Surveillés au nom du climat : bienvenue en dystopie verte

La suspension de nos droits à cause du climat, ce n’est plus de la politique fiction !

Excellente émission de Bercoff. A partir de la minute 46 « la dictature du climat ». Il recevait hier sur Tocsin Jean-Marc Perrin,  un ami,  scientifique et lucide, présenté par Bercof comme « climato -sceptique »  ce qui l’a fait tiquer.  » non je suis pas climatoceptique. Euh il y a un certain réalisme qu’il faut avoir à ce niveau-là et je crois  quand même que si vous voulez ça mérite d’être d’être souligné  je me définis comme un écologiste.   Un vrai carrément. Ah oui mais un vrai mais il y a écologiste et écologiste.« 

C’est à partir de la minute 46. 

Un livre de politique fiction, un livre étonnant selon Bercof.

Ecoutez Jean-Marc :  je sais plus ce qui est la réalité dans le roman et ce qui ce qui est inventé. En tout cas, c’est du réalisme possible. Comme vous l’avez souligné, je l’ai écrit il y a 2 ans.. C’était vraiment un peu de la folie en partant d’éléments existants. C’est sur ça que je vais insister tout à l’heure si vous le permettez bien. Et petit à petit, j’ai vu que la folie vers laquelle on se dirigeait devenait une réalité. Donc ce que vous venez de lire là, je ne sais même pas si c’est un texte actuel issu de débat au  Sénat ou si c’est quelque chose que j’ai inventé. Vous comprenez ? À ce moment-là où je me suis rendu compte qu’on passait les bornes quoi. Et  le roman n’est pas une critique du réchauffement climatique ou du dérèglement climatique si on veut bien. C’est une critique des dérives totalitaires. 

Je vous conseille de voir toute l’émission c’est un régal.

Mais je m’arrêterai sur le passage suivant. ALERTE ROUGE !  (transcription YouTube)

je veux dire vous m’avez presque insulté en me traitant de climatosceptique. J’ai échappé au conspirationniste de peu de peu. Donc je vous remercie. Ben si vous voulez aujourd’hui je suis pas là comme conspirationniste.
Je suis là pour dire « qui est-ce qui conspire ? »
J’ai les noms des conspirateurs et je pense que je vous le donnerai à la fin de l’émission si vous me le demandez. En réalité tout ce que je vais vous dire est vérifiable. C’est du factuel. J’ai bien pris le temps de relire mes notes pour être certain de pas dire de sottises  parce que faire la différence entre la fiction et les réalités aujourd’hui ça devient une galèree.
C’est vrai. Il y a trois choses qu’il faut dire. Il y a un document officiel qui tient en quatre lettres. C’est SNBC. . Vous savez ce que ça veut dire ? je l’ai lu il y a 3 jours.
Alors c’est stratégie nationale bas carbone et  ça c’est pas moi qui l’a inventé et c’est un décret qui a été signé le 20 avril ou non le 21 avril 2020 et publié au journal officiel 2020. Oui, 2 jours après, rappelez-vous, c’était l’époque du Covid, donc les gens pensaient à autre chose que ce qui était signé.
Et ce décret, c’est le passeport vers l’enfer.
Donc c’est un décret très officiel de de la République française. On le trouve dans l’officiel, il fait 193 pages et ça vous décrit ligne à ligne le réel enfer se dirige. Alors que dit ce ce alors ce qu’il dit c’est très simple :
Il y a un constat,  aujourd’hui le Français consomme environ 9, 10 tonnes de carbone par produit. Alors commencez calculé, je sais pas mais admettons que ça soit exact. Et l‘objectif chiffré qui figure en toute lettre dans ce décret  officiel de l’État français, c’est pas un romancier hein, c’est des gens sérieux, c’est des énarques qui ont cré ça. Ben c‘est 2 tonnes. Ça veut dire très clairement qu’on va vous demander de réduire votre niveau de vie,  votre train de vie.. Et ça touche tout. C’est explicite l’alimentation, le transport, le tout est écrit. Ça s’appelle la feuille de route de l’État français. Donc c’est vraiment une feuille de route.  Feuille de route, ça veut dire ce que ça veut dire. Ouais, ça veut dire ce que ça veut dire. Donc on y est en plein. Et si vous voulez là où je dis que ce que j’ai écrit il y a 2 ans n’était pas faux, c’est que on en mesure les effets.
Quand je parle d’effets sur le transport, vous avez entendu parler des feuilles il y a quelques temps des les ZFE,  c‘est là-dedans. Ensuite, le logement, bah c’est pareil, vous avez entendu parler de cette petite musique qui dit que les gens ils ont des logements trop grands, ça serait bien de les faire plus petits. Et puis vous comptez le mètre carré pour assez la taxe euh la taxe et il y a mieux que ça. Il y a mieux que ça. C’est un truc qui est pas facile à prononcer, c’est les anes. C’est quoi les anes ? Artificialisation nette. Zéro artificialisation nette. 

Je vous laisse écouter la suite. Passionnant. Terrifiant. Quand est-ce qu’on vote pour des gens normaux, non vendus à un projet totalitaire ? 

 

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5 Commentaires

  1. Dépossession planifiée et méthodique de nos libertés collectives et individuelles, dépossession de nos biens matériels et immatériels… dépossession de nous-mêmes, transmutation progressive la mort supplantant la vie (avortement, suicide assisté, euthanasie érigés en vertus)… En voilà de belles « valeurs progressistes et républicaines » !
    Même l’expression courante de « seuil de tolérance » est passée de mode. Est-elle abolie ou n’est-ce qu’une apparence ?
    Car n’en déplaise, il y a encore partout le sursaut, une vie, la vie, intense, bouillonnante, fervente, sacrée.

  2. Merci pour cet article, effrayant mais qu’il fallait publier. Peut-être vont-ils interdire l’incinération des défunts et les recycler dans l’alimentation humaine et animale. Papi et mami, tata, tonton, terminant en croquettes, ce n’est peut-être pas une fiction?

    • Ce serait logique d’éviter ce gaspillage. Mais jusqu’où peut aller la logique? Quels sont les autres réalités en prendre en compte ? Personnellement, je veux bien que mon corps soit recyclé en nourrissant les corbeaux ou les sangliers !! (Bien que ces enquiquineurs m’agacent en remuant le bas du pré humide !). Je peux aussi nourrir les vers de terre, ces gentilles bêtes qui aèrent la terre.