Bobigny : le policier qui avait tué un squatteur clandestin chez sa grand-mère. Libéré après seize mois de détention, il va être jugé !

Après presque un an et demi passé derrière les barreaux, le policier Éric,  mis en examen pour homicide volontaire, a été remis en liberté lundi soir. Il reste toutefois sous contrôle judiciaire et assigné à résidence. 

Exactement comme dans l’affaire  Florian, contraint de tuer la petite frappe Naël Merzouk pour sauver la vie d’autrui, c’est celui qui fait son métier, empêcher la délinquance, rétablir la justice… qui est emprisonné et va être jugé. 

C’est, une fois de plus, une gifle en plein visage pour  chaque Français,  un crachat, une  insulte au courage, à la police, à tout ce que la France prétend défendre, à la République, aux lois censées défendre et la justice et la propriété.

Ils ont laissé pourrir pendant des mois en prison un Florian, un Eric dans une cellule, en prison, alors que les pires dealers, les sales petites racailles qui volent, agressent… sortent bien souvent de leur garde à vue après 24 h, libres…

C’est qu’il s’agit bien pour Eric comme pour Florian, d’en faire des symboles et de faire peur aux autres policiers par leur exemple.

C’est juste et terrifiant et inconstitutionnel, non ? 

La justice est devenue une machine folle qui sème l’injustice à tour de bras...

En octobre 2024, Eric, policier de son métier, un jour de repos, va chez sa grand-mère, il y découvre un squatteur un couteau à la main. Eric tente de discuter, de convaincre le squatteur de partir… l’autre se jette sur lui le couteau en avant… Florian, en état de légitime défense, tire. Le début de son calvaire,, le début d’une injustice abominable. Pour que la Macronie conserve la paix dite sociale...

C’est pas bien de défendre sa peau et celle du Français lambda quand on est policier dans la France de Mélenchon et Macron. Avec eux et leurs troupes c’est l’autre, fût-il le pire des terroristes, qui a raison, il faut que les Français et surtout les policiers comprennent que les voyous et voleurs, surtout s’ils s’appellent Mohamed ou Naël ont le droit de faire ce qu’ils font et qu’ils sont « sacer-prononciation saker » (intouchables, comme les magistrats de l’ancienne Rome..).  C’est qu’ils ont un pouvoir énorme, celui de mettre dans la rue des milliers, des centaines de milliers, des millions même, sans doute, de compatriotes à eux… Et les dhimmis de chez nous de se coucher, la peur au ventre, oubliant leurs enfants, leurs petits-enfants, leurs vieux, leur pays, leurs valeurs…

Et les dhimmis de chez nous au pouvoir, avec la complicité de nombre de juges, de brader la justice, la France et leur honneur pour faciliter aux envahisseurs la prise de pouvoir chez nous, sur nous. Comme si l’exemple de notre voisin anglais n’était pas suffisant à faire comprendre à ces traîtres le concept de dhimmitude. Mais chez ces gens-là, monsieur, on vit au jour le jour, on entasse pouvoirs, honneurs, fortune… en préparant une retraite dorée au Qatar, à Ryad ou au Maroc.

Pendant ce temps, nous, les petits, les invisibles, nous pensons à nos policiers emprisonnés pour nous, à cause de leur conception de la justice, à cause de l’amour qu’ils portent à la France. Quand nous lèverons-nous pour les libérer et préserver nos enfants de subir leurs sort ? 

Ces affaires, c’est le symbole d’une France qui s’effondre, qui disparaît  face à des squatteurs, des racailles haineuses et dangereuses, des voleurs, des assassins trop souvent venus d’ailleurs, nourris trop souvent des sourates haineuses du Coran pour les mécréants…

Christine Tasin

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