Les origines nazies de l’UE et ses conséquences sur les Européens d’aujourd’hui

Ci-dessous une compilation d’éléments qui confirment sans aucun doute possible le caractère nazi de la construction européenne et ses conséquences dramatiques sur nous aujourd’hui.

C’est du lourd et dans cette démonstration implacable j’ai repris, entre autres, une conférence de François Asselineau. Je suis loin de soutenir toutes les prises de position de monsieur Asselineau mais je dois dire qu’ici il donne un cours d’histoire magistral et même souvent prophétique.

Il a fait cette conférence il y a 10 ans mais nombre d’éléments de celle-ci restent d’une brûlante actualité.

Gigobleu

Les origines nazies de l’UE et ses conséquences concrètes sur les citoyens européens aujourd’hui :

  « Ils mentent, ils savent qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, et pourtant ils continuent à mentir »  Alexandre Soljenitsyne

 « Plus le mensonge est gros, plus il passe ».  Joseph Goebbels

Pour comprendre ce qui suit il vous faudra inévitablement faire un effort. En effet, pour pouvoir maîtriser un sujet quel qu’il soit, nous devons inévitablement produire un effort de réflexion de concentration, voire de vérification autant que possible. C’est précisément l’exercice que je vous propose de faire ci-après. Ce document jette un éclairage lumineux sur ce qui se passe précisément sous nos yeux. La commission européenne vient de basculer ouvertement dans la dictature en condamnant des personnes à l’exclusion sociale sans procès et sans jugement. Plus aucun d’entre nous n’est à l’abri de ce procédé dictatorial.

Je recommande vivement l’écoute de la conférence donnée par le professeur François Asselineau. Que l’on aime ou non le personnage, je lui reconnaîs une solide connaissance de l’histoire avec une profusion de preuves absolument incontestables.

 Voici ce que disait il y a dix ans le professeur François Asselineau le 23 juin 2015. C’était pour le moins prophétique en rapport aux événements que nous traversons en ce moment :

L’union européenne est aux mains de fascistes bellicistes et voleurs.

par Strategic Culture Foundation

L’Union européenne est aux mains de fascistes bellicistes et de voleurs prêts à tout pour assouvir leurs fantasmes russophobes.

Le plan À consistait à piller les richesses souveraines de la Russie pour les remettre au régime néonazi ukrainien corrompu, et poursuivre la guerre par procuration contre la Russie. Ursula von der Leyen et sa cabale d’élites européennes russophobes ont défendu ce plan pendant des mois. Malgré la rhétorique légaliste trompeuse sur un «prêt de réparation», ce projet a été jugé trop risqué par plusieurs États membres de l’UE, qui y ont vu un «vol» pur et simple, aussi insensé que risqué.

Même la Banque centrale européenne et le FMI ont mis en garde contre cette opération susceptible de déstabiliser la crédibilité et la viabilité financière à long terme de l’Union européenne.

Cette semaine, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et d’autres eurocrates non élus, comme le président du Conseil européen, Charles Michel, ont tenté, sans succès, de convaincre les 27 États membres de signer leur stratégie de pillage de 200 milliards d’euros d’actifs russes. Les avoirs russes sont illégalement séquestrés dans les banques européennes depuis que la guerre par procuration alimentée par l’OTAN en Ukraine a éclaté en 2022. Le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre polonais Donald Tusk, et bien d’autres dirigeants russophobes ont soutenu l’obsession de von der Leyen.

Après de longs palabres lors du sommet du Conseil européen, jeudi, les barons voleurs de l’UE ont dû capituler. La Belgique, la République tchèque, la Hongrie, l’Italie, Malte et la Slovaquie ont refusé d’adhérer au plan de pillage. La Belgique, qui détient la majeure partie des avoirs russes gelés, craignait en effet d’être tenue pour responsable par un éventuel recours de la Russie. Moscou a d’ailleurs déjà entamé une procédure d’arbitrage international pour obtenir une compensation pour ses avoirs gelés. Moscou peut théoriquement saisir des montants équivalents de fonds européens détenus en Russie en guise de représailles, si ses avoirs ne lui sont pas restitués.

Ce projet de braquage proposait de prêter jusqu’à 135 milliards d’euros à l’Ukraine et d’utiliser les fonds russes gelés comme garantie. Le prêt aurait été remboursé avec les «réparations» russes après la guerre. Il est toutefois peu probable que Moscou accepte de payer des réparations pour un conflit qu’elle estime ne pas avoir commencé, l’attribuant à une guerre par procuration déclenchée par l’OTAN. C’est la Russie qui demandera des réparations, notamment pour la perte subie sur ses avoirs étrangers saisis dans les banques européennes, ainsi que pour les pertes humaines et les destructions infligées à sa population.

Incapables de mener à bien leur projet de spoliation de la Russie, les élites européennes se sont rabattues sur leur plan B. Il prévoit que l’Union européenne contracte une «dette commune» sur les marchés internationaux pour prêter 90 milliards d’euros (105 milliards de dollars) à l’Ukraine, encore un projet insensé, criminel et irresponsable de la part des élites sans scrupules qui estiment n’avoir de comptes à rendre à personne. Le régime corrompu de Kiev, dirigé par le président fantoche non élu Volodymyr Zelensky, a déjà gaspillé des centaines de milliards d’euros et de dollars dans une guerre impossible à gagner qui dure depuis près de quatre ans. L’Ukraine est en faillite, et cette injection supplémentaire de 90 milliards d’euros sera détournée par la mafia de Kiev, permettant au régime de prolonger cette guerre par procuration vaine qui fera des dizaines de milliers de morts supplémentaires.

Selon le plan B, les fonds gelés de la Russie restent intacts, bien qu’ils soient toujours illégalement immobilisés. Ce sont désormais les citoyens européens qui se voient imposer un endettement permettant de financer le régime de Kiev, et ils en supporteront le fardeau pendant des générations.

Trois nations, la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque, ont sagement refusé de souscrire à ce nouveau «prêt de réparation». Elles affirment que leurs citoyens ne paieront pas pour l’argent dilapidé dans la corruption ukrainienne, ni pour prolonger une guerre meurtrière et perdue d’avance.

Quoi qu’il en soit, le hold-up financier opéré par les élites européennes est tout simplement stupéfiant. Ce vol pur et simple, destiné à financer une guerre contre une Russie dotée de l’arme nucléaire, va de pair avec une corruption endémique, dont les dirigeants du régime néonazi ont profité pour accumuler des milliards de dollars de biens à l’étranger. Avec l’effondrement généralisé des responsabilités démocratiques et juridiques envers les citoyens européens, sans parler de la répression de la liberté d’expression et la censure de l’information dans toute l’UE, l’Europe vient de perdre son peu de démocratie résiduelle pour se métamorphoser en un régime autocratique contrôlé par les élites.

Certains citoyens de l’Union européenne se voient même empêchés d’accéder à des articles tels que le présent éditorial ou d’autres articles de Strategic Culture Foundation, comme celui [censuré] évoquant les fausses allégations concernant les enlèvements d’enfants russes, en raison des interdictions imposées par la bureaucratie européenne sur internet. Alfred de Zayas et d’autres ont noté que cette régression du droit à l’information signe l’arrêt de mort de la démocratie dans l’UE.

Toutefois, le détournement de fonds publics pour financer la guerre et la corruption est peut-être l’exemple le plus flagrant de l’absence de contrôle sur l’élite de l’UE. Von der Leyen a déjà été impliquée dans une affaire de corruption pour avoir acheté en toute opacité et sans rendre de comptes des milliards de vaccins contre le Covid-19 à Big Pharma. Elle a également été impliquée dans des transactions douteuses concernant des fonds publics lorsqu’elle était ministre allemande de la Défense.

Elle n’est que le symbole d’une élite politique européenne imposant aux citoyens des politiques irresponsables sur les plans juridique et démocratique.

On assiste en effet à une «renazification de l’Europe», pour reprendre les termes du chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. Les élites européennes collaborent avec les néonazis de Kiev, et à l’instar de von der Leyen et l’Allemand Merz, sont issues de familles d’anciens nazis dont le passé devrait les faire réfléchir. Leurs homologues dans d’autres États européens étaient de fervents collaborateurs du Troisième Reich et aujourd’hui, dans les États baltes comme en Estonie (patrie de Kaja Kallas, non élue de l’UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, jumelle russophone de von der Leyen) des monuments sont inaugurés à la gloire des collaborateurs SS et autres auteurs de massacres, tels que le monument de Lihula ou encore la plaque en mémoire d’Alfons Rebane, et l’inauguration à Tallinn d’un mémorial aux soldats estoniens ayant combattu sous l’uniforme nazi. Les dirigeants de l’OTAN en Europe, comme l’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte, appellent pourtant les civils à se préparer à mourir dans une guerre contre la Russie.

L’une des politiques clés du Troisième Reich consistait déjà à instrumentaliser le pillage financier des États européens conquis, en s’appropriant systématiquement et «légalement» les banques centrales et Polonais Donald Tusk, dont les compatriotes ont été massacrés par les nazis ukrainiens pendant la Seconde Guerre mondiale, semble aujourd’hui davantage intéressé par le soutien aux néonazis en Ukraine que par une quelconque justice historique. Cette semaine, Tusk a justifié le vol de fonds publics européens en déclarant :

«Si ce n’est pas avec les fonds publics aujourd’hui, nous y serons contraints demain en versant le sang».

L’Union européenne est aux mains de fascistes bellicistes prédateurs, prêts à tout pour assouvir leurs fantasmes russophobes. Ces extrémistes ont déjà détruit l’Europe par le passé, et s’apprêtent à récidiver.

Ces faits sont gravissimes. On cherche à faire taire tous ceux qui, avec une certaine audience, tentent de freiner l’ardeur belliciste de l’UE, qui veulent arrêter cette course folle vers les abîmes de la guerre. Il ne suffit pas d’être pacifiste dans l’abstrait, il faut s’en tenir aux FAITS, et la VÉRITÉ sur le FAITS est aujourd’hui interdite. C’est la situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui, il est temps de le comprendre.

Marianne Dunlop

XXX

Sanctions contre Jacques Baud

par Alex Krainer

Lundi 15 décembre 2025, le Conseil de l’Europe (CE) a rendu une décision sanctionnant un groupe de douze personnes, dont le colonel Jacques BaudXavier Moreau et Nathalie Yamb. Le colonel Baud était membre des services de renseignement stratégique suisses et responsable de la doctrine des opérations de maintien de la paix des Nations unies. Au sein de l’OTAN, il a participé à des programmes en Ukraine après le coup d’État de Maïdan entre 2014 et 2017. Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages sur le renseignement, la guerre et le terrorisme. Xavier Moreau est journaliste et ancien officier militaire français, tandis que Nathalie Yamb est une militante et entrepreneuse suisse-camerounaise.

Aucune des personnes sanctionnées n’a été condamnée pour un crime. Elles ont plutôt été accusées par le CE de pensées incorrectes et de participation à des «activités déstabilisatrices de la Russie». Le CE a déterminé que le colonel Baud est «responsable, met en œuvre ou soutient des actions ou des mesures politiques attribuables au gouvernement de la Fédération de Russie qui compromettent ou menacent la stabilité ou la sécurité d’un pays tiers (l’Ukraine) par son implication dans l’utilisation de la manipulation de l’information et de l’influence».

Ayant suivi le colonel Baud et regardé nombre de ses interviews, je ne peux qu’être en désaccord avec la décision de la CE. Dans toutes ses interviews et ses écrits, il apparaît comme un universitaire réfléchi et rigoureux, s’appuyant sur des informations soigneusement vérifiées, provenant presque exclusivement de sources ukrainiennes ou occidentales. Je dirais qu’il a été une source très importante d’informations véridiques sur la guerre en Ukraine. Baud n’a jamais donné l’impression d’être pro-russe ou anti-ukrainien, mais plutôt un analyste soucieux de la vérité, qu’il a toujours transmise de manière sobre et rationnelle. Il a fait une déclaration concernant les sanctions de la CE à son encontre :

«Oui, j’ai été sanctionné pour «propagande russe». Le fait que je n’utilise jamais de documents russes pour mes livres, que je m’appuie exclusivement sur des informations ukrainiennes et occidentales, et que j’ai par conséquent refusé les invitations des médias russes, fait de moi un «propagandiste russe» ! Comme je l’ai indiqué dans mes livres, mon travail ne consiste pas à déterminer qui est bon et qui est mauvais, mais à montrer comment les médias déforment la réalité sur le terrain. Je voulais montrer qu’il est possible de mieux comprendre le conflit même sans informations russes. L’idée est que la manière dont nous comprenons une crise détermine la manière dont nous la résolvons ! Je n’avais pas réalisé à quel point j’avais raison».

En effet, la vérité est un crime de pensée dangereux dans l’empire du mensonge, et le colonel Baud a donc dû être soumis à une punition exemplaire, y compris la saisie de ses biens.

Parce que nous pouvons…

Le Conseil de l’Europe a-t-il poursuivi le colonel Baud devant un tribunal ? L’a-t-il accusé d’avoir commis un acte illégal ? A-t-il été informé de ces accusations et a-t-il eu la possibilité de confronter ses accusateurs et de se défendre ? Rien de tout cela : le CE a prononcé les sanctions, un point c’est tout. Si le terme «sanctions» semble être un moyen clément de corriger une pensée incorrecte, ce n’est pas le cas. Ayant moi-même vu mon compte bancaire bloqué pendant six mois, j’ai pu constater à quel point cela peut être incroyablement débilitant. Du jour au lendemain, vous ne pouvez plus payer vos factures ni recevoir de paiements. Cela entraîne immédiatement une cascade de problèmes et de difficultés qui peuvent avoir des conséquences très graves.

Mme Nathalie Yamb a expliqué les effets de ces sanctions, les qualifiant de «peine de mort socio-économique» :

«au début, j’ai complètement sous-estimé l’impact des sanctions. Mais mon sourire s’est rapidement effacé. À un rythme effréné, j’ai fait l’expérience des tentacules de l’extraterritorialité de l’anarchie européenne. L’une après l’autre, mes cartes de crédit sur des comptes en Suisse, en Afrique et en ligne ont été bloquées. Mes comptes eux-mêmes ont été bloqués. Mes cryptomonnaies étaient inaccessibles. Mon compte PayPal et GoFundMe ont été fermés. Il en a été de même pour mes comptes Amazon, AirBnB, Booking.com, Deezer et eBay. Tous les contrats ont été résiliés.

Je ne pouvais plus payer mon loyer, mes assurances, mes impôts, mes avocats ou mes médicaments. Je ne pouvais plus acheter de billet d’avion, écouter de la musique, regarder Netflix, prendre un Uber, passer une commande en ligne ou payer une note d’hôtel. Mais il y a mieux : je ne peux pas retourner en Suisse pour faire face à des urgences, car les sanctions comprennent une interdiction de survoler le territoire de l’Union européenne, même si la Suisse est complètement enclavée… Lorsque vous imposez une interdiction d’entrée, celle-ci doit être justifiée par le fait que la présence d’une personne donnée sur votre territoire ou dans votre espace aérien constitue un danger immédiat pour votre sécurité. (…)

La peine de mort socio-économique, l’effacement civil auquel ils me condamnent sans procès, en m’empêchant de voyager, en me coupant de tout dans un environnement numérisé, la violence sans précédent qu’ils utilisent contre moi pour atteindre des objectifs politiques, en droit, cela s’appelle du terrorisme. Et ils l’utilisent non seulement pour me briser, mais aussi et surtout pour envoyer un message à ceux qui pourraient être tentés de penser et d’agir comme moi».

Pour toute nation qui prétend adhérer à l’État de droit, il devrait être interdit à tout responsable politique d’agir en tant que procureur, juge et bourreau, et de soumettre des personnes à des sanctions contre lesquelles elles n’ont aucun recours, mais c’est pourtant ce qui se passe aujourd’hui en Europe. Ce qui est encore plus alarmant, c’est le fait que les décisions de la CE sont mises en œuvre presque instantanément, exécutant une «peine de mort socio-économique».

Les implications de cette situation sont très sombres et devraient être profondément troublantes. Ce qui a été fait au colonel Baud, à Xavier Moreau et à Nathalie Yamb peut être fait à n’importe qui à tout moment. Aucune procédure régulière n’est requise, aucun droit Miranda n’est lu, aucune présomption d’innocence n’est admise et aucune possibilité de se défendre n’est offerte. Je ne peux pas dire pourquoi Mme Yamb a été sanctionnée, mais je sais que Moreau et Baud sapaient le discours occidental selon lequel l’Ukraine était en train de gagner la guerre et que la Russie pouvait être vaincue.

Ce discours est important pour les eurocrates mensongers, car il vise à nous encourager tous à approuver le gaspillage de milliards pour la défense de l’Ukraine et à être prêts à nous enrôler et à partir en guerre et/ou à envoyer nos enfants. Si personne ne conteste le discours de l’establishment au pouvoir, nos enfants pourraient connaître le massacre généralisé que «nos parents et grands-parents» ont connu. Comme l’a dit George Washington, «si la liberté d’expression nous est retirée, nous pourrions être conduits, muets et silencieux, comme des moutons à l’abattoir». L’Ukraine en est le meilleur exemple.

Xavier Moreau explique ici les mesures de rétorsions et d’exclusion sociale qui le frappent sans procès et sans jugement ! 

 

 

Concernant Nathalie Yamb, votre serviteur a produit un article sur son sort ici :

Enfin, pour ceux parmi vous qui accordent de l’importance au message biblique, voici ci-après une analyse qui force la réflexion. Le professeur Jacques Colant est, à mon avis, l’un des meilleurs enseignants francophone de la Bible.

« Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. »

Luc 12:2

Gigobleu

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5 Commentaires

  1. « Mer.d’ici », tous ces collabos qui nous ont forcés, poussés dans cette géôle qui nous a tout pris.
    Oui ! des générations de milliers de collabos politichiens, journaleux, juristes…et qui osent encore !
    Qu’espèrent-ils pour eux ? Quel a été le prix de leurs forfaitures ?!

    « Sars-Khözy » qui échappe encore et toujours à la Justice, la vraie ; récemment condamné pour une broutille au regard de tout ce qu’il nous a fait (et en plus qui cherche à se faire succéder par son rejeton « Louis le XIXème »), à une « peine, courte, mais joyeuse » d’opéra comique qu’il purge dans les îles.

    Sa première forfaiture présidentielle a été : l’abrogation du délit de Haute trahison ; sa dernière après son éviction du « trône » a été de donner des conseils sur l’économie au Qatar… (j’ai toujours considéré cela plus qu’inconvenant, surtout quand on sait quelle proxmité il avait avec les Qatari pendant son mandat) ; sans oublier l’or Français que ce président « bling-bling » a offert aux USA (connaissant aussi ses attaches avec ce pays)… sans parler de la sape de nos industies à faveur des USA.
    ….

  2. C’est exactement la même europe que Hitler voulait. Et si elle a été faite ainsi, c’est parce que nos dirigeants sont depuis 50 ans des traîtres vendus aux nazis. La preuve la hyène détruit la France et favorise l’Allemagne, sûrement par vengeance. Un Nuremberg ll est nécessaire et cette fois il faudra tous les pendre.

  3. Enfin ! Merci pour cette synthèse à partaer massivement pour que les Français, les Européens aient la connaissance suffisante, soient suffisamment éclairés pour voir et comprendre ce qu’est l’arnaque de l’Union Européenne et le piège « létal » dans lequel ils sont pris sans espoir de s’en sortir par la démocratie inexistante.

    À eux, à présent de faire leur choix en conséquence de cause sur leur destinée. Si rien ne bouge malgré cela ; alors c’est qu’ls sont consentants et qu’ils n’ont plus qu’à subir.

  4. Hitler voulait une Europe conquise par les armes, l’UE la réalise par le diktat. C’est plus sournois et plus efficace.