
Le 18 décembre 2025, Laurent Nuñez, ministre de l’Intérieur, a inauguré le Prix Entreprises avec les Réfugiés.
Derrière ce nom anodin se cache une initiative scandaleuse : récompenser publiquement les entreprises qui embauchent des réfugiés et mènent des politiques de recrutement « inclusives et diversifiées ». Donc discriminatoires pour les nôtres. (1) La preuve c’est que toute entreprise qui se vanterait de recruter de préférence des Français se retrouverait au tribunal..
Quel est le message envoyé ? Que recruter un réfugié mérite une médaille, une visibilité nationale, un trophée décerné par l’État lui-même ! Pendant ce temps, les millions de jeunes Français au chômage – plus de 6 millions de demandeurs d’emploi en France – n’ont droit à rien. Pas de prix, pas de valorisation, pas de coup de pouce pour eux.
C’est de la discrimination positive pure et simple. On incite les employeurs à mettre la priorité non pas sur le mérite, les compétences ou la motivation, mais sur le statut de « réfugié » ( et réfugié… quand tout étranger peut prétendre au statut puisqu’il y a toujours une raison, bonne ou mauvaise, pour fuir un pays.. Un jeune Français, diplômé, motivé, né ici, élevé ici, contribuant déjà à la société, se verra-t-il écarté parce qu’il n’a pas le « bonus réfugié » ? Parce qu’il est « trop français » ?
Ce prix, piloté par le ministère de l’Intérieur en partenariat avec le HCR (ONU), le MEDEF et d’autres, vise officiellement à « changer le regard sur les réfugiés » et à promouvoir leur « intégration durable ». Belle rhétorique ! Mais en réalité, il crée une concurrence déloyale sur le marché du travail. Les entreprises, attirées par l’image positive et les encouragements étatiques, seront tentées de privilégier ces profils pour gagner le prix, au détriment de nos concitoyens.
Nos jeunes, déjà fragilisés par une économie en crise, des faillites en série et un chômage endémique (et je ne parle pas d’une école au rabais, qui n’instruit plus mais enseigne. à suivre aveuglément les slogans politiques gauchistes), méritent-ils d’être relégués au second plan à cause de leur origine ? Non ! Le mérite doit primer, pas l’origine ou le statut migratoire.
Ce gouvernement préfère décorer ceux qui embauchent des étrangers plutôt que de protéger l’emploi des Français. C’est une trahison. Priorité nationale doit signifier priorité aux nationaux !
Dites non à cette discrimination inversée. Exigez l’égalité réelle : un emploi pour tous, basé sur le talent, pas sur le passeport ou le parcours migratoire.
Les Français d’abord !
*(Sources : Communiqué officiel du ministère de l’Intérieur, 18 décembre 2025 ; annonces relayées par divers médias.)*
Qui s’étonnera de ce nouvel abandon de la France et des Français puisque le même Nuñez, il y a à peine 2 mois, invité de Sonia Mabrouk, avait refusé d’établir un lien entre immigration et délinquance, au nom du refus de tout discours « blessant » ou « brutal »… Ben voyons !
(1)
Le ministère de l’Intérieur lance, avec ses partenaires institutionnels et économiques, le prix « entreprises avec les réfugiés », destiné à reconnaître les entreprises qui contribuent activement à l’intégration professionnelle des personnes réfugiées en France.
Ce prix vise à mettre en lumière les initiatives exemplaires portées par les entreprises autour du recrutement de réfugiés, de l’accompagnement en entreprise et de l’intégration durable dans la continuité des engagements pris par la France lors du Forum mondial des réfugiés en 2023.
Il participe à l’objectif du gouvernement français de favoriser l’insertion dans l’emploi des étrangers en situation régulière sur le territoire national, notamment des personnes bénéficiaires de la protection internationale.
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Bonjour Christine. Les autres avant les nôtres, voila la doctrine de ces « ordures francocidaires » ! On ne s’étonnera pas qu’avec de tels principes, du nivellement par le bas de tous nos atouts qu’ils soient industriels où scientifiques. En adaptant la société française au nouvaux arrivants, on la condamne, à terme, à ce qu’ elle soit moins développée que le plus pauvre des pays d’Afrique ! Il faudrait rebaptiser ce prix » prix de la traitrise » ou prix « Francocide ». Bon dimanche.
Pour ceux qui ne savaient faire la différence entre officieux et officiel , vous voila maintenant éclairé .
C’est l’institutionnalisation du racisme.
Cela a commencé avec la loi sur la parité de Lionel Jospin, qui avait nécessité de changer la constitution qui interdisait toute discrimination selon le sexe …
La parité : première loi raciale en France, qui n’a rien à envier dans son principe aux lois régissant le statut des Juifs sous Pétain ou même aux lois raciales de Nuremberg.
Bravo Jospin !
On ne dire jamais assez l’oeuvre démoniaque et destructrice du protestant rigide sans amour de Jospin