Capricieux, versatile, lâche, frimeur, inconséquent, le Zygomyr est une copie de Macronescu. Incapable d’analyser une situation et d’en tirer les conséquences. L’un comme l’autre nient les réalités, vivent dans l’illusion d’être des cadors, et sont prêts à tout pour se cramponner au pouvoir. Et tant pis si leur pays sombre dans l’abîme.
Pendant les pourparlers, la guerre continue et s’intensifie
Vladimir qui a été roulé dans la farine deux fois lors des accords de Minsk, puis promené en mars dernier avec une suspension des hostilités que Kiev avait l’intention de ne pas respecter, ne se laissera plus piéger par des promesses dilatoires. D’autant qu’en essayant de l’attirer dans un piège grossier à Istanbul en mai, où un sniper l’attendait, l’ignoble pygmée a encore aggravé son cas.
Le conflit ukrainien se joue simultanément sur le champ de bataille et dans les négociations diplomatiques. Pour le gnome diabolique, ce n’est rien d’autre qu’un énième jeu de rôle sur un plateau de télé-réalité. Où toutes les variantes de l’esbroufe sont permises. À part qu’il joue avec des vrais morts et que cela ne semble pas le perturber outre mesure.
Au plan militaire les attaques se poursuivent sans relâche et Poutine maintient son objectif, la récupération totale du Donbass. Le Kremlin qui contrôle 85 % des oblasts de l’Est et 20 % de l’Ukraine n’est pas intéressé par un cessez-le-feu partiel permettant à l’ennemi de souffler et de recevoir de nouvelles armes. L’Ukraine n’a jamais tenu parole ni en 2014, ni en 2015 , ni cette année quand une suspension limitée des hostilités avait été obtenue par les Américains.
Pendant un mois, la Russie s’engageait à ne pas frapper les infrastructures énergétiques ukrainiennes. Et réciproquement. Mais les Ukronazis ont continué comme si de rien n’était. On ne peut pas faire confiance à une bande de corrompus jusqu’à la moelle, renforcés par des hordes de mercenaires venus de Daech et de Colombie.
Le Donbass est un étau qui se resserre sur la soldatesque ukrainienne en mauvaise posture, même si le Zygomyr refuse de le reconnaître
Les combats les plus violents se concentrent au-delà de Pokrovsk et de Myrnohrad où la Russie a bouclé tout le secteur par une vaste manœuvre d’encerclement. Ne subsistent plus que des groupuscules isolés dans les ruines, coupés de leurs arrières. Mais avec l’art du mensonge qui le caractérise, le gnome arrogant reconnaît que la situation est « un peu difficile » après des semaines d’assauts ininterrompus. Tant qu’ils ne sont pas tous morts, tout va bien !
Ce mendigot cupide, sans honneur, ni parole, ni dignité comme Macronescu, n’a pas encore compris que s’il a pu faire illusion au début de la guerre pour plumer ses bienfaiteurs, en narrant des victoires imaginaires, désormais ses sponsors sceptiques et ruinés sont beaucoup moins généreux.
Pokrovsk est tombée mais pour le Zygomyr, une ou deux escarmouches inabouties sont présentées comme des reprises de terrain. Dans la réalité, des reportages récents tournés par des télés américaines montrent des tranchées saturées, des rues désertes et des quartiers entiers réduits en ruines par l’artillerie russe.
En riposte, bien que montées en épingle par Télé Macron et les news de Bill Gates, les frappes en territoire russe, déviées ou annihilées à plus de 90 % sont une tapette sur la joue d’un colosse champion de MMA.
Si l’on en croit les communiqués de victoire de Kiev, la Russie aurait perdu toute son aviation, ses bateaux à voile et à vapeur, ses chars à bœufs, ses girafes de parade, ainsi que plus de la moitié de ses usines à gaz. Cas classique de projection freudienne où le complexé frustré reporte sur les autres ses propres déboires. Si le destin du Zygomyr n’était pas de finir comme Mussolini, les Ceausescu ou Kadhafi, on lui suggérerait se suivre une cure psychanalytique.
Irresponsables les Ukronazis essaient de prendre la sécurité nucléaire en otage, prêts à déclencher un nouveau Tchernobyl. Ça détourne l’attention de leurs reculades.
Depuis deux ans, des drones kiéviens frappent la structure de confinement de la centrale nucléaire. Pour le moment, aucune fuite de radioactivité n’a été signalée, mais c’est bien le but poursuivi par les Ukronazis. Obtenir plus d’armes et de pognon de l’Eurocrature par le chantage d’un nouveau nuage magique qui, cette fois, ne s’arrêtera pas tout seul à la frontière.
Le rase-mottes de Kiev, madré et sournois à défaut d’être intelligent, fait traîner les discussions américano-russes. Sans réaliser, ce gros âne, qu’en raison de l’évolution des confrontations armées, chaque jour qui passe renforce un peu plus la position et la détermination de Poutine. Les bombardements continuent sans interruption, mais le nabot réagit comme Hitler en avril 1945. Tandis que les chars de l’armée rouge patrouillaient dans Berlin en ruines, il continuait à lancer des appels à la radio annonçant la victoire prochaine des nazis.
Adolf et Zygomyr ont beaucoup de points communs. Deux ratés au profil psychologique de frustrés tourmentés. Deux homosexuels honteux mal dans leur peau. Adolf, un ancien clochard, Zygomyr un loufiat à vie… Deux tocards qui se prenaient pour de grands artistes incompris. L’un qui se voyait en peintre de génie alors qu’il n’a jamais produit que de médiocres aquarelles. L’autre jouant au pianiste virtuose en tapotant sur les touches de son clavier avec sa queue. Propulsés l’un et l’autre sur le devant de l’actualité à la suite d’une conjonction de hasards improbables.
La nuit des morts vivants
Le 6 novembre 2025, la Russie a mené une frappe associant 135 drones Shahed à autant d’autres modèles. Provenant de cinq directions à la fois, saturant les défenses ennemies. La propagande ukrainienne, vantarde comme d’habitude affirme en avoir neutralisé 108, ça en laisse plus de 250 qui ont atteint leurs cibles. Le Zygomyr peut toujours pleurnicher comme le nain demeuré qu’il est, ce sont des faits. Et plus grand monde ne se précipite pour se porter à son secours.
Cette attaque n’est pas inédite. Ces chiffres ne sont pas des exceptions. Par une belle nuit de juillet, les Ukrainiens s’étaient pris sur la gueule 728 drones et 13 missiles, tout abattus d’après Kiev. Mais rompant avec des instructions qu’ils n’avaient peut-être pas bien comprises, loin de chanter victoire, les propagandistes zélés de France Télévisions annonçaient des dégâts considérables et une terreur aérienne constante au-dessus des villes ukrainiennes.
Les bilans quotidiens s’allongent, des frappes récentes sur Dnipro et des attaques sur Kiev, Kherson et Odessa ont provoqué des dizaines de morts tandis que les bombardements endommageaient des infrastructures énergétiques essentielles, centrales thermiques et dépôts de carburant. Dur, dur, de se peler les roustons en hiver, malgré le réchauffement climatique. Mais le Zygomyr s’en tamponne le coquillard. Dans son confortable bunker enterré, il ne manque de rien. Comme le perfide Nasrallah avant qu’on lui fasse passer le goût du couscous.
Le plan de paix semble enlisé mais à Moscou on n’est pas pressé
Le projet américain ajusté incluant des garanties de sécurité, la renonciation à l’OTAN, et la perspective pour l’Ukraine d’accéder à l’UE (pour qu’elle crève plus vite) a été jugé trop proche des exigences de Moscou par les eurotocrates. Lesquels, se mêlant encore une fois d’une affaire qui ne les concerne pas, se démènent pour pousser le Zygomyr à refuser la paix. En échange de quoi ? Du pognon volé aux Russes, bien sûr. Entre mafieux, on finit par s’entendre pour partager le butin.
L’Europe dit chercher des fonds pour aider à reconstruire un pays déglingué. Les 90 milliards d’euros des Russes les font saliver comme des roquets scrofuleux devant un collier de saucisses. Les eurotocrates crapuleux avec leurs propres peuples ont trouvé le moyen de voler les Russes dont ils ont gelé les avoirs sans oser les confisquer jusqu’à présent. En prêtant aux Ukronazis un argent qui ne leur appartient pas et dont ils savent pertinemment qu’il ne sera jamais remboursé.
Il n’est pas venu à l’idée de ces microcéphales que Vlad se paierait sur les filiales des trusts européens qui ont encore des intérêts en Russie, ou des participations croisées dans des pays des BRICS.
Christian Navis
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Zelensky était et est juste un artiste , un « bon » comédien , que fait-il en tant que président ? Je ne comprend pas son parcours et pourquoi il a été placé là, où il est aujourd’hui . Aucune logique . Il n’aurait jamais dû être président .
Zelensky devrait retourner à son piano à queue.
Pour la 1ère partie où la description des deux toxicos est analysée : »Incapable d’analyser une situation et d’en tirer les conséquences. L’un comme l’autre nient les réalités, vivent dans l’illusion d’être des cadors ». C’est la coke qui donne cette assurance, cette impression de toute puissance, d’invulnérabilité, et également des coups de blues, des passages à vide, déprimes, etc. Pour la suite, l’idéal serait que Poutine prenne Karkhov et Odessa pour fermer définitivement la gueule aux roquets européens, sans les calculer le moins du monde, tels les merdes qu’ils sont…
Une chose est certaine: dés qu’une paix sera signée entre l’Ukraine et la Russie, « Zin-zin-zky » sera un homme mort!!… Car le Peuple Ukrainien lui-même lui demandera certainement de rendre des comptes pour ces centaines de milliers de vies perdues POUR RIEN!!… Et d’avoir sciemment et délibérément prolongé au maximum cette boucherie fratricide insensée!