L’Amérique aux Américains, l’Europe aux Européens… faux, aux migrants !

 

Le bouclier de l’Occident et du monde libre, était leur hermétisme…

 

On ne nous reprochera pas d’avoir joué au clairon nuit et jour, d’avoir prédit la débâcle à laquelle nous assistons, à l’éminente substitution de population et à la mort de la démocratie ! Car au bout du couloir, c’est un islamisme conquérant, despotique et brutal qui se profile. Zohran Mamdani, migrant musulman d’Uganda, élu démocratiquement maire de New York, ne cache ni son antisémitisme, ni sa haine du juif, étant le fervent adepte de Barak Obama.

Vous avez voulu : L’abolition des frontières amalgamée au multiculturalisme et à la diversité, qui de facto ont servi à mener les pays occidentaux au naufrage au sein d’une communauté grossissante à vue d’œil, majoritairement afro-musulmane.

Si les fuyards juifs accueillis par ces démocraties s’étaient assimilés sans difficulté et étaient devenus de véritables patriotes, le cas du musulman d’Afrique du nord, du Moyen-Orient, de l’Inde, du Pakistan entre autre, ne se trouvait dans ces démocraties que dans l’unique objectif de le gangrener tout en bénéficiant des avantages d’un État providence démocratique… Plus tard vint l’ambition de s’emparer du pouvoir, toujours grâce aux atouts de la démocratie.

Une fois les rouages de ces démocraties révélées, il devint très aisé à ces populations de raccourcir le chemin vers la substitution de population, car comme l’affirmait si bien Arafat en Israël, l’utérus de la femme musulmane et la polygamie viendront à bout, tant de la race blanche mécréante que de son nombre…

Il faut aussi comprendre que les pays occidentaux avaient de leurs propres mains préparé leur linceul, bien avant l’arrivée en masse de migrants.

L’Europe d’avant et après 1945 – Appauvrissement en contingent humain : Exil, déportation, extermination, face à l’infécondité, la perte de foi, le laxisme, entre autres heurts et malheurs.

À partir de 1939, les politiques nazies achèvent de déstabiliser ethniquement l’Europe centrale et orientale. Tandis que les territoires annexés par l’Union soviétique subissent de nombreuses déportations sur critères sociaux, Berlin tente de « rapatrier » vers le Reich les populations ethniquement allemandes installées depuis des siècles à l’est, en particulier dans les pays Baltes.

Dans un second temps et avant d’être systématiquement exterminés, les Juifs sont victimes d’innombrables formes de déplacements forcés, au sein des villes par la ghettoïsation. De façon générale, les politiques nazies envisagent et amorcent de larges mouvements de populations afin de refondre l’Europe.

La fuite des survivants de la minorité juive d’Europe centrale et orientale. Rares rescapés des camps ou des ghettos, ayant survécu clandestinement ou dans un groupe de partisans ou s’étant réfugiés en Union soviétique pendant la guerre, les Juifs tentent brièvement de retourner chez eux. Confrontés à la perte de leurs proches, à des paysages dévastés, à l’hostilité de leurs voisins, à la difficulté de recouvrer leurs biens et à des relations tendues avec les autorités, les rescapés de la Shoah optent massivement pour l’exil. Les États concernés, loin d’entraver leur transit, ferment les yeux sur des déplacements qui s’apparentent dans bien des cas à des fuites éperdues.

Les survivants se placent dès la fin du conflit sous la protection des organisations internationales mandatées par l’ONU pour administrer les déplacés en Allemagne, en Autriche et en Italie, où œuvrent aussi de nombreux organismes juifs qui cherchent à faciliter leur migration. Mais les survivants optent aussi massivement pour des destinations plus habituelles des migrations juives : 100 000 embarquent pour les États-Unis, tandis que proportionnellement à sa population, l’Australie en accueille un nombre important. L’essentiel des départs s’effectue à la fin des années 1940 et au début des années 1950.

Les USA avant 1945, l’émigration vers les États-Unis, bien qu’ayant des restrictions, a été marquée par des vagues massives d’immigrants européens, notamment irlandais et allemands au XIXe siècle, suivies par d’autres nationalités au début du XXe siècle, avant de connaître un net ralentissement dû à la mise en place de quotas d’immigration restrictifs en 1924 et à la Seconde Guerre mondiale. Ces migrations étaient motivées par des raisons économiques, religieuses et politiques, et la main-d’œuvre constituait un moteur essentiel, notamment pour le développement de l’Ouest. 

L’Australie avant 1945 :

L’émigration vers l’Australie était principalement constituée de colons européens, commençant par des condamnés britanniques en 1788. La ruée vers l’or à partir de 1851 a attiré de nombreux Britanniques, Irlandais et autres Européens, ainsi que des Chinois, et la politique d’immigration australienne a été influencée par la « Politique pour une Australie blanche » à partir de 1901, qui privilégie les migrants européens. 

Il y a quelques décennies seulement, les démocraties d’Europe, des USA, du Canada, de l’Australie comptaient une majorité de blancs – Chrétiens, Juifs et libéraux. L’accès à ces démocraties, le moins qu’on puisse dire, était problématique à moins d’être assez fortuné – par exemple, émigrer au Canada, en 1975, nécessitait un compte bancaire d’au moins 100.000 dollars.

Mais plus la modernisation s’accentue, plus la main d’œuvre fait défaut… Sous le prétexte/dôme du multiculturalisme, de la diversité, de l’asile aux fuyards des guerres et des conflits, on ouvre les frontières, et c’est la ruée vers l’or du Klondike. Et puisque les occidentaux ont cessé de se reproduire… La fin de leur domination se profile.

Ne dit-on pas que les voies du Tout-Puissant sont insondables… Les juifs depuis la nuit des temps et la Shoah d’Hitler ne cessent de fuir ! Hier c’était l’Europe et les pays arabes, aujourd’hui/demain les USA, l’Australie, la France, l’Angleterre… Car la recrudescence de l’antisémitisme actuelle ne laisse plus aux juifs tout espoir de demeurer sur place.

« Le Dieu des juifs » chercherait-Il à les guider vers les Terres d’Israël, qu’Il leur a promises ?

 Thérèse Zrihen-Dvir

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4 Commentaires

  1. La population de New-York a choisi son leader. Grand bien lui fasse!
    Et les mises en garde de Mr Trump sont de nouveau des gesticulations de marionnettes.
    Seule la Parole demeure

    • Trump et ses menaces – gestes de marionnette sans effet ni résultat – voir Gaza et ses combinaisons qui ne collent pas. Les arabes demeurent les maîtres et partout… malheur à nous.

  2. L’Amérique aux Américains, l’Europe aux Européens et la France aux Français !
    Et si les Français ne veulent pas mourir par Allah, bougeons nous vite le cul !
    Se plaindre ou réfléchir ne nous sauvera pas !!!