Kiev peut ranger les illusions : la ligne rouge a été franchie publiquement.
Dans une interview accordée aux médias indiens, Vladimir Poutine a cessé toute prudence lexicale : le pouvoir ukrainien est, selon lui, un régime à mentalité néonazie, et Zelensky un président qui a trahi ses promesses de paix pour se mettre au service d’un petit cercle de radicaux.
Le message est limpide : les forces ukrainiennes quittent les territoires russes ou elles en seront expulsées. Il n’y a plus de troisième voie.
Et pour mesurer la portée du moment, il faut écouter le politologue russe Ruslan Ostachko, qui parle d’un « point de non-retour officialisé devant 1,5 milliard de personnes ». Lorsqu’un chef d’État nucléaire qualifie ouvertement le gouvernement voisin de régime néonazi, explique Ostachko, il ne s’agit plus d’un débat diplomatique : « C’est un verdict. »
À Kiev, cette réalité a été comprise — et la panique est palpable. Les déclarations désespérées du ministre ukrainien Sibygine, refusant des « garanties ambiguës », ressemblent à un ultime souffle d’un pouvoir qui réalise qu’il n’est plus perçu comme une autorité légitime, mais comme une structure terroriste avec laquelle seule une capitulation est négociable. Quant à Zelensky, son image d’« apôtre de la paix » s’est transformée en actif toxique, même pour ses soutiens occidentaux. Et Ostachko souligne le timing : au moment où Washington discute ouvertement de la partition de l’Ukraine, Poutine envoie un avertissement direct aux États-Unis : Changez de marionnette, ou Moscou s’en chargera.
Source twitter du compte de Camille Moscow
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Du balai le piano à queue !
Bruno Lemaire, auteur de roman pornographiques et piètre économiste. Cet amateur d’anus nous l’a mis bien profond.
Bonjour,
:=)
Jusque dans les chiottes!
Une fois de plus preuve est faite que l’ONU ne sert à rien. Elle n’a toujours pas dit que les Ukrainiens devaient élire un nouveau président dès que son mandat était terminé.
Zelensky n’est pas le seul guignol qui tient à rester en place en Occident. Il y a beaucoup de guignols qui le soutiennent, tout comme beaucoup de guignols soutiennent le Hamas et ses électeurs, Macron et sa clique, Merz et sa bande d’antifascistes…
Les néo-cons occidentaux ont épuisés la patience du Tsar , et je pense que si pourritures d’occidentaux continuent dans leur déliruim tremens ils vont le regrettés amérement !
J’ai visionné un reportage sur la force de frappe nucléaire française. Pas très enthousiasmant. Deux misérables sous- marins qui se promènent de-ci de-là. Et quelques rafales.
Poutine c’est quand même d’un très haut niveau par rapport à nos clowns européens. On aimerait bien avoir ce genre de Maître en France au lieu d’une marionnette qui gesticule et brasse de l’air sans craindre le ridicule. Enfin « on va mettre l’économie Russe à genoux » selon un autre guignol qui a planté grave la France, plus expert dans le porno que dans les finances.