Ecoutez l’appel d’Erik Tegner, la démocratie est en danger ; nous sommes en danger

t

 

 

Nous relayons bien volontiers l’appel d’Erik  Tégner, rédacteur en chef de Frontières.

 Comme  Prévert, nous disons tu à ceux que nous aimons.

Comme Prévert, nous disons tu à ceux qui se battent pour la liberté, la leur, la nôtre, celle de notre civilisation, celle de nos enfants de plus en plus englués dans un monde totalitaire, liberticide, aux valeurs qui n’en sont pas, un monde manichéen, binaire, où chacun est doté d’une épithète censée le caractériser. Mondialiste ou patriote. Pro ou anti-vaccin. De gauche ou d’extrême-droite… Et ce ne sont pas de simples étiquettes, ce sont bien des stigmates voulus pour changer votre vie, vos libertés, vous obliger à devenir un petit mouton servile baissant la tête, de peur de l’anathème, de l’exclusion mais aussi de peur du déclassement, de ne plus être accepté dans sa famille, dans la cantine… Ou même, et c’est encore pire, de peur de ne plus être accepté, embauché, de mourir de faim… ou de solitude.

Oui, ce que décrit et dénonce Erik c’est exactement le modèle da la société totalitaire. Quand j’avais 10 ou 15 ans et que je lisais le Meilleur des Mondes, 1984, Fahrendheit 451 et tant d’autres, je jouais à me faire peur, mais je croyais vraiment que jamais je ne verrais ce monde imaginaire devenir le mien et le seul avenir offert à ma descendance. Je croyais alors, naïvement, qu’aucun adulte ne pourrait suicider ainsi son environnement, sa société et donc lui-même, sa descendance, et son pays ! 

Depuis j’ai grandi, j’ai lu, vu et compris. Compris qu’il faut en permanence pratiquer la struggle for Life chère à Darwin. Oui, malgré les apparences, nombre de nos contemporains ont encore les réflexes et le cerveau de nos ancêtres de la « Guerre du Feu »… Des primates… 

Alors j’applaudis des deux mains le discours d’Erik Tégner qui nous rappelle notre humanité, notre grandeur… et notre capacité à nous battre  avec bien autre chose qu’un bâton noueux et des pierres. 

Ecoutez-le. Je suis abonnée à Frontières depuis qu’ils existent. Ils font un travail essentiel et ont boosté le camp patriote c’est sans doute pour cela que les gauchos et les dhimmis comme Leroy Merlin que je boycotterai désormais paniquent et redoublent de coups de couteau dans le contrat social.

 

Mes chers amis,

Je prends quelques minutes pour vous écrire directement et vous partager mon état d’esprit face aux innombrables attaques que nous subissons, notamment depuis l’annonce du boycotte du site internet de Frontières par Leroy Merlin, sur la demande de LFI et des Sleeping Giants.

Depuis mars 2025, je lance l’alerte : votre média Frontières est ciblé directement avec un objectif, notre fermeture, soit par notre interdiction, soit par notre mort économique.

Tout cela a été révélé par un rapport de la Fondation Jean-Jaurès, institut proche du PS, publié le 16 mars dernier et intitulé « Frontières, le média contre la République ». Plus de 25 pages étudiant l’ensemble de nos magazines avec une conclusion : nous interdire en nous retirant notre précieux agrément presse.

Voilà un extrait ahurissant de ce rapport qui vous montre la violence idéologique de nos opposants : « Les forces républicaines de ce pays devraient prendre au sérieux la menace que fait peser ce type de publications sur la paix civile et les intérêts fondamentaux de la Nation. En fait, on serait tenté de conseiller à la République de faire de Frontières un exemple, de démontrer à ces anti-républicains que notre régime ne se caractérise pas par la faiblesse qu’ils lui prêtent. Lorsqu’un « média » s’attaque aussi frontalement à la République, la République a le devoir de se défendre, vigoureusement. Dans sa confrontation avec Frontières, notre régime politique rencontre une épreuve de force à laquelle le demi-siècle passé l’a déshabituée, et qu’il doit aujourd’hui affronter à nouveau. Faute d’adversaires d’ampleur du côté de l’extrême droite anti-libérale et anti-démocratique, la culture de combat des républicains s’est peut-être émoussée. Au sortir de la lecture de Frontières, il faut souhaiter qu’elle se refasse, urgemment. »

Depuis, plus de 30 plaintes ont été déposées.

Depuis la rentrée de septembre, je suis trainé chaque semaine devant les tribunaux. En face : la ligue des droits de l’Homme, SOS Racisme, Utopia 56, des avocats en droits des étrangers, des antifas, des imams radicaux.

En plus des menaces physiques, puis des menaces judiciaires, ce sont donc désormais des menaces économiques. Il y a 3 semaines, SOS Racisme et la gauche, y compris au centre, ont tenté de me tuer politiquement en m’accusant honteusement d’antisemitisme pour mes propos tenus sur Cnews. Que vont-ils encore inventer d’autre ?

Depuis plusieurs mois j’ai préparé le média à cette grande offensive que ne manqueront pas de lancer un jour l’État-profond et la gauche contre nous. Aujourd’hui, ça n’est qu’une répétition générale pour nous tester.

Nous devons être forts. Résister. Contre-attaquer.

Ici, au cœur de la rédaction, nous vivons ce combat chaque jour comme une grande bataille que nous devons gagner.

Mais vous le savez, sans vous, nous n’avons pas d’armes.

Il faut nous soutenir. Ça n’est pas une demande, ça n’est pas un souhait, c’est une nécessité : nous sommes le vaisseau amiral du combat éditorial sur les réseaux sociaux à droite et sur l’investigation.

Pour nous aider, 2 solutions existent :

 

Nous faire un don défiscalisé à 66% en cliquant ici
S’abonner grâce à nos offres du moment en cliquant ici

Je compte sincèrement sur vous et vous le savez, vous pouvez compter sur moi pour ne jamais baisser les bras.

Le prochain magazine de notre nouvelle formule « Hors-série enquêtes » sur les antifas et Raphaël Arnault le démontre. Abonnez-vous et procurez-le pour vous et vos proches.

COMMENT NOUS AIDER ?

Par CB via HelloAsso : votre reçu fiscal est automatiquement généré.
Par chèque : à l’ordre de l’APFL – publication Frontières, à envoyer à notre adresse : 20 rue Bassano, 75016 Paris.
Par virement : à l’APFL, en mentionnant « don frontières » : IBAN FR76 1820 6003 8765 0737 9951 607 – BIC : AGRIFRPP882
Défiscalisation : N’oubliez pas, vos dons sont déductibles à hauteur de 66 % pour les particuliers et les entreprises.
Don non-défiscalisé : par virement bancaire.
 

Pour plus d’informations cliquez-ici

Merci d’avance de votre soutien et merci à tous.

Amitiés,

 62 total views,  62 views today

Répondre à droopy Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


1 Commentaire

  1. on sait que ces or dures nous mettent en danger mais faudrait s en debarrasser : les virer de leur poste de dépités et les fou tre en taule pour tra hi son ! vous connaissez un politique assez courageux pour ca ??