
La Sérénissime souillée par une militante qui piétine mille ans de civilisation

Il y a des lieux sur cette terre qui transcendent leur simple existence géographique pour incarner l’âme même de notre civilisation. Venise est de ces sanctuaires où l’humanité a accompli l’impossible, où le génie architectural et artistique a vaincu les lois de la nature pour ériger une cité-miracle au cœur de la lagune. Ce week-end, Greta Thunberg a commis l’impardonnable : souiller ces eaux sacrées qui ont vu naître la Renaissance, porter les gondoles des Doges et inspirer les plus grands artistes de l’histoire.

Un crime contre la mémoire du monde
Déverser du colorant dans le Grand Canal de Venise ne constitue pas une simple manifestation écologique. C’est un acte de vandalisme culturel, un sacrilège perpétré contre un patrimoine qui appartient à l’humanité tout entière. Ce canal n’est pas n’importe quelle voie navigable : c’est l’artère vitale d’une cité qui défie l’entendement depuis plus de mille ans, un chef-d’œuvre d’ingénierie médiévale où chaque pierre a été posée avec un savoir-faire transmis de génération en génération.
Venise, c’est le Palais des Doges où siégeait l’une des plus anciennes républiques du monde. C’est la Basilique Saint-Marc, synthèse éblouissante de l’art byzantin, roman et gothique, dont les mosaïques dorées ont illuminé les consciences pendant des siècles. C’est le pont du Rialto, précisément celui où ces iconoclastes modernes ont osé déployer leur banderole « Stop Ecocide », ignorant que ce pont lui-même est un monument à l’audace humaine, construit en 1591 pour enjamber le Grand Canal en une seule arche de pierre.

Le théâtre de notre héritage culturel profané
Cette cité a été le berceau de titans de l’art et de la pensée. C’est ici que le Tintoret a peint ses toiles monumentales à la Scuola Grande di San Rocco, que Titien a révolutionné la peinture vénitienne, que Vivaldi a composé Les Quatre Saisons. Les eaux que Greta Thunberg a souillées sont celles qui ont porté Marco Polo vers ses explorations légendaires, celles qui ont reflété les palais somptueux du Canaletto immortalisés dans ses vedute célèbres.
Venise, c’est aussi le symbole de la diplomatie et du commerce civilisé. Pendant des siècles, la Sérénissime République a été le trait d’union entre l’Orient et l’Occident, le creuset où se sont mêlées les cultures, où sont nées les premières banques modernes, où s’est forgé le droit maritime international. Le Carnaval de Venise, qui attire des millions de visiteurs, perpétue une tradition séculaire de raffinement et de mystère.
Comment une militante qui prétend défendre l’avenir peut-elle cracher ainsi sur le passé ? Comment peut-on prétendre aimer l’humanité tout en méprisant ce qu’elle a créé de plus beau ?

Une barbarie déguisée en vertu
L’argument selon lequel le colorant serait « inoffensif pour l’environnement » est d’une hypocrisie révoltante. Venise n’est pas un simple décor pour manifestations Instagram. C’est un écosystème urbain d’une fragilité extrême, menacé par l’acqua alta, rongé par l’érosion, sauvé quotidiennement par des efforts titanesques de restauration. Chaque pierre, chaque pilotis qui soutient ces palais millénaires nécessite une attention constante. La lagune elle-même est un équilibre précaire entre eau douce et eau salée, entre nature et architecture.
Introduire volontairement des substances étrangères dans ces eaux, c’est faire preuve d’une arrogance criminelle. C’est traiter avec désinvolture un patrimoine que des générations d’artisans, d’ingénieurs et de restaurateurs se sont évertués à préserver. Les Vénitiens qui luttent chaque jour contre la montée des eaux, qui investissent des fortunes dans le projet MOSE pour protéger leur cité, ont dû regarder avec écœurement cette bande de militants transformer leur combat en spectacle médiatique.

Les foulards pro-Hamas étaient de sortie
L’égocentrisme contre la civilisation
Luca Zaia, gouverneur de la Vénétie, a eu raison de dénoncer « un geste irrespectueux envers notre ville, son histoire et sa fragilité« . Mais le terme « irrespectueux » est encore trop faible. Il s’agit d’un outrage, d’une profanation délibérée d’un lieu sacré de la culture mondiale.
Car Greta Thunberg ne s’est pas trompée de cible : elle a précisément choisi Venise pour maximiser l’impact médiatique de son geste. Elle savait que souiller le Grand Canal ferait les gros titres du monde entier.Elle a cyniquement instrumentalisé la renommée universelle de la Sérénissime pour servir sa propre gloire. Comme l’a justement souligné le gouverneur, cette manifestation visait « clairement – plus qu’à sensibiliser à l’environnement – à se faire de la visibilité ».

Des vandales qui se prennent pour des saints
L’action s’inscrivait dans une campagne où Extinction Rebellion a souillé dix sites à travers l’Italie : Bologne, Gênes, Milan, Padoue, Palerme, Parme, Trieste, Turin et Tarente. Une tournée de la profanation, un circuit du vandalisme culturel. Chacune de ces villes possède un patrimoine inestimable, fruit de siècles d’histoire. Milan et son Duomo, Turin et ses palais baroques, Palerme et ses églises normandes… Toutes ont été traitées comme de vulgaires supports publicitaires.
Ces militants se sont également livrés à une sinistre mascarade : une « manifestation éclair » où des activistes vêtus de rouge, le visage voilé, ont défilé lentement au milieu des touristes. Une mise en scène macabre, une théâtralité morbide qui transforme la lutte écologique en performance gothique. Où est le respect pour les visiteurs venus du monde entier admirer les merveilles de Venise ? Où est le respect pour les Vénitiens eux-mêmes, dont la ville est devenue l’otage de ces égocentriques en quête de likes et de retweets ?
Le prétexte de la COP30 : masquer le sacrilège sous la vertu
Les militants justifient leurs actes par l’échec relatif de la COP30 à Belém, où les négociations n’ont pas abouti à l’élimination progressive des combustibles fossiles. L’Italie est accusée d’avoir bloqué les propositions les plus ambitieuses. Soit. Mais en quoi vandaliser le patrimoine culturel italien contribue-t-il à faire avancer la « cause climatique » ? Au passage, il paraît que le Sahara était en majeur partie un marécage il y a seulement 8000 ans.
Cette logique tordue révèle la véritable nature de ces militants : des nihilistes qui, incapables de construire, se contentent de détruire. Ils prétendent défendre l’avenir, mais piétinent le passé. Ils veulent sauver la planète, mais n’hésitent pas à souiller ses plus beaux joyaux. Ils se réclament de l’universel, mais insultent ce qui unit véritablement l’humanité : sa culture, son histoire, son génie créateur.
Une pollueuse qui mérite l’opprobre
L’amende de 150 euros et l’interdiction de séjour de 48 heures infligées à Greta Thunberg sont dérisoires face à l’ampleur de l’offense. Cette sanction symbolique ne répare en rien l’atteinte portée à la dignité de Venise. La militante suédoise a commis un crime contre la beauté, contre l’histoire, contre tout ce qui élève l’homme au-dessus de la barbarie.
Greta Thunberg incarne désormais le pire du fanatisme contemporain : celui qui, au nom d’une cause abstraite, se croit autorisé à tout piétiner. Comme les iconoclastes qui détruisaient les œuvres d’art au nom de la pureté religieuse, comme les révolutionnaires qui décapitaient les statues au nom de l’égalité, elle et ses complices saccagent notre héritage au nom de l’écologie.
Le paradoxe insupportable d’une pseudo-écologiste
Car voilà le paradoxe insupportable : ces militants prétendent aimer la nature mais méprisent la culture. Ils oublient que Venise elle-même est un chef-d’œuvre écologique, un exemple magistral de l’harmonie possible entre l’homme et son environnement. Les Vénitiens du Moyen Âge ont compris ce que Thunberg ignore : que la grandeur humaine ne consiste pas à détruire, mais à créer, à s’adapter, à bâtir dans le respect des contraintes naturelles.
Venise n’a pas été construite contre la nature, mais avec elle. Ses fondations de pilotis en chêne, enfoncés dans la vase de la lagune, sont en symbiose parfaite avec leur environnement. Ses palais ont appris à respirer au rythme des marées. Son architecture a inventé des solutions ingénieuses pour vivre avec l’eau plutôt que contre elle. C’est cela, le véritable écologisme : l’intelligence et la beauté au service de la coexistence harmonieuse.
Venise survivra à Greta Thunberg. La Sérénissime a résisté aux invasions barbares, aux guerres, aux inondations, aux épidémies de peste. Elle survivra à cette énième profanation. Mais l’acte demeure impardonnable.
L’écologie authentique ne peut s’épanouir que dans le respect de ce que l’humanité a créé de plus noble. Ceux qui souillent le Grand Canal ne sont pas des héros de la cause environnementale : ce sont des vandales narcissiques qui, sous couvert de vertu, commettent des sacrilèges.
La civilisation se mesure à sa capacité à préserver la beauté héritée tout en bâtissant l’avenir. Greta Thunberg et ses acolytes ont démontré qu’ils ne comprennent ni l’une ni l’autre.
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Elle va répondre que ce n’était que de la sauce tomate italienne ! Quand même pas ses m…….s, elle n’a pas osé !
Ils ne l’ont pas lynchée ? Les Italiens ne sont plus ce qu’ils étaient.
Plaidoirie sans faille merci Jules. Désormais cette incultissime merdeuse doit retourner s’instruire à l’école sur l’histoire de la Sérénissime République de Venise dont le crâne creux serait enfin reconnaissant de sa vacuité de pensée envers celle qui le porte,… Mais le cas est désespéré !
Merci jules on sent bien la passion et la colère plus que justifié à travres ton article! Acte d’autant plus injustifié, que la seule présence de cette goule nordique et de ses disciples suffit pour souiller l’environnement où elle se trouve. J’espère que dss suites judiciaires seront engagées afin de condamner et faire payer se crime envers ce temple qui incarne, la grâce, le bon goût, la civilisation, le rêve dd tout être humain civilisé. Que c’est triste venise, au temps escrolos de la mort! Aurait pu chanter un Aznavour !
Il serait vraiment plus que temps d’appliquer la loi et de sévir sérieusement contre la marionnette téléguidée et en complète roue libre de Soros (et même tarif pour son gang de nuisibles tout aussi dégénéré qu’elle. Soros Père et Fils en tête: bon sang, qu’un Juge gèle leurs avoirs et qu’ils soient traités comme les criminels en col blanc qu’ils sont. –> 😔 C’est beau de rêver!) Et cela d’autant plus que concernant G.T, il ne s’agit plus ici d’une fillette innocente manipulée par des parents irresponsables et véreux, mais d’une femme adulte et responsable des ses actes à présent. Donc qu’elle assume!
Que ne ferait elle pas pour se donner l’illusion d’être incontournable et d’exister !!!…
Dans certains pays, ça aurait été la prison direct pour cette débile.
@Rose: Oui je pense notamment à la Thaïlande, à Bali (Île d’Indonésie majoritairement hindoue), où encore dans certaines régions de l’Inde ou Japon ou en Corée du Sud, etc. où ce genre de délit en Asie ne fait rire ni les autorités, ni la population locale. Bien sûr, histoire de faire la Une et le buzz, il y aurait également certaines destinations telles Islamabad (Pakistan), Kaboul (Afghanistan), Gaza, et j’en passe, mais je doute fort (et suis certainement très loin d’être la seule à devoir le penser) qu’elle et son gang de dégénérés n’oseront y mettre un jour, un dixième de leur bout d’orteil. Ces bandes de nuisibles graissés sur pattes et intouchables, savent pertinemment ce qu’elles font! 😠
Excellent article historique de M. Jules Ferry sur Venise, merci. Quant à gogolita, elle mériterait d’être attachée à un poteau place Saint Marc, au choix, à poil ou habillée et aspergée de la même substance qu’elle a utilisée pour souiller les eaux du grand canal.
qu’attend-on pour … de ce mong… en place publique ?
Vu le bagage intellectuel que ces crétins se trimballent, j’en conclu qu’ils voyagent très léger. Le manque de cultures est un naufrage et tous respirent la médiocrité crasse. Pauvre andouille ,qu’elle retourne à l’école la greta, elle n’a appris que le chemin, et encore.
La baudruche « escrologiste » Greta, entièrement et massivement sponsorisée par Klaus SCHWAB, l’immonde Crapaud mondialiste de Davos, et par toute cette infecte et misérable oligarchie mondialiste, que notre Planète entière exècre désormais…n’aura tenu qu’à peine deux ans! Qui donc peut encore faire attention à ce que peut bien dire ou faire cette nullité absolue??! LA HONTE de la belle Nation Suédoise, qui mérite infiniment mieux que çà!…
Que c’est triste Venise
Au temps des amours mortes
Que c’est triste Venise
Quand Greta sy comporte
Comme une vraie cochonne
Versant des résidus
Mais plus rien ne m’étonne
De ces individus.
Etc.
Joli !