Cerise sur le gâteau on trouve dans ces manuels composés, forcément par des gens choisis par la Mairie socialiste, des choses étranges : une photo d’Elon Musk pour illustrer le nazisme, par exemple.
Quant à l’utilisation de l’IA pour écrire certains contenus, quand on sait à quel point il y a de multiples façons de demander des modifications à l’IA pour arriver à lui faire dire ce que l’on veut… Vous me direz que c’était déjà le cas avant, avec certains auteurs, certains éditeurs de manuels scolaires. C’est vrai. Sauf qu’il restait de la diversité et que les élèves, année après année, avaient accès à des ressources variées…
Même les « pédagogistes » du « Café pédagogique grognent et pourtant…
Dans une tribune signée par plus de 500 personnes, dont des éditeurs (Nathan, Hatier, Belin…) et enseignants, le monde éducatif s’alarme de la disparition du manuel papier. Ils défendent des ouvrages produits avec rigueur et en collaboration avec des spécialistes, garants de la qualité, de l’égalité et de la conformité aux programmes. Les signataires demandent un moratoire sur cette réforme jugée brutale et plaident pour un modèle hybride, combinant papier et numérique, comme en Italie. Ils craignent que cette transition affaiblisse l’édition scolaire française et accentue les inégalités entre établissements. Source
Face à la levée de boucliers, la Région IDF sort le mot magique : économies budgétaires, responsabilité budgétaire…Je sais bien que ce n’est pas la région qui finance les robes à 800 euros d’Hidalgo j’avale un peu de travers en voyant l’utilisation des deniers publics en France. Je suppose aussi que si j’étudiais le budget de la région je trouverais d’étranges subventions, par exemple à SOS Méditerranée et autres officines ne vivant que de l’aide publique aux migrants, bref à l’immigration illégale. Il y a des priorités en France, n’est-il pas ?
Christine Tasin
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Moi pour illustrer le nazisme je vois la tronche de la der la hyène et aussi la tronche d’un certain pignouf qui nous emmerde depuis 2017.
J’ai connu l’époque où c’était les parents qui achetaient les livres de classe. Dans ces conditions, hors de question de les abîmer, qu’il y ait la moindre tache. Généralement le même bouquin servait après pour le petit frère ou la petite sœur (ce qui irritait déjà les éditeurs, à l’époque). L’instituteur avait juste 3 ou 4 ex de chaque livre au cas où un élève aurait oublié le sien.
La pensée unique fait son chemin. La lobotomisation numérique. L’écrit recèle plus de richesses et de découvertes. J’ai déniché dans des brocantes de vieux livres d’auteurs parfois oubliés. Je relis en ce moment Francis Carco. Qui connait encore Francis Carco, et tant d’autres ?