance ou soumission ? Que choisiront les Français lors des prochaines échéances électorales ? La belle  et intelligente Brigitte ou la quelconque pas bien brillante Soudais ? 

Christine Tasin

 36 total views,  36 views today