L’alarmisme climatique, nouvel avatar de la pensée totalitaire ?

Vous connaissez la première étape du changement de J.Kotter ? Vous allez tout comprendre sur ce qu’il se passe actuellement avec l’alarmisme climatique ↓
Première étape identifiée : créer un sentiment d’urgence Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle : « L’humanité est en danger », « la planète brûle », « il ne reste que 10 ans ». En termes de stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation. On diffuse des images de catastrophes naturelles, On répète les échéances (“2020”, “2030”, “2050”), On associe le scepticisme à de l’irresponsabilité morale. Résultat : un état d’urgence permanent, qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

Les 7 autres  étapes

Deuxième étape ? Former une coalition dirigeante : Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont coalitionnés autour de la cause climatique : ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs “verts”… Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes. Cette alliance transnationale donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, en s’appuyant sur la science officielle et la vertu politique. C’est une coalition d’influence, pas une coalition démocratique. Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la “bonne cause”.

Troisième étape ? Développer une vision et une stratégie ↓ Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une “vision du futur” : Une planète “neutre en carbone”, Une économie “verte” et “durable”, Une humanité “responsable” (souvent au prix de restrictions). Mais cette vision se double d’une stratégie prescriptive : Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels. Autrement dit : sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global, dont la finalité réelle peut être le contrôle, plus que la protection.

Quatrième étape ? Communiquer la vision du changement ↓ Une fois la “vision verte” créée, elle est massivement relayée par tous les canaux de communication : Médias grand public, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques. L’image du “sauveur de la planète” devient une norme sociale et morale. Les messages sont simples, répétitifs et émotionnels : “Chaque geste compte”, “sauvez la Terre”, “il n’y a pas de planète B”. Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) servent d’incarnations émotionnelles du récit. La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus social apparent — le doute devient marginalisé, voire interdit. L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion

Cinquième étape : lever les obstacles Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes : Marginalisation des “climatosceptiques”, assimilés à des “complotistes” ou à des “ennemis de la science”. Pression académique et médiatique pour exclure les discours divergents. Censure indirecte via les plateformes ou les financements. L’obstacle principal au “changement global” n’est plus technique, mais idéologique : ceux qui doutent du récit dominant. On remplace le débat scientifique par une morale obligatoire. La peur devient une arme de contrôle social, la “bonne conscience écologique” un filtre de légitimité.

Sixième étape : Générer des victoires à court terme Les gouvernements et ONG mettent en avant des petits succès symboliques : Fermeture de centrales à charbon, Interdiction des pailles en plastique, Adoption d’accords internationaux (Accords de Paris, COP successives), Campagnes de reboisement médiatisées. Ces “victoires” sont souvent plus médiatiques que structurelles, mais elles entretiennent la narration d’un progrès constant : “Nous avançons”, “le monde se mobilise”, “le changement est en marche”. En réalité, ces victoires servent à maintenir la mobilisation émotionnelle et à faire taire la fatigue ou le doute : l’impression d’avancer suffit à justifier la poursuite du programme politique global.

7ème étape vers le totalitarisme : Consolider les gains et produire plus de changement Une fois que la population est sensibilisée, et que les “victoires symboliques” (COP, lois vertes, gestes écologiques) sont célébrées, le système ne s’arrête pas là : il renforce la structure du changement. Comment ? Création d’organismes institutionnels permanents : Haut Conseil pour le Climat, ministères dédiés, agences européennes, programmes de transition. Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques : urbanisme, transport, énergie, agriculture, éducation, santé. Multiplication des contraintes légales : taxes carbone, normes environnementales, restrictions de mobilité ou de consommation. Renforcement du sentiment d’urgence : chaque été est “le plus chaud jamais enregistré”, chaque tempête est “une preuve du dérèglement”. L’objectif ? Ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation. Chaque crise (incendie, inondation, sécheresse) devient une preuve supplémentaire qu’il faut aller “plus loin, plus vite, plus fort”. Le processus de transformation devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.

Et enfin, la huitième et dernière étape : ancrer les nouvelles approches dans la culture Voici le point culminant du processus : le climat devient une religion séculière, un dogme moral et culturel. À l’école, les enfants sont formés dès le plus jeune âge à “sauver la planète” : le climat devient un devoir civique. Dans les médias, toute catastrophe est systématiquement reliée au changement climatique — même sans preuve scientifique directe. Dans les entreprises, la “responsabilité environnementale” devient un critère d’embauche, d’image et d’investissement. Dans la politique, les programmes verts sont transpartisans : on ne débat plus du climat, on débat seulement de comment appliquer le dogme. Le climat devient la morale collective dominante. Celui qui doute n’est plus simplement en désaccord : il est moralement fautif, dangereux, voire haïssable. C’est à ce stade que le discours climatique cesse d’être scientifique pour devenir idéologique et TOTALITAIRE, au sens où il prétend régir tous les aspects de la vie : alimentation, transport, énergie, logement, natalité.
Ne vous laissez pas berner. Que vous soyez climatosceptiques ou fervent croyant du changement climatique, venez le 15 novembre, au Forum de la dissidence, où nous discuterons de toute la question environnementale afin d’éviter un totalitarisme qui nous priverait de nos libertés
my.weezevent.com
L’alarmisme climatique, nouvel avatar de la pensée totalitaire ?
L’alarmisme climatique Religion millénariste, idéologie totalitaire et juteux business Introduction : de l’écologie au catastrophisme climatique  Jean-Yves Le Gallou, Polémia Première partie

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Alors, que vous soyez un croyant ou un ennemi de la nouvelle église climatique, venez le 15 novembre au forum de la dissidence…

L’alarmisme climatique, nouvel avatar de la pensée totalitaire ?

Description

L’alarmisme climatique
Religion millénariste, idéologie totalitaire et juteux business

Introduction : de l’écologie au catastrophisme climatique 
Jean-Yves Le Gallou, Polémia

Première partie : l’évolution du climat, fausses certitudes et vraies incertitudes

  • Peut-il y avoir vérité scientifique sans libre débat ?
    Olivier Battistini, philosophe, maitre de conférences en histoire grecque, auteur de Platon
  • Que sait-on vraiment du climat et de ses changements : recension des points de vue alternatifs ? 
    Johan Hardoy, Polémia
  • L’alarmisme médiatique : lavage de cerveau et propagande permanente
    Adélaïde Motte, journaliste
  • La jeunesse : entre endoctrinement climatique et souci du patrimoine naturel
    Raphal Ayma, auditeur de l’Institut Iliade, porte-parole de Tenesoun

Seconde partie : de quoi l’alarmisme climatique est-il le nom ?  

  • L’alarmisme au service de la révolution Arc-en-ciel  
    Martin Peltier, essayiste, auteur du Vrai nom du grand bordel : Arc-en-ciel. Au bout de la Révolution, un empire et sa religion
  • Le catastrophisme climatique, idéologie de la régression occidentale
    Michel Geoffroy, Polémia
  • L’écologie contre l’environnement
    Bertrand Alliot, ingénieur en gestion de l’environnement, auteur de L’incroyable écologie, analyse d’un écolo-traitre
  • L’alarmisme climatique : un business prospère 
    Fabien Bouglé, lanceur d’alerte, auteur de Guerre de l’énergie, directeur de Transitions et énergies

Conclusion : n’ayons pas peur !
Lucas Chancerelle, Polémia

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3 Commentaires

  1. Le mauvais temps s’est abattu sur le peuple, des ouragans sur notre portefeuille, des inondations de fiscalité climatique.

  2. Bref un complot cousu main, pour diriger les européens voir plus et au passage se faire un max de pognon.

  3. Si on avait cru les prévisions du GIEC, les PAYS-BAS devraient être sous 1 mètre d’eau actuellement…
    Tous ces experts et autres Professeurs NIMBUS (nuage en Latin) se foutent de notre figure et paradent un peu moins sur les plateaux mediatiques. tant ils se sont decrédibilisés, voire ridiculisés… de façon éhontée!!!