Autres lieux, autres mœurs…Ô tempora; Ô mores… leurs codes ne sont pas les nôtres !
La mère, enceinte (du saint esprit ?) est une clandestine (déjà mariée en Algérie) entrée
en France via l’ Espagne, attirée par nos prestations sociales supérieures (parent isolé ?)
Jugée pour « violences répétées » sur sa fille de 8 ans, elle a prétendu qu’ il était d’ usage courant de traiter ainsi les filles en Algérie !
Va-t-elle se prévaloir de notre législation et demander de plus le droit au regroupement familial si elle accouche en France du second enfant qu’elle attend ou sera-t-elle expulsée ? On peut déjà pronostiquer le résultat du délibéré de l’audience par notre justice…Une victimisation, mais de qui ?
Juvénal
Le 10 novembre 2025, une Algérienne a comparu devant le tribunal correctionnel de « Chalon-sur-Saône », en France, pour répondre de violences infligées à sa fille de 8 ans. Cette affaire soulève des questions sur la « défense culturelle » avancée par l’accusée, celle-ci ayant justifié ses actes en « invoquant des méthodes éducatives qu’elle a présentées comme courantes dans son pays d’origine »
.
Selon Le Journal Saône-et-Loire, la prévenue, une femme d’une quarantaine d’années, est accusée d’avoir maltraité sa fille, née en Algérie d’un premier mariage. L’intervention des autorités françaises fait suite à des signalements de proches de la famille, alertés par l’état de l’enfant. La victime a, depuis, été prise en charge par les services sociaux et médicaux. Lors du procès, la mère a expliqué qu’elle avait infligé ces violences à sa fille, notamment l’étranglement à deux mains, « en suivant des pratiques qu’elle considère comme courantes dans son pays d’origine », l’Algérie. Elle a déclaré : « Je l’ai traitée comme on le fait en Algérie », justifiant ainsi ses actes. L’enfant aurait été battue à plusieurs reprises, « ce qui a conduit à son hospitalisation » après les derniers faits de maltraitance.
Un contexte familial complexe
« La prévenue est en situation irrégulière en France », ayant demandé le statut de réfugiée auprès des autorités espagnoles. Cette situation ajoute une complexité au dossier, puisque la mère ne dispose pas de papiers en règle en France.
La famille a émigré en Europe dans l’espoir d’une vie meilleure (1), mais le statut juridique de la mère, ainsi que ses pratiques éducatives ont influencé la manière dont elle a été jugée.
Lors de son audition, la femme, qui est enceinte, a été autorisée à se tenir assise pendant l’audience pour des raisons de santé. Elle a également bénéficié d’une pause pour aller aux toilettes. Ces mesures ont été prises exceptionnellement, en raison de sa grossesse avancée. Les avocats de la défense ont insisté sur les conditions de vie de la prévenue, mais ces arguments n’ont pas suffi à disculper la mère de ses actes.
Le rôle des services sociaux et médicaux
Dès les premiers signes de maltraitance, les services sociaux ont été alertés par des témoins proches de la famille. Ils ont pris en charge l’enfant, qui a été hospitalisée après avoir révélé les violences répétées qu’elle avait subies. Le rapport médical a confirmé les blessures infligées à la jeune victime. L’enquête a été menée rapidement, et la mère a été interpellée en raison de la gravité des faits.
Les services de protection de l’enfance ont également été impliqués pour suivre la situation de la victime et garantir sa sécurité. Ils ont travaillé en étroite collaboration avec les autorités judiciaires afin de préparer le dossier de maltraitance, qui a été présenté devant le tribunal.
Le tribunal devra se prononcer sur la culpabilité de la prévenue et déterminer la peine appropriée pour ses actes de maltraitance. Les peines encourues pour de tels faits peuvent aller jusqu’à plusieurs années de prison, en fonction de la gravité des blessures infligées à la victime et des circonstances atténuantes, si elles sont retenues.
Juvénal de Lyon / L’ OTAGE BOUALEM SANSAL EST LIBRE
(1) Pourtant Rima Hassan, député LFI, ne nous a-t-elle pas déclaré que le pays du satrape Tebboune était « La Mecque des libertés » ???
Ah oui, on oublie trop souvent qu’avec ces barbares, c’est à nous Français d’accepter leurs moeurs car en échange, ils acceptent l’argent de Nicolas c’est leurs vision du partage des cultures. Bonne journée.
Merci C. T. Pour la photo…
😉
Ils émigrent dans l’espoir d’une vie meilleure, mais reproduisent exactement les choses qui les ont rendus malheureux dans leurs pays d’origine.
J’aurais du écrire Ô tempora, Ô mauresque… (pour les latinistes… 🤔) S’il en reste, même les curés aujourd’hui n’apprennent plus nos racines linguistiques ! Cette riche culture identitaire a disparu ☹️