
C’est une dinguerie, plusieurs capitales aujourd’hui nous disent, il va y avoir une guerre contre les russes dans 3 ans
🗣️@LellouchePierre analyse toujours pertinente sur l’🇺🇦
➡️il n’y a pas les avions, les carnets de commande de Dassault sont pleins
➡️il n’y a pas un sou, l’🇺🇦… pic.twitter.com/xycYb5Jlx7— 🇫🇷 fred le gaulois 🇫🇷 Uniondesdroites 🐱🐱 (@FredGaulois) November 17, 2025
La clairvoyance d’un expert
Pierre Lellouche n’est pas un « complotiste pro-Poutine d’extrême droite ». Ancien président de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, cet expert des relations internationales possède une connaissance intime des mécanismes qui lient le Vieux Continent à la Russie. Ses prises de position, souvent à contre-courant des passions médiatiques, sont guidées par un réalisme géopolitique absent des chancelleries. Déjà en février, il rappelait l’évidence que d’autres refusent de voir : Kiev ne peut militairement l’emporter.
Un accord ou lettre d’intention ?
Le contexte de sa sortie en dit long sur le degré de fiction qui préside aux affaires stratégiques.
L’accord — ou plutôt la « lettre d’intention » — sur les cent Rafale, présenté comme historique, s’apparente davantage à un mirage. Pierre Lellouche en démonte les ressorts : des lignes de production saturées pour une décennie et une absence totale de financement. L’Ukraine, exsangue, et la France, en pleine paralysie budgétaire, n’ont pas les moyens de cette ambition. Cette annonce ne serait qu’un « exercice de com » destiné à sauver la face de deux dirigeants affaiblis, un « aveugle et un paralytique » organisant une représentation mondiale.
L’impasse sanglante du terrain
Sur le front, la réalité est têtue. L’armée ukrainienne recule, sa population est saignée et sa jeunesse fuit un « mouroir ». L’idée de confisquer les actifs russes gelés, désormais évoquée pour financer cette guerre sans fin, reviendrait à dynamiter les fondements de la finance internationale. Une décision désespérée qui isolerait l’Europe et ferait payer à ses économies le prix fort d’une escalade irresponsable.
La prophétie des trois ans
L’analyse la plus glaçante de Pierre Lellouche réside dans son parallèle historique. L’engrenage des alliances et des surenchères en 1914 a conduit au pire sans que personne ne le veuille vraiment. Aujourd’hui, le scénario se répète. Dans les capitales européennes, on s’alerte déjà d’une guerre ouverte avec la Russie dans un délai de trois ans. Pourtant, au lieu de calmer le jeu et de pousser à la table des négociations, les Occidentaux persistent à envoyer des armes perçues à Moscou comme des menaces stratégiques, accélérant la course à l’abîme qu’ils prétendent éviter.
Un réalisme qui dérange
La lucidité de Pierre Lellouche provoque un malaise salutaire. Face aux réactions outragées des partisans d’une victoire impossible, son discours impose une vérité crue : la sortie de crise ne sera pas militaire, mais diplomatique. Alors que les bruits de bottes se font plus pressants, sa voix est celle qui rappelle que la plus grande des folies est de refuser de voir la guerre en face pour s’aveugler de chimères.
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attention à cette date: 2030 – qu’est-ce qu’ils ont derrière la tête? c’est une obcession: on la retrouve à toutes les sauces à partir de l’Agenda 2030 du WEF et de lONU – aussi la fin des moteurs thermiques de l’UE pour 2035 – ??? et maintenant leur guerre? qu’est ce que tout cela sigbifie?
et a la fin tous ces vas en guerre seront jugés et exécutés. Les Russes sont patients mais n’oublient jamais et ‘s’est ça qui fait leur force. Pas comme les politiques français qui pensent que les français oublient leurs saloperies.
Toujours de Fabien Mandon devant les maires de France :
« Il faut accepter le risque de perdre des enfants. »
https://www.fdesouche.com/2025/11/19/le-general-fabien-mandon-chef-detat-major-des-armees-alerte-les-maires-sur-une-situation-qui-se-degrade-et-previent-quil-faudra-accepter-le-risque-de-perdre-de/
Si ce n’est pas jeter de l’huile sur le feu, je ne sais pas ce que c’est.
Oups, désolé pour le doublon, je n’avais pas vu l’article de Christine en tête de page d’accueil.
L’industrie européenne est mourante, les bénéfices stagnent, les marchands de canons sont derrière tout ça pour se remplir les poches quitte à tuer la jeunesse européenne. Des vampires.
Seul les chefs des tas ,véritable pourritures va t’en guerre qui n’ont rien à foutre de nos enfants veulent la guerre, pas les peuples. J’espère que le jour où ces ordures seront juger pour crimes contre l’humanité, leurs exécution sera publique.