Le coeur industriel de l’Europe, l’Allemagne, tombe à la vitesse d’une avalanche

Le Financial Times se pose la question,  cet effondrement des industries allemandes est encore inarrêtable, en titrant : « Can anything halt the decline of German industry ? » « Qui pourra arrêter le déclin de l’industrie allemande ? »

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Le Merz d’une CDU gauchisée par Merkel, et ses associés socialos qui lui ont permis de s’asseoir sur le trône de chancelier, déclenchent une avalanche de destructions industrielles sur l’Allemagne.

Les socialos qui sont au plus bas dans les élections depuis la fondation de leur parti en 1875 ont encore la capacité de « gouverner » parce que, sans eux, Merz, tête de fouine, ne pourrait être chancelier. Le seul parti qui pourrait le maintenir au pouvoir, est la AfD, avec laquelle il refuse toute coalition, les traitant d’extrême droite et de toutes les gracieusetés associées.

Pour devenir chancelier, le but de sa vie minable, il lui faut faire une coalition, et c’est avec les socialos de la SPD qu’il a consolidé son élection douteuse, en promettant des cadeaux aux Verts. On se souviendra de son élection à deux tours. Une rareté en Allemagne. Je me plais à souligner, que j’ai prévu depuis son élection funeste qu’il ne tiendrait jamais 4 ans. Toutes ses promesses furent reniées moins de 48 heures après son élection. En particulier la promesse de mettre un frein à la dette.

Qui pourrait penser que l’Allemagne pourrait vivre pire qu’à la sortie de la seconde guerre mondiale ? Merz et ses socialos collabos, ont accompli cette sinistre performance, entamée par Angela Merkel et son immobilisme, perpétué par Olaf Scholz, resté inerte, lorsque Joe Biden lançait le 7 février 2022 lors de sa visite à la Maison Blanche :« Si la Russie devait envahir l’Ukraine, nous mettrons un terme aux NordStream 2

C’était une vraie déclaration de guerre de l’Amérique à son « allié » allemand. Et cette Allemagne devenue dégénérée par le fascisme de gauche s’est tue. Je suis même certaine, qu’elle n’a pas serré le poing dans la poche du pantalon. C’est à ça que l’on reconnaît les dégénérés.

Depuis, l’Opération Spéciale du Président Poutine est en voie de réussir ses objectifs. Désarmer l’Ukraine, déraciner le banderonazisme de l’Ouest de l’Ukraine et que sa volonté d’adhérer à l’OTAN soit définitivement ignorée.  Je souligne à nouveau et triplement, que l’Opération Spéciale, n’a jamais eu pour but de conquérir des territoires, mais de rendre leur liberté aux populations russophones du Donbass, martyrisées par le régime banderonazi de Kiev depuis 2014. Tout cela en proxi contre la Russie, piloté par la CIA, feu John McCain et Victoria Nuland. Le but étant de déstabiliser la Russie, de changer de régime de l’horrible Poutine et de pilier les richesses de ce grand pays.

Opération ratée, c’est le moins que l’on puisse dire. Comme d’ailleurs toutes les tentatives de changement de régime US.

Si la Russie est en train de réaliser ses objectifs, l’Allemagne, elle, est en train de s’effondrer industriellement, à cause de son soutien hystérique à l’Ukraine, sans en avoir les moyens. Elle vient même de passer de 9 milliards d’€ de soutien promis au corrompu drogué de Kiev, à 11 milliards d’€ . On marche sur la tête. Quant aux capacités militaro-industrielles de l’Allemagne pour monter une industrie d’armement qui se respecte et qui pourrait nous faire peur, ainsi que sauver son économie, elles sont beaucoup trop modestes. C’est ce que croit savoir le Financial Times. Nous voilà, nous, Français, rassurés.

Si le cœur industriel de l’Europe s’effondre, la sinistre UE RSS disparaitra aussi. Le Président Poutine n’attend que cela, d’où sa patience qui pourrait paraître comme une faiblesse. Patience incomprise au sein même des siens qui s’impatientent et aimeraient en finir. Macron-Merz-Starmer sont en voie d’éjection de leurs peuples. La Gauleiterin auto-proclamée, disparaitra avec l’effondrement de l’Allemagne, donc de l’UE RSS dont elle s’est octroyé le pouvoir avec la complicité d’un Macron, dont le rêve est de prendre sa place. Une place qui risque de lui passer sous le nez, en cas d’effondrement économique de l’Allemagne, donc de l’UE RSS. Et puis, last but not least, une Amérique avec un président décevant, qui se révèle en matière de politique étrangère d’une incompétence criante et dont le pays souffre d’une grave crise économique qui lui ôte toute capacité à penser avec logique. Mais cela est un autre sujet.

La compétitivité de l’Allemagne face à la Chine n’existe plus. Les Chinois dégustent l’Allemagne au petit-déjeuner. Ceci dans tous les secteurs industriels et de l’automobile en particulier.

La dette qu’a libérée Merz ne sert même plus au complexe militaro-industriel, ou si peu, mais à boucher les trous d’une industrie en voie de disparition, comme l’industrie de l’acier etc.  Des tentatives désespérées qui n’empêchent pas la fermeture des entreprises et la mise au chômage des personnels. Sans oublier, le ruissellement massif de fonds dans le système social, dont c’est plus souvent  l’immigration illégale qui profite, que les Allemands eux-mêmes. Et enfin, tous les nouveaux chômeurs doivent être indemnisés par le système social qui aura ses limites. On a donc trouvé la solution, engager dans le secteur public ! C’est la débandade.

Sous Scholz, nous avions un ministre de l’Économie des Verts et Vice-Chancelier, Robert Habeck, qui avait comme métier, écrivain de contes pour enfants, sans aucune compétence pour ce poste. 

Sous Merz, nous avons un Vice-Chancelier, ministre de l’Économie, Lars Klingbeil, SPD, qui a autant de savoir-faire que son prédécesseur Habeck ! Il n’y connaît strictement rien. Il a commencé dans la vie comme petit apparatchik à la SPD.  Son seul projet est l’interdiction de l’AfD.

L’Allemagne n’a plus les moyens d’attendre trois ans supplémentaires. Même la AfD n’aura plus la capacité de la sauver. Comme dit plus avant. La situation est déjà pire qu’à la sortie de la seconde guerre mondiale. Elle le sera davantage. Même avec les grands talents au sein de la AfD, la reconstruction de leur pays sera plus que problématique. A moins que rapidement, de nouvelles élections se tiennent, parce que la coalition Merz-SPD aura sauté. Le couvercle de la cocotte est en train de se lever… juste avant Noël ? Ce serait un vrai cadeau de Noël pour l’Allemagne. C’est une possibilité, à observer au quotidien cet écroulement.

Enfin, quand les économistes allemands les plus réputés s’inquiètent de la situation économique de la France qu’ils croient voir tomber avant l’Allemagne, ces derniers craignent que ce soit l’Allemagne qui paye pour les impérities françaises. Mais que se passera-t-il, si l’Allemagne n’a même plus les moyens de venir secourir la France ? Allez donc poser la question au nouvel auréolé du Prix Nobel en Économie, le tocard macronard Philippe Aghion. Oui, parce que ce prix-là, comme celui de la paix est discrédité depuis très longtemps, depuis Maurice Allais.

Sylvia Bourdon, 17 novembre 2025

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