Scandaleux ! Les prisons de haute sécurité donnent des permissions

Bonjour les amis,
Un scandale qui prouve encore, s’il le fallait,  que le pays marche sur la tête. Un narcotrafiquant condamné en 2012 s’évade en 2014 et finit dans la prison de haute sécurité de Vendin le Vieil. Hier on nous a appris que le délinquant a eu la permission de sortir pour un rendez vous avec un employeur !  Les mauvaises langues nous parleront de  désinformation de la part des Russes, mais non monsieur dame, c’est bel et bien une réalité contemporaine.
Selon les syndicats,  le prevenu, un certain Nicolas Durant, euh pardon j’avais mal lu , donc disais-je, un certain Ouahid ben Faiza,  52 ans, membre haut placé d’un vaste réseau de trafic de stupéfiants, déjà évadé de la prison de Villepinte en 2014 et resté en cavale pendant deux semaines, a été incarcéré à la prison de haute sécurité de Vendin le Vieil.  C’est là où cela devient risible, si on apprécie l’humour noir ! Un lieu où en theorie,  il s’exerce une surveillance 24h sur 24. Créée spécialement par Darmanin pour les détenus les plus coriaces et dangereux, voila qu’ aujourd’hui, alors que le détenu ne serait « libérable » qu’en 2029, on lui donne la permission de sortir pour un rendez vous avec un employeur !
Je me demande quel salopard, et je pèse mes mots, pourrait employer un tel individu, alors que tant d’honnêtes gens sont au chômage ! On ne donne plus, dans la France Macronienne, un coup de pouce qu’aux vermines delinquantes. Qui pourrait nous faire croire  qu’un trafiquant de drogue plein aux as accepterait de travailler pour un SMIC ! Sarkozy  avait déjà proposé la même solution pour débarrasser des trottoirsĺ les péripatéticiennes .
« On ne peut pas imposer un régime ultra-renforcé, dire publiquement qu’on y incarcère les plus grands narcotrafiquants du pays et voir s’appliquer des décisions qui contredisent cet ensemble frontalement », selon Alexandre Caby, le secrétaire général d’UFAP UNSa Justice, cité dans le communiqué.
Voilà où nous en sommes mes chers amis , bien sûr  ce matin  sur » France intox » on nous a ressorti le : « ce n’est que l’application de la loi… un délinquant peut changer…et les droits de l’homme alors? Bref que les jérémiades habituelles de ces bobos, qui d’ailleurs sont les premiers clients de ces criminels.
Voila ce que dit Daniel Lacroix,  secrétaire  local FO justice à Vendin le Vieil
Si ce détenu « était passé au quartier de lutte contre la criminalité organisée, c’est qu’il représentait un risque » (Souce Ouest France)
Bonne journée à vous tous.

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18 Commentaires

  1. —-Qui peut croire qu’un individu, présenté comme un caïd donc un patron dans son milieu, qui a gagné plusieurs smic par mois en vendant de la drogue sans trop d’efforts va bosser 8 heures par jours et accepter de gagner qu’un smic par mois!—–Il va le faire oui quelques temps pour se faire oublier mais chasser le naturel il revient vite au galop!—–Ils doivent bien rigoler et vont profiter jusqu’à ce que ça pète des largesses de la France!—–

  2. Joli bras d’honneur au francon de la clique macronique qui donne du grain à moudre à la journalie qui n’en fini pas de débattre toute la journée sur les aberrations et dégâts produits par TOUS les salopards qui ont œuvré au déclin français depuis le cagoulard… Et toujours le même ‘président’.

  3. Lire le figaro.
    Un narco d’origine immigrée tunisienne.
    Part pour entretien d’embauche dans une ville islamisée vaulx en velin 69.
    Le gérant de cette société industrielle, qui veut l’embaucher fait parti aussi des membres de l’omma.
    La dechéance de la nationalité française devrait être la norme pour les binationaux délinquants.

    Le gag la justice l’a condamné a 148.000 euros d’amende.
    Le juge lui a fait un étalement des dépenses sur 230 ans avec 50 € de mensualité par mois

  4. L’aménagement de peine:
    La loi prévoit, dans un but de prévention de la récidive, que les peines « peuvent être aménagées en cours d’exécution pour tenir compte de l’évolution de la personnalité et de la situation du condamné ».
    Ces aménagements relèvent de la compétence du JAP et peuvent porter sur les modalité d’exécution ou sur la durée de la peine d’emprisonnement.
    Mais attention, toutes les peines ne sont pas aménageables. L’aménagement de peine avant la mise à exécution ne se porte que sur les courtes peines.
    Les personnes pouvant bénéficier d’un aménagement de peine ne devront pas avoir été condamnées à une peine supérieure à deux ans d’emprisonnement pour un primo-délinquant et à un an pour un récidiviste.

  5. Pourquoi les incarcéré. Pendez les, ça fera de la place. Qu’el est le con qui donne les permissions à des gens dangereux. Payé avec notre pognon pour libérer les prisonniers. On rêve, et dans quelle planète ils vivent ces gens là.

  6. Au titre des aménagements portant sur les modalités d’exécution des peines d’emprisonnement inférieures à deux ans, afin d’éviter ou de remédier à l’effet désocialisant de l’incarcération, et si le condamné présente des garanties suffisantes en termes de réinsertion et de prévention de la récidive, le JAP peut décider que la peine d’emprisonnement s’effectuera sous l’un des régimes suivants :

    la semi-liberté : le condamné bénéficie d’horaires de sortie pendant la journée et doit réintégrer l’établissement pénitentiaire tous les soirs ;
    le placement sous surveillance électronique : le condamné est assigné à résidence par le biais d’un bracelet et d’un boîtier relié à sa ligne téléphonique. Il bénéficie d’horaires de sortie pendant la journée ;
    le placement extérieur : le condamné est pris en charge dans un centre à l’extérieur de la prison. Il exerce une activité pendant la journée et réintègre son lieu d’hébergement le soir.

    • Merci pour ces précisions petit singe, on comprend très bien qu’il y a la loi et que celle-ci à été appliquée et respectée. Mais la loi et le bon sens sont deux choses différentes, et quand on décide d’une nouvelle loi ou réglementation, il faudrait que celle ci soit cohérente avec celles existantes sinon on en arrive à des situations ubuesques comme celles-ci. bonne journée.

  7. Il existe d’autres aménagements possibles, relatifs à la durée de la peine d’emprisonnement :

    tous les détenus peuvent bénéficier de réductions de peines. D’une part, les crédits de réduction de peine (3 mois pour la première année, puis 2 mois par an) sont systématiquement accordés au détenu, mais ils peuvent lui être retirés par le juge en cas de mauvais comportement. D’autre part, les réductions supplémentaires de peine (jusqu’à 2 mois par an) peuvent être accordées par le juge en cas d’indemnisation des parties civiles, de suivi régulier d’une activité en détention, ou de respect d’une obligation de soin ;
    les détenus ayant déjà effectué la moitié de leur peine (les deux tiers quand ils sont récidivistes) et qui présentent des efforts sérieux de réadaptation sociale peuvent bénéficier d’une libération conditionnelle : en échange d’une sortie anticipée décidée par le juge, ces condamnés se soumettent à un suivi régulier et au respect de certaines obligations (soin, travail, remboursement des victimes, etc.).

  8. L’aménagement de peine:
    La loi prévoit, dans un but de prévention de la récidive, que les peines « peuvent être aménagées en cours d’exécution pour tenir compte de l’évolution de la personnalité et de la situation du condamné ».

    Ces aménagements relèvent de la compétence du JAP et peuvent porter sur les modalité d’exécution ou sur la durée de la peine d’emprisonnement.

    Mais attention, toutes les peines ne sont pas aménageables. L’aménagement de peine avant la mise à exécution ne se porte que sur les courtes peines.

    Les personnes pouvant bénéficier d’un aménagement de peine ne devront pas avoir été condamnées à une peine supérieure à deux ans d’emprisonnement pour un primo-délinquant et à un an pour un récidiviste.

  9. tous les détenus peuvent bénéficier de réductions de peines. D’une part, les crédits de réduction de peine (3 mois pour la première année, puis 2 mois par an) sont systématiquement accordés au détenu, mais ils peuvent lui être retirés par le juge en cas de mauvais comportement. D’autre part, les réductions supplémentaires de peine (jusqu’à 2 mois par an) peuvent être accordées par le juge en cas d’indemnisation des parties civiles, de suivi régulier d’une activité en détention, ou de respect d’une obligation de soin ;
    les détenus ayant déjà effectué la moitié de leur peine (les deux tiers quand ils sont récidivistes) et qui présentent des efforts sérieux de réadaptation sociale peuvent bénéficier d’une libération conditionnelle : en échange d’une sortie anticipée décidée par le juge, ces condamnés se soumettent à un suivi régulier et au respect de certaines obligations (soin, travail, remboursement des victimes, etc.).

  10. Concernant l’appel:
    L’article 712-11 du CPP précise que:
    Les décisions du juge de l’application des peines et du tribunal de l’application des peines peuvent être attaquées par la voie de l’appel par le condamné, par le procureur de la République et par le procureur général, à compter de leur notification :
    1° Dans le délai de vingt-quatre heures s’agissant des ordonnances mentionnées aux articles 712-5, 712-8, 713-43 et 713-44, au premier alinéa de l’article 713-47 et à l’article 720 ;

    2° Dans le délai de dix jours s’agissant des jugements mentionnés aux articles 712-6, 712-7 et 713-45 et au deuxième alinéa de l’article 713-47.

  11. Le juge de l’application des peines (JAP) est un magistrat du tribunal judiciaire dont le rôle consiste essentiellement à superviser la manière dont la peine va être appliquée à une personne condamnée.

    En vertu de l’ordonnance no 58-1270 du 22 décembre 1958 relative au statut de la magistrature, les fonctions de JAP ne peuvent être exercées plus de dix ans dans un même tribunal. Il dispose d’un cabinet et d’un secrétariat-greffe.

    L’article D. 49-29 du CPP précise que le greffe du JAP tient « un dossier individuel concernant chaque condamné suivi par ce magistrat ». Ce dossier individuel comprend notamment les rapports établis et les décisions prises au cours de l’exécution de la condamnation par la personne condamnée.

    A noter que le SPIP (Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation) assiste le JAP dans sa mission d’exécution et surtout d’aménagement des peines prononcées et en cours d’exécution.

    Les règles concernant le JAP figurent notamment aux articles 712-2 et suivant du Code de Procédure Pénale (CPP).

  12. A vomir. « Je me demande quel salopard, et je pèse mes mots, pourrait employer un tel individu » : même constat. On devine qui. Merci pour cet article, il faut dénoncer sans relâche !

  13. Merci à notre ami le chti français.

    Il court, il court le dealer
    Le dealer de Vendin-le-Vieil
    Il court, il court le dealer
    Le dealer du bois vilain.