
Paris, le 26 novembre 2025 – Des sources très proches du château affirment qu’Emmanuel Macron traverse « la plus grande crise existentielle de sa vie ». Le traître Zélensky pour qui il a sillonné à moult reprises toute la planète a laissé entendre qu’il pourrait, ô scandale, discuter sérieusement du plan de paix proposé par Donald Trump.
Il a pleuré devant le miroir en répétant : “Moi aussi j’ai un plan, moi aussi j’ai des idées, moi aussi je sais faire des selfies en treillis !” », souffle un conseiller qui a préféré garder l’anonymat… D’autres sources proches affirment que le Président français avait déjà commandé 50 000 exemplaires d’un livre intitulé Ukraine, paix juste européenne sous leadership français, avec en couverture sa photo, le regard déterminé, devant un drapeau européen et un drapeau ukrainien plus petit que l’autre, évidemment.
Il ne s’est pas remis de la révélation que lui a faite mardi soir l’un de ses conseillers : Apparemment Zelensky trouve le plan Trump réaliste. Emmanuel s’est statufié, le regard fixe, rictus aux lèvres.
Il s’est levé tout à coup brutalement, est sorti en courant pour revenir 3 minutes après : non je ne peux pas appeler Kiev maintenant, ils se payent ma tête. Encore un coup de ce Trump qui ne manque pas une occasion de me ridiculiser. Il me paiera ça .
Apparemment la nuit lui a porté conseil, dès potron-minet, en tenue légère il était dans son bureau, dictant un communiqué sur une prochaine conférence internationale sur la paix en Ukraine qui aura lieu à Paris, bien évidemment !
Pendant ce temps, à Kiev, on murmure que Zelensky aurait simplement répondu à un journaliste :
Macron ? Ah oui, le monsieur très élégant qui m’envoie des textos à 3 h du matin pour me dire que l’Histoire nous regarde. Sympa, mais là j’ai surtout besoin que les missiles s’arrêtent de tomber des missiles.
Fin de l’histoire ? Non, début du grand concours européen : qui va réussir à convaincre le monde qu’il est quand même un peu à l’origine de la paix, même si c’est Trump qui appuie sur le bouton stop ?
La médaille en chocolat est déjà prête. Elle est frappée à l’effigie d’un coq qui pleure.
Christine Tasin
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Je ne crois pas que ce psychopathe pleure. Il enrage et son narcissisme va lui faire faire d’autres grosses conneries.
Hi, hi, hi Han, c’un âne qui rit, mais un âne qui pleure, ça fait comment ? Han deux, han deux, han deux, mais ça veut faire la guerre et ça ne sait même pas marcher au pas ! (de l’oie?) Ne dit-on pas bête comme une oie, les ânes en sont jaloux.
Il était con, le voilà cocu.
Et le procès contre Candace Owens n’arrange pas son état d’esprit. Ce n’est plus un chef d’état ( s’il l’a jamais été) mais un chef (sic) dans tous ses états.
Même pas un chef, plutôt un guignol.