En novembre 2025, la France a procédé à l’interpellation musclée d’Anna Novikova, une Franco-Russe de 40 ans, fondateur de l’association SOS Donbass. Cette organisation, créée en 2022, organise des convois humanitaires pour aider les civils du Donbass, une région martyrisée par le conflit en Ukraine.
Anna Novikova, mère de famille, se présente comme une militante pour la paix, promouvant même des affiches affirmant que « la Russie n’est pas mon ennemi ».
Pourtant, la DGSI et le parquet de Paris la soupçonnent d’espionnage économique au profit de Moscou : sous couvert d’activités humanitaires, elle aurait approché des cadres d’entreprises françaises pour obtenir des informations sensibles. Avec d’autres membres de son association, elle a été mise en examen pour » intelligence avec une puissance étrangère » et placée en détention provisoire.
On ne peut s’empêcher de s’étonner : la France n’est officiellement pas en guerre contre la Russie. Pourquoi alors traiter une citoyenne française engagée dans l’humanitaire comme une espionne d’un État ennemi ? L’espionnage est un délit grave, punissable même en temps de paix s’il porte atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation. Mais ici, les accusations reposent sur des soupçons d’approche de cadres et des actions de propagande pro-russe – des collages d’affiches et des campagnes pacifiques.
Anna Novikova et ses proches nient farouchement, affirmant que son engagement est purement humanitaire et idéologique. Dans un contexte de tensions géopolitiques extrêmes, où la France soutient massivement l’Ukraine, cette affaire soulève des questions dérangeantes : assiste-t-on à une criminalisation des opinions pro-russes ? Ou à une réelle menace d’ingérence ?
Quelle que soit la vérité qui émergera au procès, cette interpellation brutale d’une humanitaire laisse un goût amer. En démocratie, même en temps de crise, la présomption d’innocence et la liberté d’expression devraient primer. Espérons que la justice apporte des réponses claires, sans céder à la fièvre guerrière.
A l’heure où le pacifique Xavier Moreau est persécuté, privé de ses avoirs, le pire est à craindre, non ?
Nous ne savons pas exactement ce qui s’est passé et qui a conduit Anna Novikova à être arrêtée mais le rapprochement avec l’affaire Moreau ne peut que nous inquiéter
La France est-elle encore en démocratie ?

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La France n’est plus une démocratie, jour après jour les preuves s’accumulent pour le confirmer.
Ça évite de regarder ailleurs.
https://www.epochtimes.fr/epoch-tv/ntd-lactu/des-coupe-circuits-radio-decouverts-dans-des-bus-et-des-onduleurs-solaires-chinois-a3133326.html
Franchement, vu l’état de l’économie française, accuser cette personne d’espionnage économique est un non-sens. La France n’est plus une démocratie depuis 2017, mais une république bananière avec à sa tête le roi Emmanuel Loukoum Ier.