Scandaleux ! Des wagons réservés aux femmes, en 2025, à cause de la lâcheté de nos politicards

Un train pour eux, un train pour nous les femmes : voyage en Absurdie

Oh, mesdames et messieurs, bienvenue à bord du grand train de la modernité, où l’égalité file à toute allure… mais dans des wagons séparés, s’il vous plaît !

Oui, vous avez bien entendu : en 2025, on nous propose des wagons réservés aux femmes, une idée tellement lumineuse qu’elle éclaire d’un coup tout le génie de notre époque. Parce que, soyons sérieux, quoi de mieux pour promouvoir l’égalité que de remettre au goût du jour la bonne vieille ségrégation, mais avec une touche de rose poudré pour faire passer la pilule ?

Imaginez le tableau : vous montez dans le train, et là, un contrôleur zélé vous scrute de la tête aux pieds. « Madame, par ici, wagon 3, réservé aux dames. Monsieur, wagon 7, c’est pour les hommes. Oh, et vous là, qui ne rentrez pas dans les cases, désolé, on n’a pas encore prévu le wagon « divers » ! » On dirait un remake de Retour vers le futur, mais avec beaucoup plus de malaise. Parce que, franchement, qui a eu cette idée géniale ? Qui s’est dit : « Tiens, pour régler les problèmes de sécurité et de respect, rien de tel qu’un bon vieux cloisonnement digne d’un pensionnat du XIXe siècle » ?

C’est vrai, quoi, pourquoi s’embêter à éduquer, sensibiliser, renforcer les lois contre le harcèlement et, surtout, limiter le nombre d’étrangers avec une culture qui voit en toute femme un proie sexuelle ?

C’est tellement plus simple de coller les femmes dans un coin, comme des vases fragiles qu’on met à l’abri pour pas qu’ils se cassent.

Et puis, soyons honnêtes, ça fait des lustres qu’on sait que séparer les gens résout tous les problèmes. Regardez l’Histoire : les écoles séparées, les bus séparés, les fontaines à eau séparées… un succès retentissant, non ? Les quartiers islamisés en Seine-Saint-Denis où on ne trouve plus une tranche de jambon ni une mini-jupe… un vrai bonheur, une vraie réussite, non ? Alors pourquoi ne pas appliquer cette recette miracle au métro ou au TGV ? Tant qu’on y est, pourquoi pas des wagons pour les grands, les petits, les chauves, les barbus ? A chaque mouton son petit compartiment, bien rangé, bien propre, bien stérile, à côté du loup qui rôde. Et la France sera bien gardée

Mais ne vous méprenez pas, on nous vend ça comme un progrès. « C’est pour votre sécurité, mesdames ! » clament les défenseurs de ce chef-d’œuvre sociétal. Parce que, visiblement, le problème, ce n’est pas les comportements inappropriés, non, non, c’est juste que les femmes n’ont pas encore compris qu’elles doivent voyager dans une bulle hermétique pour être tranquilles. Et les hommes ? Eh bien, qu’ils se débrouillent dans leurs wagons, entre testostérone et sueur virile, pendant qu’on explique aux femmes qu’elles seront mieux protégées… en étant mises à l’écart. Bravo, quelle avancée !

C’est ça la France de 2025 ? Oui, c’est ça la France de Macron et de tous les dhimmis qui depuis 50 ans font venir des gens dont un certain nombre qui n’aiment pas vraiment notre pays, nos libertés, notre héritage, mais espèrent bien, grâce au nombre, le conquérir par leurs ventres et le faire leur. 

Après tout, franchement, qui s’intéresse aux causes profondes ? Qui cherche des solutions ? Ré–Éducation – à la schlague, pas avec un stage chez les Insoumis –  sanctions contre les agresseurs, expulsions immédiates, emprisonnement systématique chez Bukélé, castration des violeurs, expulsion effective des OQTF condamnés pour délinquance sexuelle, leurs pays ne veulent pas les reprendre ? Déposez-nous tout ça sur l’île du diable et qu’ils se démerdent.  Il y a des solutions, des vraies. Et merde à l’UE, merde à la Cour de Justice, merde à la CEDH. De toutes manières l’UE sans la France n’existe plus. Ça coûterait moins cher que de séparer les wagons et serait plus efficace, non ? Pff, trop compliqué. Mieux vaut dépenser des millions pour réorganiser les trains, installer des panneaux « Réservé aux femmes »  et embaucher des agents pour vérifier que personne ne se trompe de wagon. Pendant ce temps les Lola et autres Philippine continueront d’être violées et assassinées par des Aliens. 

Parce que, soyons clairs, c’est ça, le futur : un monde où l’on détruit les frontières pour faire entrer des gens ignorant refusant notre civilisation avancée afin, ensuite, de construire des wagons séparés, des murs, des résidences avec entrée à code, des prisons...  Et tant pis pour les pauvres n’ayant pas les moyens de vivre dans des résidences sécurisées et de se déplacer avec chauffeurs et gardes du corps.  Les wagons séparés, c’est le retour au monde de Zola, les bourgeois à l’abri de la délinquance, des odeurs, de l’insécurité.. dans la ville du haut ; la plèbe dans la boue du bas… 

Un monde où, faute de coexistence impossible entre tribus ennemies -oui, c’est le retour à la tribu, ne nous trompons pas-  on choisit de s’isoler, s’enfermer, se protéger. Et tout ça sous les applaudissements de ceux qui crient à la « solution pratique ».

Retour au bon vieux temps ! Trier, séparer, ne pas mélanger les torchons et les serviettes... L’histoire ne dit pas qui, des hommes et des femmes, sont les torchons et les serviettes. Comment ? Ni l’un ni l’autre ? Qui alors ? Le harceleur type, le violeur type, un malade, un pauvre dérangé du ciboulot avec de lourdes chances d’être d’origine étrangère et de confession musulmane. Les étrangers, 8 % de la population générale, sont mis en cause dans 13 % des cas de viols commis hors du cadre familial et 18 % des cas de viols conjugaux. Source  JDD.  Même le Ministère de l’Intérieur le dit, 63% des agressions sexuelles dans les transports en commun en IDF sont commises par des étrangers, sans parler des violences sexuelles. (Voir la capture d’écran google ci-dessous). C’est donc bien là le problème, rien à avoir avec des histoires de wagons séparés.

On le met où, lui le potentiel agresseur des femmes d’origine étrangère ? Avec les hommes ? Qui l’empêchera d’avoir accès au wagon des femmes ? 3 flics à l’entrée de chaque wagon ??? Quant à l’agresseur, apparemment, il n’est ni homme ni femme, il n’y a pas de place prévue dans les wagons réclamés par nos chers politiques et les imbéciles qui signent cette pétition scandaleuse.

Scandaleuse, oui je confirme. Le problème des femmes n’est pas « les hommes », c’est le grand pourcentage d’obsédés du sexe, majoritairement  de confession musulmane (ça s’explique, il suffit de lire le Coran pour comprendre comment et pourquoi on devient un obsédé sexuel avec ce que Wafa Sultan appelle « fabrique de déséquilibrés »).. 

Pourquoi punir nos hommes à nous, déjà pas mal émasculés par les féministes à la Rousseau et bien incapables de violer une femme dans un train ? 

Pourquoi punir les femmes qui aiment voyager avec leur homme ou pouvoir faire connaissance avec des hommes, le hasard pouvant amener de belles découvertes, de belles surprises ? 

Pourquoi séparer les couples qui se rendent de conserve à Venise pour leur voyage de noce ? 

Chut ! Tais-toi, Christine. Les politiciens sans couilles ont trouvé, une fois de plus, comment restaurer provisoirement un ordre apparent afin d’éviter les émeutes des De Souche. Pendant ce temps l’invasion islamique s’amplifie, s’installe, et impose ses règles qui, quel hasard, prévoient de séparer les femmes des hommes. L’Afghanistan avec les femmes interdites d’école, de sortie et d’hôpital pour que leur mâle soit sûr de ne pas être cocu, c’est demain matin. 

Retour vers le futur ! Alors, mesdames, messieurs, à vos tickets ! Choisissez bien votre wagon, et surtout, n’oubliez pas : l’égalité, c’est quand tout le monde a sa place… mais pas dans le même train. Allez, en voiture, direction l’absurde !

Post-scriptum 

Voilà le témoignage d’un rédacteur de Riposte laïque sur les wagons séparés. Elémentaire non ?  A envoyer aux tarés qui ont mis en oeuvre leur pétition et à ceux qui l’ont signée.

Fin 1971, je me trouvais au Pakistan, bloqué à Peshawar. Tous les avions civils étaient interdits de vol du fait de la énième guerre avec l’Inde qui soutenait les rebelles du futur Bangla Desh.
Pour rejoindre l’ambassade de France à Islamabad et bénéficier d’un transport « diplomatique », il me fallait prendre un train poussif datant des années 1930, loco à vapeur, wagons en bois, quatrième classe pour tout le monde.
Choc culturel : Les wagons étaient divisés en deux parts inégales : 1/5 au fond, sans aération, pour les femmes, les chèvres, les poules et les enfants.
Le reste 4/5 bien ventilé, réservé aux hommes, en partie inoccupé.
Avisant un Pako paraissant plus évolué que les autres, avec attaché-case et parlant bien anglais, je lui demandai pourquoi on ne proposait pas un peu de place libre aux femmes.
« Pas question ! Elles sont impures ! »
Jamais je n’aurais imaginé que ces sauvages viendraient imposer leur mode de vie arriéré, 55 ans plus tard en Europe !

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