Après les bougies et les fleurs, la course pour la liberté : le cirque continue !

Ils se sont réunis pour courir, courir, courir, à la mémoire des victimes des attentats du 13 novembre 2015. Ils étaient 1700 à courir.

C’est paraît-il un hommage.

Ah, il est certain que ceux qui ont trouvé la mort ou le handicap à vie ce soir-là auraient aimé courir et échapper aux balles de leurs ravisseurs fous d’Allah.

Je dois avouer que je ne comprends vraiment rien à cette époque, à cette mentalité. En quoi l’accélération de mon rythme cardiaque et ma transpiration lors d’une course auraient-elles un quelconque sens, une quelconque relation avec ce qu’ont enduré les victimes de ces tueurs ?

Elles ont vécu l’enfer, ni plus ni moins, l’enfer comme dommage collatéral du vivre ensemble, de l’ouverture des frontières, de l’effacement de l’Histoire et de l’identité françaises…

Oui elles ont dû transpirer de tout leur corps, avoir des palpitations extrêmes pendant leur calvaire. Mais essayer de retrouver cette sensation dans une course à pied qui n’est qu’un banal effort sportif ne peut être un hommage. Il y a manque le stress extrême et le désespoir des victimes. Cela relève de la parodie, même.

Alors trotter, trottiner, quel rapport cela a-t-il avec l’enfer sur Terre permis par des décisions politiques ?

En quoi cela peut-il faire changer les choses, seule façon de réellement rendre hommage à ces victimes qui ont été égorgées comme des moutons ?

Diversion, ça pue la diversion

L’effort physique supplante la réflexion politique qui est la seule solution pour éviter que cela se reproduise à nouveau.

Cette « course pour ne jamais oublier » est du même tonneau que les fleurs et les bougies, les marches blanches et autres, pardon, conneries !

Il n’y a pas d’autre mot, en effet, pour désigner cela : un non sens. Une absurdité.

Que se passe-t-il dans la tête du gars ou de la fille qui se lève le matin et qui va courir pour célébrer le 13-novembre ? Qu’est-ce qu’ils ont dans la tête, ces gens-là ?

Ils devraient être révoltés, au contraire, s’ils tenaient vraiment à se manifester. Crier leur colère de voir que 10 ans après, des innocents continuent à périr atrocement au nom d’Allah. Non, ils courent…

Leur course me fait songer aux épidémies dansantes qui, paraît-il, eurent lieu au 16ème siècle.

Lépidémie dansante de 1518 est un cas de manie dansante observé en juillet 1518 à Strasbourg, alors ville libre du Saint-Empire romain germanique.

De nombreuses personnes dansèrent sans se reposer durant plus d’un mois, certaines d’entre elles décédèrent de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral ou d’épuisement, bien qu’aucun auteur contemporain aux faits n’évoque de décès liés à cette épidémie.

Plusieurs manifestations importantes de manie dansante ont été répertoriées au cours des siècles, notamment le 15 juin 1237 à Erfurt[1], le 24 juin 1374 aux Pays-Bas ou à Aix-la-Chapelle, en 1417 et 1418 en Alsace[1].

Selon Paracelse, l’épidémie de Strasbourg débuta en juillet 1518 lorsqu’une femme, Frau Troffea (nom cité par Paracelse, quoique « fort improbable »[2]), se mit à danser avec ferveur dans une rue de Strasbourg pendant quatre à six jours[3],[1]. En une semaine, 34 autres personnes s’étaient mises à danser et, en un mois, elles furent aux alentours de 400. Certaines finirent par mourir de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral ou d’épuisement bien qu’aucun auteur contemporain aux faits n’évoque de décès liés à cette épidémie de manie dansante[3],[2].

Les documents historiques de l’époque, incluant des « notes des médecins, des sermons de la cathédrale, des chroniques locales et régionales et même les billets émis par le conseil municipal de Strasbourg » indiquent clairement que les victimes dansaient. On ignore encore aujourd’hui pourquoi ces personnes se sont mises à danser jusqu’à ce que mort s’ensuive[

 

A l’époque, des gens dansaient jusqu’à l’usure, sans raison.

Eh bien ces gens-là se sont quant à eux mis en tête de courir pour une raison qui n’a aucun rapport avec la course donc d’une manière qui n’est pas plus rationnelle.

Et au bout, c’est bien la mort de la France libre qui nous attend, à force de soumission et de compromissions. La mort causée par le djihad est toujours là, pas plus loin que la semaine dernière dans l’île d’Oléron.

Un hommage à Charles Martel aurait été plus adéquat.

Yaël Braun-Pivet est de la partie. On a bien compris que tout cela se déroule donc sous l’égide de la bien-pensance.

Courir sert à chasser les mauvaises idées, paraît-il…

Courir pour ne pas devenir « extrémiste ».

Courir pour que rien ne change, qu’un Abdeslam soit encore en prison plutôt que la tête au bout d’une pique, se soit marié en 2022 et puisse même au nom des droits de l’Homme continuer à se vider les testicules et procréer dans une « unité de vie familiale »…

Je n’arriverai jamais à comprendre comment les gens ont pu perdre à ce point le sens de la révolte, de la lutte contre l’oppression, contre l’asservissement. Cette course est une négation de la liberté, puisque la France est toujours occupée, gangrénée… donc absolument pas libérée.

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9 Commentaires

  1. Félicitations , vous n’avez pas prononcé le mot islam dans tout l’article :
    Vous êtes prêt à travailler pour les médias du service public.

  2. C’est une connerie inventée par les enseignants de gauche. L’institutrice d’un de mes petits enfants a fait courir ses élèves pour les petits nègres qui ne mangent pas assez et il fallait que les parents donnent un franc par km couru par leur gamin. Bref des conneries de la gauche fanatique de leur religion les autres avant les nôtres et soumettons-nous à la secte de l’islam.

  3. La maladie dont parle Maxime est en fait la chorée de Sydenham, plus couramment connue sous le nom de danse de St Guy c’est en fait une atteinte du système nerveux central suite à une infection de streptocoques. Il serait en effet plus efficace de courir après nos politiques et les ennemis de la France la fourche à la main! Nous sommes passés, comme dirait Lewis Carroll « de l’autre côté du miroir »

  4. Mouais ….
    L’exercice physique, dont la course, pour se préparer à la lutte qui vient. Nous savons que nous devrons bientôt combattre en soldats le colonisateur qui envahit notre sol.
    Ça marche aussi comme ça, la course …

  5. Un chat a plus d’intelligence que ces paumés. Ce n’est pas un cerveau, c’est de la paille qu’ils ont dans leur tête. Ils essayent de trouver une occupation, tellement ils s’emmerdent.

  6. Une marche avec des pancartes et des cris « islam dehors » , aurait été plus bénéfique. Mééééé, vous n’y pensez pas, cela pourrait stigmatiser les soldats d’allah et ali méchancon.

  7. Entierement d’accord avec vous. Les bougies, les licornes en peluche et autres « valeurs de la Républiques » (Faudra d’ailleurs un jour qu’on nous en donne une definition) sans oublier les incontournables « Vous n’aurez pas ma haine ! » ne font que faire pisser de rire les terroristes passés, présents et futurs.

  8. Merci Maxime pour cette réaction plus qu’indispensable. Voilà l’état d’esprit de ces dégénérés : « Un triptyque citoyen inspiré par l’esprit olympique. La course suivie d’une marche de l’égalité… à hurler !!! Ils nous tuent et ils seraient nos égaux ? Un village de la fraternité ? Fraternité avec les assassins ? Ils les embrassent sur la bouche en plus en disant merci ? Honteux.

    L’Association française des victimes du terrorisme orchestre cette journée de commémoration, structurée autour de trois temps forts : la course matinale, une « marche de l’égalité » organisée l’après-midi dans les rues de la capitale, et un « village de la fraternité » déployé sur le parvis de l’Hôtel de ville parisien.
    Catherine Bertrand, vice-présidente de l’association et rescapée des attentats, a conçu ce projet dans l’élan des Jeux olympiques de Paris 2024. Cette « euphorie collective » et ces « moments extrêmement fédérateurs » l’ont profondément réconfortée et inspirée.
    . Source epochtimes