A Paris c’est l’heure du grand hold-up sur les croix au profit des mal logés (et des mosquées ?).
Adieu Paris, perle de la laïcité, phare de l’égalité républicaine ! Sous le règne d’Anne Hidalgo, le nouveau PLU bioclimatique, adopté en novembre 2024 est en vigueur depuis janvier 2025, juste avant que la Hidalgo ne déloge de son palais, évidemment. La technique des salauds, que ce soit Macron ou Hidalgo, est au point : savonner la planche à son successeur en modifiant les lois afin de rester au pouvoir sans y être…
Bref, Cruella frappe un grand coup pour la « solidarité » : les biens catholiques (écoles privées, presbytères, jardins de congrégations… sont « pastillés« : en cas de vente, de gros travaux ou même d’une simple rénovation pour respecter les normes (ben voyons !), hop ! 30 à 100 % de la surface doit muter en logements sociaux. Un lycée qui rafraîchit sa cantine ? Bienvenue aux HLM dans la cour de récré ! Un presbytère qui ose agrandir son épicerie solidaire ? Les nouveaux locataires en bail réel solidaire débarquent, priorité aux classes moyennes en détresse… ou pas.
La mairie lorgne sur ces vastes propriétés religieuses, souvent idéalement placées dans l’Ouest chic, pour gonfler ses quotas : 30 % de logements sociaux d’ici peu, 40 % en 2035. « Lutte contre la spéculation », qu’ils disent. Expropriation déguisée, rétorquent les cathos, qui voient leurs établissements menacés d’asphyxie financière. Comment financer une école si vendre un bâtiment ancien devient impossible sans le transformer en tour HLM ?
Mais, comme c’est étrange… la laïcité à la parisienne a ses chouchous. Pendant que les cloches catholiques sonnent le glas de leurs biens, les mosquées, elles, fleurissent gaiement. En Île-de-France, des centaines de lieux de culte musulmans poussent sans « pastillage » intempestif, financés par des dons privés ou des pétrodollars bienvenus. Pas d’obligation de minaret en copropriété sociale, pas de servitude de mixité pour les tapis de prière. La République une et indivisible ? Ou plutôt une laïcité à géométrie variable, où le catholicisme historique trinque pour loger les uns, tandis que l’islam conquérant bâtit ses édifices en paix !
Bientôt, les messes dominicales dans des T2 avec vue sur les pistes cyclables d’Hidalgo, et les appels à la prière résonnant dans des cathédrales des mosquées flambant neuves. Alléluia pour la mixité ! Inch’Allah pour l’équité ! Paris, ville ouverte à tous… sauf à ceux qui portent la croix depuis deux millénaires.
Vive la solidarité sélective, camarades socialauds !
A bas Hidalgo !
Christine Tasin
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Je comprends que Trump en tête ne veut plus venir à Paris qui est devenu une centre d’accueil c’est-à-dire un « shithole » de non intégrés et de dégénérés.
Et on devine sans peine qui seront les futurs occupants de ces logements sociaux. Certainement pas le pauvre retraité français qui crève dans la rue. D’ailleurs c’est pour que tous ces nouveaux bénéficiaires de la générosité de la dingo puissent prier qu’on construit en même temps des mosquées à tour de bras.
Bonjour Christine, pour Hidalgo, il y a toujours de la place pour une mosquée! Pourtant elle devrait s’intéresser de près aux chef-d’œuvre en péril, elle en fait partie ! Bonne journée.
Il y avait une chanson d’une artiste canadienne, Diane Tell il me semble, et qui chantait : Moi, si j’étais un homme, je serais capitaine. Pour Hidalgo, ça donne ceci : Moi, si j’étais un homme, je serais fossoyeur. Elle a enterré Paris, elle l’a tué.
Merci Argo, bien vu !