Marine Tondelier, Secrétaire nationale des Écologistes, s’est confessée… euh, pardon, a confié son point de vue dans son dernier livre édité par Albin Michel…
Livre dont le titre prouve qu’elle fait montre de beaucoup d’espoir en son avenir politique sur la scène française :
« Demain, si tout va bien… ».
Sauf que, dès le titre, l’écologiste ne montre aucune certitude avec ces points de suspension puisque ce mot « suspension » né en 1170 vient du latin « suspencium » signifiant, selon le Petit Robert, « incertitude » !
Cela aurait été pire si elle avait choisi un point d’interrogation… Le mieux eût été un point d’exclamation puisque ce mot est né en 1311 d’« exclamre » signifiant « clamer » ! Elle aurait ainsi clamé une confiance en sa victoire dans les prochaines échéances électorales telle la présidentielle ! Mais, il faut le reconnaître, cet espoir ne semble pas l’envahir. Ce qui, nous, nous réjouit !
S’il est un journaliste qui a savoureusement décortiqué la prose de Marine Tondelier, c’est Saïd Mahrane, cette semaine, dans Le Point. Sa critique des plus savoureuses du moins à mon goût ( il n’est pas certain qu’elle ait plu à Marine) est résumée dans le titre de son article :
« Marine Tondelier : un livre où il est question de sa veste… et surtout de son nombril »
Pour éviter que certains ne se précipitent chez leur libraire pour voir le nombril de la Tondelier, ce n’est, là, dois-je le préciser, qu’une figure de style mais celle-ci donne le ton de la critique de mon confrère Saïd Mahrane !
Savez-vous ce qui, dans sa jeunesse, la pôvre, a chagriné la responsable écolo ? Son prénom !!!
« Difficile de vivre avec un prénom (Marine) devenu symbole d’héritage et de mensonge »… « J’en ai bavé »…
Sincèrement, quel malheur cela a dû être pour elle !
Revenons à l’article de mon confrère qui, dès le premier paragraphe, précise :
« Nous avons lu le dernier livre de l’élue écologiste. Un condensé de narcissisme, en dépit de quelques réflexions de fond, vite expédiées. Florilège. »
Voilà qui est dit ! Et le florilège ne se fait pas attendre :
« Pour comprendre, en partie, le désamour entre la classe politique et les Français, il faut lire « Demain, si tout va bien… » de Marine Tondelier. « On pensait, sans trop d’illusions, l’exercice d’écriture politique tout tourné vers les autres ; en l’espèce, il n’en est rien : moi, moi, moi »…! Voilà qui est dit !
Et Saïd Mahrane n’est pas sectaire puisqu’il critique également les livres d’autres partis politiques…
…« le livre de l’élue écologiste est un condensé de narcissisme, qui concurrence dans ce registre ceux de Jordan Bardella et de François Ruffin – lesquels, pour échapper à la critique, entrecoupent habilement leurs récits personnels de témoignages de « vraies gens ».
Revenons à la Marine ! « On me dit que je suis courageuse. »
« Certes, prévient l’auteur, candidate à la présidentielle, « ceci n’est pas un programme ».
« Ce qu’il y a donc de déterminant, pour le chef de file des écolos, (…) c’est elle, et encore elle. Ses coups de gueule, ses coups de cœur, en somme, ses « regards », envahissent les pages. »
Et le journaliste le regrette :
« Il y a bien une partie analytique (sur) le réchauffement climatique, les inégalités sociales, le féminisme, la justice fiscale, les centres d’accueil pour enfants en difficulté ou encore la solitude. » Mais cette partie est « Trop courte, trop vite expédiée ! Pourquoi faut-il qu’un « je » envahissant vienne sans cesse briser la lame de fond pour nous conduire à la surface où flotte la mousse de la communication politique ? »
« Même le chapitre intitulé « Se taire et écouter », où elle narre ses échanges avec des Français, n’échappe pas à la règle. « Je prends la parole à mon tour… », écrit-elle. »
Si « le récit est agrémenté d’anecdotes personnelles (…) Mais, là encore,(…) une voix vient interrompre le déroulé pour nous rappeler que c’est Marine Tondelier qui tient la plume » !
« Le chapitre le plus déroutant est celui dédié à sa veste verte, devenue sa marque personnelle… Treize pages d’explications – soit plus que le chapitre sur « L’écologie est une géopolitique— » (…) « Des gens m’ont dit que la veste les rassurait. Qu’elle incarnait une écologie posée (sic), ferme, non violente […] En fait, ma tenue était devenue un objet transitionnel, comme disent les psychanalystes. »
Puis, nouvelle rechute narcissique :
« La veste est devenue un symbole. Elle est apparue sur des pancartes, dans des dessins d’enfants, sur des GIF moqueurs ou admiratifs. D’ailleurs, les candidats qui souhaitaient que je vienne les soutenir sur le terrain nous invitaient, “la veste et moi” […] La porter dans la rue, c’est être arrêtée, remerciée, sollicitée, klaxonnée. Même en Belgique ! »
Le journaliste du Point semble désespéré par l’attitude de l’écologiste :
« On aimerait se passer de cet exercice critique pour louer le détachement de nos politiques vis-à-vis d’eux-mêmes dans un contexte difficile pour de nombreux Français. « Savoir se hisser sur ses propres épaules » pour reprendre l’expression de Paul Valéry. D’autant que Marine Tondelier semble être porteuse d’un message. (…) Cependant, il est dommage qu’elle étouffe, par son moi supérieur et ses manières artificielles, cette sensibilité réelle. Elle dit pourtant vouloir ne « plus jouer avec les codes d’un monde qui s’effondre ». Mais…
…« Elle les reprend avec brio », conclut Saïd Mahrane (1)
Voilà qui me conforte dans l’aversion que j’ai pour cette Marine ! Je garde ma préférence pour une autre Marine ! Ok, je sais à laquelle vous pensez… Moi, j’ai une petite attirance pour une autre Marine… Celle avec laquelle j’ai passé un an de ma jeunesse pour un bien particulier service : l’Infanterie de la Marine qui fut, aux temps anciens de la France alors universelle, l’Infanterie (dite) coloniale !
-(1) Le Point pour l’article de Saïd Marhrane :
Jacques MARTINEZ, journaliste,
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
Note de Christine Tasin
Tiens, tiens, au moment où sort le livre de la péronnelle, elle raconte en long et en large une histoire de taxi sans rime ni raison. Elle se serait sentie menacée elle raconte grossièrement la chose Urbi et Orbi… A se demander si elle a rêvé ou inventé, histoire de faire parler d’elle. Le (faux ? ) chauffeur de taxi poursuivi par la police ? Elle est montée volontairement dans son taxi, il ne l’a pas menacée il s’et arrêté quand elle l’a demandé, il a sorti ses bagages quand elle l’a demandé… Alors quel était le problème ? Quand vous écoutez la Tondelier elle cherche à nous faire croire qu’elle aurait été menacée… histoire de se donner de l’importance, évidemment. Pauvre fille !
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Avec un melon pareil, pas étonnant qu’elle vénère autant l’immigration musulmane.
Ne parlons pas de ses dents, qui rayent le plancher de la cave. Son ambition est est aussi vaste que sa vacuité et son fanatisme idéologique.
en attendant elle va en prendre une bonne veste la rouge déguisée en vert !
La tondeliere finira comme la royale, après avoir reçu un os à ronger, elle ira clamer dans le désert ses regrets .
-« Elle est montée volontairement dans son taxi, il ne l’a pas menacée il s’et arrêté quand elle l’a demandé, il a sorti ses bagages quand elle l’a demandé… Alors quel était le problème ? »-
Il lui a fait payer la course ; manque de reconnaissance ; il aurait dû la transporter gratis pour tout ce qu’elle fait pour a France et donc, dans ce cas, pour lui en particulier. L’ingrat !
Souhaitons qu’elle se prenne une veste au profit de l’autre Marine qui en a tant pris ainsi que son père.
si j achetais cette m..de ce serait pour le BRULER !
En attendant, ce qui est sûr, c’est que la couleur de sa veste n’est pas celle des vêtements de travail.
Avec Tondelier, personne ne veut entrer dans la Marine.
😉 merci Argo
Ben non je ne m’infligerais pas cette torture. Je préfère de loin le livre de E Zemmour, « la messe n’est pas dite », et celui de gilles William Goldnadel, « vol au dessus d’un nid de cocus », des livres plus intelligent qui disent la vérité sur l’avenir de notre pays.
excellent le vol au dessus d un nid de cocus de goldnadel , je l ai lu hier soir et j ai bien ri … bien que ce ne soit pas toujours drole !!
c est criant de verité !!
Bonjour Droopy vous ne voulez pas nous faire un petit article sur le livre ?