Encore un reportage gonflé de Vincent Lapierre. Et courageux !!!
Beaucoup de deal, beaucoup de délinquance.. C’est le nouveau jardin d’Eole.
Rencontres incroyable, monde interlope, les consommateurs qui viennent chercher leur dose..
Il y a de la violence ici ? Oui, grave, surtout le soir c’est hyper dangereux, il y a des Guinéens…
C’est qui celle-là qui fait son footing ? C’est quoi ce délire ?
Voyage au bout de l’enfer ? Où va la France ?
La note d’humour de l’un des commentateurs sur YouTube.
Vincent, reviens en France, les voyages à l’étranger c’est dangereux.
Est-ce foutu ? Si on garde les mêmes politiciens et si on ne sort pas de l’UE, oui. Il faut rétablir les frontières, expulser les clandestins et les délinquants étrangers, envoyer les Français dealers faire un stage chez Bukéké… Quand on veut on a des solutions… Encore faut-il que les Français le veuillent et votent bien, et ne s’abstiennent pas. On entend trop souvent en ce moment des Résistants dégoûtés dire qu’ils vont dorénavant s’abstenir. Autant apporter la clé de la France aux islamistes…
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« Si les français le veulent et vote bien », alors là, c’est pas gagné. Leur cerveau, quand il y en a un, est lavé par le vivre ensemble et le multiculturalisme, ou par le découragement qui fait qu’ils ne votent plus, ou qu’ils votent à gauche pour ne pas se faire traiter de raciste. On a pas le cul sorti des ronces.
Il y a un drogué qui dit « Pourquoi je repartirai? », c’est pas la France qui décide, c’est Dieu (Allah) !
Faites bien attention à cette rhétorique. Un jeune muzz bien éduqué me l’avait sorti.
Ça veut dire quoi en réalité ? Ça veut dire que pour les muzz la terre entière est terre d’Allah. Donc on a plus qu’à fermer nos gueules.
Ça corrobore parfaitement le sondage qui montrait que la grande majorité des muzz mettait les lois de la République après les lois de leur secte.
Si nous ne nettoyons pas nous même devant nôtre porte, il ne faut pas s’attendre à ce que les politiques le fassent pour nous! C’est à nous, les véritables propriétaires de ce pays de reprendre le pouvoir que nous avons délégué et qui désormais, nous est spolié.