C’est-ti tu lard ou du cochon,; comme aurait dit ma grand-mère ? Les bruits qui courent ne sont pas favorables au gouvernement français. Comme c’est étonnant ! En tout cas il est aberrant qu’après l’arrestation des voleurs, qui ne font même pas partie du grand banditisme, on n’ait pas récupéré les bijoux volés !
Où l’on découvre au passage que la France n’est même plus capable de gérer un vol de cette importance. La France de Macron a confié l’enquête à une entreprise israélienne, CGI Group, pour mener l’enquête.. Selon différents médias israéliens, les autorités françaises auraient fait appel à CGI Group, société créée à Tel Aviv, spécialisée dans la sécurité et le renseignement, pour épauler l’enquête sur le spectaculaire vol de bijoux au musée du Louvre. Peu connue du grand public, CGI est une référence internationale dans la résolution de crimes complexes mêlant patrimoine, sécurité et renseignement. Source
Et où l’on découvre que le fameux CGI Group a bien été contacté pour négocier la récupération des bijoux volés… et que la France a saboté le dossier… Il nous aura tout fait. Tout.
Une société de renseignement israélienne accuse l’ego français d’avoir saboté la récupération des bijoux volés au Louvre.
Le groupe CGI a reçu deux offres de rachat de bijoux volés de la part de complices du vol au Louvre, mais les autorités françaises n’ont pas fait avancer les négociations.
Des personnes liées au vol du Louvre ont contacté la société israélienne de renseignement commercial CGI Group pour lui proposer de vendre l’un des bijoux volés pour 8 millions d’euros. Il s’agit de la deuxième tentative de contact reçue par l’entreprise via le dark web, après l’échec d’une première négociation. Selon ses représentants, les autorités françaises auraient refusé d’accélérer la récupération des bijoux par ce biais. Le musée du Louvre a nié avoir contacté la société israélienne suite aux révélations sur l’affaire.
Quatre jours après le vol, le 23 octobre, une personne se présentant comme un représentant des voleurs a contacté le site web de CGI Group. « Nous avons entendu dire que vous étiez impliqués dans l’incident de Dresde », indiquait le message. « Nous avons quelque chose de similaire : une œuvre volée au musée du Louvre. Seriez-vous intéressés ? »
Les criminels ont proposé un accord sous 24 heures, moyennant le transfert de 8 millions d’euros par une méthode cryptée via un « point neutre en Autriche ou en Slovaquie ». Le personnel de la société israélienne a exigé une preuve d’authenticité et a simultanément contacté des sources françaises. Cependant, les Français n’ont pas fait avancer les négociations et les criminels ont perdu patience. « Les belles paroles, c’est bien beau, mais les actes sont plus éloquents », ont-ils écrit. « Si vous êtes sérieux cette fois-ci, prouvez-le. »
Le 1er novembre, les criminels ont repris contact, accusant l’entreprise de ne pas être sérieuse. « Nous lui avons expliqué la situation tout en essayant de rétablir la confiance, et nous avons obtenu un nouveau délai », a déclaré Zvika Neve, PDG du groupe CGI. « Mais malheureusement, une fois de plus, l’ego des Français a compromis toute possibilité de restitution des bijoux. » La correspondance s’est terminée il y a trois jours sans résultat.
Le groupe CGI a affirmé que des sources proches du musée l’avaient contacté par l’intermédiaire de sa filiale européenne à Rome, afin de dissimuler le lien avec la société israélienne et de lui demander de l’aider à résoudre le cambriolage. Le musée du Louvre a toutefois officiellement démenti ces allégations.
Selon Zvika Neve, PDG de la société, « Cinq jours après le vol au musée du Louvre, une personne se présentant comme un représentant des voleurs nous a contactés via le site web de CGI. Elle nous a demandé si nous étions intéressés par une négociation sur le dark web pour l’achat des œuvres volées, en insistant sur le fait que nous aurions 24 heures pour conclure la transaction. Après de longs échanges avec elle afin de vérifier qu’elle possédait bien au moins une partie des œuvres, nous avons accepté son offre. Immédiatement après, nous avons informé nos contacts parisiens. Malheureusement, des manœuvres dilatoires et des tergiversations ont compromis la possibilité d’acquérir au moins une partie des œuvres. Le 1er novembre 2025, le représentant des voleurs nous a recontactés et nous a accusés de ne pas être sérieux. Nous lui avons expliqué la situation tout en essayant de rétablir la confiance. Nous avons obtenu un nouveau délai, mais, une fois de plus, son ego a fait capoter la restitution des joyaux volés. »
Le 19 octobre, quatre voleurs déguisés en ouvriers du bâtiment ont pénétré par effraction dans le musée du Louvre. Arrivés à bord d’un camion-grue, ils ont grimpé jusqu’au premier étage, brisé une vitre et pénétré dans la galerie d’Apollon. En quelques minutes, neuf joyaux historiques appartenant aux familles royales françaises ont été dérobés. La couronne de l’impératrice Eugénie, le plus précieux, a été retrouvée brisée à l’extérieur du musée.
Une semaine après le cambriolage, deux suspects impliqués dans l’effraction ont été arrêtés : un Franco-Algérien de 34 ans, interpellé à l’aéroport Charles de Gaulle juste avant son vol pour l’Algérie, et un homme de 39 ans en région parisienne. Tous deux ont partiellement reconnu leur participation. Le week-end dernier, cinq autres suspects ont été arrêtés, dont un couple de Saint-Denis : un homme de 37 ans, dont l’ADN a été retrouvé dans le camion-grue et qui est soupçonné d’appartenir à la bande, et sa compagne de 38 ans.
Trois suspects ont été remis en liberté, tandis que quatre autres ont été inculpés et maintenus en détention. Les bijoux, estimés à environ 100 millions de dollars, n’ont pas encore été retrouvés.
Dans un entretien accordé à Radio France-Info, la procureure Laure Beccuau a déclaré : « Il s’agit d’une criminalité qui n’est pas du quotidien, mais qui n’est pas non plus du type de celle qu’on associe habituellement au crime organisé de haut niveau. » Au cours de la conversation, elle a déclaré que le profil des quatre personnes arrêtées jusqu’à présent – dont la compagne d’un suspect – ne correspond pas à celui des figures du crime organisé capables de mener des opérations complexes.
En 2019, après le vol de diamants du musée de la Voûte Verte à Dresde, le groupe CGI a été mandaté pour examiner le dispositif de sécurité. L’entreprise a affirmé avoir fourni des informations utiles à l’enquête.
Traduction google
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Tout le monde comprend que cette arnaque a été montée de toute pièce par ce connard qui squatte l’Élysée et avec la complicité des agents et de cette vulgaire poupée gonflable botox filisée version fromage pasteurisé qui, sans aucune connaissance autre que les bonbons à l’anis devient la tête de proue du ministère à la Culture. On croit rêver mais en fait, c’est un véritable cauchemar ambulant pour nos Ancêtres et le symptôme de notre déchéance morale et intellectuelle.
Bravo Christine! Tous les français se soucient de leurs « bijoux de famille »( bravo Argo pour votre boutade)car il s’agit bien de l’héritage de nos descendants.Notre président international un maître-chanteur aussi vain que la Castafiore nous cassent les bonbons! Peut-on se demander pourquoi lui et sa clique ne cherchent pas vraiment à savoir où, chez qui ils se sont envolés? Ce n’est certes pas La Pie qui Chante qui les a fourgués dans son nid!
Merci belle amie pour ta verve et ton soutien. Je t’embrasse
Du genre de sabotage qu’on imagine sans l’annoncer ouvertement, la gestapo veille…
Macron, l’ordure anti-France n’a rien a foutre de tout ce qui représente ou appartient a la France, ce cuistre hait notre pays et tout ce qui peut dégrader son image doit lui provoquer une érection.
MACRON a saboté la France, saboté les bijoux du Louvre, pourquoi pas ?
Mais oui bien sûr !
C’est bri-zi-zitte qui les a planqués.
Dans sa perruque (shein probablement).
Qui aurait alors l’audace de la déperruquer ?
Avec un beau coup double : récupération des bijoux et découverte (enfin !) du pot aux roses : masculin ou féminin ?
Maintenant, Macron a peur pour ses bijoux de famille…
Excellent Argo je te reconnais bien là 😉
Sauf qu’ils sont loin de valoir 88 millions d’euros!