Les 7 autres étapes
Deuxième étape ? Former une coalition dirigeante : Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont coalitionnés autour de la cause climatique : ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs “verts”… Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes. Cette alliance transnationale donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, en s’appuyant sur la science officielle et la vertu politique. C’est une coalition d’influence, pas une coalition démocratique. Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la “bonne cause”.
Troisième étape ? Développer une vision et une stratégie ↓ Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une “vision du futur” : Une planète “neutre en carbone”, Une économie “verte” et “durable”, Une humanité “responsable” (souvent au prix de restrictions). Mais cette vision se double d’une stratégie prescriptive : Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels. Autrement dit : sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global, dont la finalité réelle peut être le contrôle, plus que la protection.
Quatrième étape ? Communiquer la vision du changement ↓ Une fois la “vision verte” créée, elle est massivement relayée par tous les canaux de communication : Médias grand public, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques. L’image du “sauveur de la planète” devient une norme sociale et morale. Les messages sont simples, répétitifs et émotionnels : “Chaque geste compte”, “sauvez la Terre”, “il n’y a pas de planète B”. Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) servent d’incarnations émotionnelles du récit. La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus social apparent — le doute devient marginalisé, voire interdit. L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion
Cinquième étape : lever les obstacles Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes : Marginalisation des “climatosceptiques”, assimilés à des “complotistes” ou à des “ennemis de la science”. Pression académique et médiatique pour exclure les discours divergents. Censure indirecte via les plateformes ou les financements. L’obstacle principal au “changement global” n’est plus technique, mais idéologique : ceux qui doutent du récit dominant. On remplace le débat scientifique par une morale obligatoire. La peur devient une arme de contrôle social, la “bonne conscience écologique” un filtre de légitimité.
Sixième étape : Générer des victoires à court terme Les gouvernements et ONG mettent en avant des petits succès symboliques : Fermeture de centrales à charbon, Interdiction des pailles en plastique, Adoption d’accords internationaux (Accords de Paris, COP successives), Campagnes de reboisement médiatisées. Ces “victoires” sont souvent plus médiatiques que structurelles, mais elles entretiennent la narration d’un progrès constant : “Nous avançons”, “le monde se mobilise”, “le changement est en marche”. En réalité, ces victoires servent à maintenir la mobilisation émotionnelle et à faire taire la fatigue ou le doute : l’impression d’avancer suffit à justifier la poursuite du programme politique global.
7ème étape vers le totalitarisme : Consolider les gains et produire plus de changement Une fois que la population est sensibilisée, et que les “victoires symboliques” (COP, lois vertes, gestes écologiques) sont célébrées, le système ne s’arrête pas là : il renforce la structure du changement. Comment ? Création d’organismes institutionnels permanents : Haut Conseil pour le Climat, ministères dédiés, agences européennes, programmes de transition. Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques : urbanisme, transport, énergie, agriculture, éducation, santé. Multiplication des contraintes légales : taxes carbone, normes environnementales, restrictions de mobilité ou de consommation. Renforcement du sentiment d’urgence : chaque été est “le plus chaud jamais enregistré”, chaque tempête est “une preuve du dérèglement”. L’objectif ? Ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation. Chaque crise (incendie, inondation, sécheresse) devient une preuve supplémentaire qu’il faut aller “plus loin, plus vite, plus fort”. Le processus de transformation devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.
Alors, que vous soyez un croyant ou un ennemi de la nouvelle église climatique, venez le 15 novembre au forum de la dissidence…
L’alarmisme climatique, nouvel avatar de la pensée totalitaire ?
L’alarmisme climatique
 Religion millénariste, idéologie totalitaire et juteux business
Introduction : de l’écologie au catastrophisme climatique 
 Jean-Yves Le Gallou, Polémia
Première partie : l’évolution du climat, fausses certitudes et vraies incertitudes
- Peut-il y avoir vérité scientifique sans libre débat ?
 Olivier Battistini, philosophe, maitre de conférences en histoire grecque, auteur de Platon
- Que sait-on vraiment du climat et de ses changements : recension des points de vue alternatifs ? 
 Johan Hardoy, Polémia
- L’alarmisme médiatique : lavage de cerveau et propagande permanente
 Adélaïde Motte, journaliste
- La jeunesse : entre endoctrinement climatique et souci du patrimoine naturel
 Raphal Ayma, auditeur de l’Institut Iliade, porte-parole de Tenesoun
Seconde partie : de quoi l’alarmisme climatique est-il le nom ?
- L’alarmisme au service de la révolution Arc-en-ciel  
 Martin Peltier, essayiste, auteur du Vrai nom du grand bordel : Arc-en-ciel. Au bout de la Révolution, un empire et sa religion
- Le catastrophisme climatique, idéologie de la régression occidentale
 Michel Geoffroy, Polémia
- L’écologie contre l’environnement
 Bertrand Alliot, ingénieur en gestion de l’environnement, auteur de L’incroyable écologie, analyse d’un écolo-traitre
- L’alarmisme climatique : un business prospère 
 Fabien Bouglé, lanceur d’alerte, auteur de Guerre de l’énergie, directeur de Transitions et énergies
Conclusion : n’ayons pas peur !
 Lucas Chancerelle, Polémia
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Le mauvais temps s’est abattu sur le peuple, des ouragans sur notre portefeuille, des inondations de fiscalité climatique.
Bref un complot cousu main, pour diriger les européens voir plus et au passage se faire un max de pognon.
Si on avait cru les prévisions du GIEC, les PAYS-BAS devraient être sous 1 mètre d’eau actuellement…
Tous ces experts et autres Professeurs NIMBUS (nuage en Latin) se foutent de notre figure et paradent un peu moins sur les plateaux mediatiques. tant ils se sont decrédibilisés, voire ridiculisés… de façon éhontée!!!