
ALERTE AU REMPLACEMENT
France, près de 40 % des enfants de moins de 4 ans sont issus de l’immigration
ALERTE AU REMPLACEMENT
France, près de 40 % des enfants de moins de 4 ans sont issus de l’immigration
Une réalité qui transforme le paysage scolaire
Cette dynamique démographique se répercute directement dans les établissements scolaires. L’étude TIMSS 2023 a relevé que « plus » d’un élève de CM1 sur cinq (plus de 20%) parle une autre langue que le français à la maison. Certaines académies sont particulièrement concernées par cette évolution, comme celles de Paris, Créteil, Aix-Marseille, Guyane et Mayotte. À Mayotte, où la moitié de la population est immigrée, la saturation des infrastructures scolaires est notable. Le lycée de Kahani, conçu pour accueillir 1 100 élèves, en scolarise actuellement près de 2 400. La pression est également forte dans l’éducation prioritaire, qui regroupe 1 093 réseaux REP et REP+.
Une note d’analyse de France Stratégie, publiée en septembre 2023, indiquait que si 21 % des enfants sont scolarisés en éducation prioritaire, cette proportion atteint 47 % pour les descendants d’immigrés du Maghreb, 51 % pour les enfants d’immigrés de Turquie et 61 % pour les descendants d’immigrés d’Afrique subsaharienne.
La réponse du système éducatif
Pour répondre à cette évolution, le ministère de l’Éducation nationale a mis en place plusieurs dispositifs spécifiques. On compte aujourd’hui 88 500 élèves allophones nouvellement arrivés (EANA) sur le territoire, un chiffre en hausse de 153 % depuis l’année scolaire 2007-2008. Environ 90 % de ces élèves bénéficient d’un enseignement de français langue seconde au sein des unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants (UPE2A).
Une reconfiguration des missions de l’école
L’auteur du rapport de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie considère que ces dispositifs, souvent méconnus du grand public, « témoignent de la manière dont l’immigration reconfigure en profondeur notre système éducatif ». Dans un contexte de moyens limités, cette adaptation contribue à « une segmentation croissante des missions de l’école ».
L’analyse souligne que l’institution scolaire est de plus en plus sollicitée pour gérer les conséquences sociales et linguistiques des flux migratoires. Cette charge supplémentaire s’ajoute à sa mission fondamentale d’instruction, ce qui modifie l’allocation de ses ressources humaines et financières.
Cette évolution sociétale interroge la capacité du système à maintenir une offre éducative homogène sur l’ensemble du territoire.
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Pcc Juvénal de Lyon // LIBEREZ CHRISTOPHE GLEIZES
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1/2 Il faut avoir la lucidité de le reconnaître, sans stigmatiser quiconque ni renier notre tradition universaliste : un seuil de saturation a été franchi. L’immigration n’est certes pas la cause unique du délitement de notre école, mais elle en aggrave l’ensemble des difficultés.
Les maux décrits dans cette note ne procèdent ni d’un hypothétique « racisme d’État » ni de « discriminations systémiques » fantasmées : ils découlent du désordre profond qu’introduit, dans un système éducatif déjà fragilisé, une immigration massive, subie et, pour l’essentiel non assimilée.
Pour autant, le problème dépasse de loin la seule question migratoire. Notre incapacité à relever les défis qu’elle soulève constitue le symptôme d’un mal plus ancien, et sans doute plus profond, où se mêlent faillite du politique, confiscation du pouvoir par une technostructure hors sol et montée d’une haine de soi que nourrit, jour après jour, la dilution du sentiment national.
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S’il est indispensable de maîtriser les flux migratoires, la solution ne saurait résider dans la prolifération de dispositifs ciblés, dont l’impact réel demeure marginal et qui reviennent le plus souvent à arroser le désert sans atteindre les racines du mal. À rebours des réformes à courte vue, le véritable remède consiste à rebâtir, contre vents et marées, une école arrimée aux trois valeurs cardinales que sont l’instruction, la cohésion nationale et la laïcité. Encore faut-il redonner à l’Éducation nationale un cap politique clair, replacer l’intérêt général au centre de la décision publique et rompre avec la valse des ministres, des contre-ordres et des
effets d’annonce qui entretiennent l’instabilité et l’échec. Alors seulement l’école pourra à nouveau élever tous les élèves, leur insuffler l’amour de la France et les arracher aux déterminismes de la naissance.
L’histoire nous le montre : seule une école fidèle à sa vocation est capable d’accueillir sans se dissoudre et d’assimiler sans se renier.
40 % des enfants de moins de 4 ans sont issus de l’immigration + Immigration massive extra-européenne imposée par Bruxelles + immigration invasion clandestine extra-européenne + droit du sol + rapprochement familial, au final, dans quelques années, on aura à répondre à une seule et même question : « Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ? » récit cru, lucide, authentique et romantique « les corps indécents ». Imaginons la France, dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans. Trump et JD Vance ne s’y trompent pas. Leurs affirmations ne laissent pas la moindre place au doute. Agir maintenant…ou mourir !
Le sort : mais celui des grecs d’ Anatolie (Asie mineure) Sainte Sophie de Constantinople était leur cathédrale !
Ne cherchons pas plus loin, les Ottomans les ont remplacés eux-aussi !!!
C’est notre tour, ouvrez lez yeux, vos remplaçants sont bien là !!! Avec leur intolérance coranique congénitale et portative. Ohé Pape Léon, l’ histoire, la connais tu ? Si tu n’es hypocrite, réclame la restitution de Ste Sophie à ERDOGAN ton nouveau pote !
Bonjour à tous,
Voici le lien de l’intégralité du rapport :
https://observatoire-immigration.fr/wp-content/uploads/2025/11/OID_Etude_Limpact-de-limmigration-sur-le-systeme-educatif_VF.pdf
LE REMPLACEMENT EST EN COURS… NUL NE PEUT L’ IGNORER
L’historien grec Polybe l’avait pressenti, dans une formule brûlante de modernité : « Aucune civilisation ne cède à une agression extérieure si elle n’a pas d’abord développé un mal qui la ronge de l’intérieur. »
Des enfants de parents bacs moins 5 inemployables.
Des enfants qui ne parlent pas français a la maison.
Qui auront le plus grand mal a obtenir un vrai métier.
Et finiront dans la délinquance.
Il est temps de supprimer le droit d’asile et le droit du sol
40% des étrangers ne travaillent pas, c’est une RICHESSE pour tous…Vivre sans travailler ni cotiser aux frais de la nation française !!!
Venez, venez et venez (…un chant de Noël)