Une gifle de plus ! L’Algérie réduit l’influence culturelle française !

Et Macron tergiverse encore; le « en même temps » schizophrénique et pathologique est incurable et continue… Quand montrera-t-il, enfin, qu’ il a des glaouis en répondant autrement que par le mot « fermement »(!), à la politique haineuse du satrape Tebboune en dénonçant le controversé accord de 1968. Le vote de ce jour obtenu à l’Assemblée Nationale restera-t-il un voeux pieux ou la perche sera-t-elle saisie, venant du peuple français représenté par les députés de la Nation ? Vox populi…. ?
Juvénal
L’Algérie met en œuvre une série de mesures qui modifient progressivement la présence culturelle et éducative française sur son territoire. Cette réorientation intervient dans un contexte de tensions diplomatiques entre les deux pays. Les autorités algériennes restreignent notamment le développement des institutions éducatives françaises tout en promouvant les langues arabe et anglaise.
Le ministère français des Affaires étrangères a officiellement reconnu le recul de son influence culturelle et éducative en Algérie. Cette admission figure dans une réponse écrite datée du 23 octobre 2025, adressée au Sénat français et consultée par le journal Echorouk.
Le document évoque des « difficultés croissantes » dans les relations bilatérales, accentuées par l’expulsion de douze diplomates français en avril 2025.La réponse ministérielle précise que les autorités algériennes ont contraint les établissements scolaires portant le label « Enseignement France » à y renoncer. Parallèlement, elles ont interdit la création de nouvelles institutions éducatives françaises et la conclusion de partenariats pédagogiques supplémentaires.

Les conséquences sur le système éducatif français en Algérie

Le lycée international Alexandre-Dumas, situé dans la ville de Ben Aknoun à Alger, subit une pression démographique importante. L’établissement doit faire face à une demande excédant largement sa capacité d’accueil, tant de la part des familles françaises que algériennes souhaitant une éducation suivant le système français.

 : Université, école, administration… La langue française recule en Algérie au profit de l’anglais. Cette évolution inquiète en #France. #Algerie :
La situation a conduit le sénateur Hélène Conway-Mouret à interpeller le gouvernement français en juillet 2025. Dans sa question écrite, elle signalait qu' »une place pour soixante demandes d’inscription » était observée dans certaines classes. Elle attribuait cette situation au refus des autorités algériennes d’autoriser l’ouverture d’un deuxième établissement français ou de nouveaux partenariats éducatifs.

Les solutions alternatives et leurs limites

Face à ces contraintes, le ministère français des Affaires étrangères a proposé le Centre national d’enseignement à distance (CNED) comme solution alternative. Cet organisme permet aux élèves résidant à l’étranger de suivre un enseignement conforme aux programmes français, de la maternelle à la terminale.

Cependant, les conditions d’accès à ce dispositif ont été resserrées par le ministère français de l’Éducation nationale. Seuls les élèves provenant d’écoles françaises en France ou d’établissements homologués à l’étranger peuvent s’inscrire au parcours « organisé ». Les autres élèves doivent se contenter du « parcours libre », qui repose sur l’auto-formation avec passage des examens finaux. Le gouvernement français a indiqué qu’aucun assouplissement de ces conditions n’était envisagé « pour le moment » !!!

Le contexte politique et ses implications

La réponse du gouvernement français reconnaît explicitement que « les conditions politiques actuelles ne permettent pas d’étendre le réseau d’enseignement français en Algérie ». Cette déclaration officielle intervient dans un contexte de refondation (!) des relations culturelles entre les deux pays.

L’Algérie réoriente sa politique linguistique en favorisant l’arabe et l’anglais dans l’enseignement supérieur et la recherche scientifique. Cette transition est particulièrement visible dans les filières médicales et scientifiques, où le français perd progressivement sa position dominante. Le ministère français des Affaires étrangères a confirmé que ces évolutions s’opéraient « de manière fluide et réfléchie » dans l’ensemble du réseau éducatif français en Algérie, marquant une transformation durable des dynamiques culturelles entre les deux pays.   sourc
Pcc : Juvénal de Lyon  
 LIBEREZ BOUALEM SANSAL

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13 Commentaires

  1. Ils supprime la langue française tant mieux cela va handicaper voir ralentir l’invasion , il est grand temps que l’on coupe les ponts avec ce pays !

  2. il est temps d’en finir avec ce pays duquel on a plus rien à faire depuis 1962 et qui ne cesse de nous nuire : mais non la france continue à lécher les babouches via sa classe politique islamisée

  3. Tant mieux..moins ils parlent français.
    Moins ils viendront comme la meurtrière de lola soit disant étudier en France.
    Ils peuvent toujours apprendre le turc .
    La Turquie qui les a colonisé pendant 300 ans

  4. Je pense que MACRON n’a pas de glaouis comme vous dites et ne pourra donc pas les montrer. D’ailleurs le Peuple Français en a aussi de moins en moins parce qu’il à l’OM, le PSG, le ski, etc… etc… Mais quand le Peuple connaitra les restrictions et plus aucun choix pour quoi que ce soit, il comprendra.
    Moi je peux en parler, j’ai connu les restrictions et ceux qui étaient bien contents quand ils arrivaient à attraper un rat pour un seul repas dans la journée.
    N’oubliez pas que nos problèmes ne viendront pas tous de l’extérieur car nous en avons un gros à l’intérieur qui s’ajoutera aux premiers et il sera trop tard quand vous vous en rendrez compte.
    Beaucoup se souviendront de ce que je répète souvent: « Réveillez-vous » ….. nous sommes déjà en guerre !

  5. Écoutons B. Sansal parler du déclin macronique de la France, dans l’entretien ci-dessus… FRANCE ton café fout le camp calmait une maîtresse femme célèbre à Louis XV. (C’est le surnom qu’elle lui avait donné : La France !) Mais Macronibus, le morpion, ne mérite pas même ce pseudonyme trop honorable et honorant.

    • On peut penser que l’enfumeur essayant de plagier les trémolos de Malraux attendra plutôt sa mort.
      Une occasion d’exploiter la mort d’un héros qu’il aura laissé crever, puis autre occasion de le décorer; deux bonnes aubaines à exploiter pour son petit théâtre permanent.

    • C’est une lumineuse idée de nommer Boualem Sansal à l’académie Française, ça sera une giffle retentissante pour le pouvoir militaro-maffio-grabataire de l’Algérie mais est ce que nos dirigeants oseront le faire ? !? ! J’en doute .

  6. Et si nous supprimons ces établissements du jour au lendemain sans préavis… Plus un sous pour les Picsou ! !

    • Franchement personne ne comprend les réactions névrotiques de l’Algérie, un pays qui ne peut se permettre ce genre de comportement vu que sa population vit en parasite ( pas toute la population algerienne , ça va de soi ) un peu partout dans le monde mais principalement en France et dont le destin après son indépendance s’est tourné en eau de boudin. Ce pays après s’etre enfoncé dans le quart mondisme s’est directement vissé dans le « NORD CORÉANISME »

  7. Il faut couper tout contact avec l’Algérie, c’est tout. On renvoie chez eux leurs ressortissants, et point barre. On ne copine pas avec ceux qui nous détestent.