Scoop : les hommes préhistoriques ne mangeaient pas de viande mais des asticots

Nouveau scoop d’un chercheur : les hommes préhistoriques ne mangeaient pas de viande mais des asticots…

Il est de plus en plus évident que les écologistes ont du mal à admettre que nos ancêtres étaient chasseurs et mangeaient de la viande.

Alors tout est bon pour « déconstruire »   cette image.

Il se trouve toujours un chercheur en quête de notoriété pour « démontrer » que nos ancêtres ne pouvaient en aucune manière être d’horribles carnivores se gavant d’une orgie de viande rouge au barbecue. Un vrai cauchemar pour Sandrine Rousseau.

De même, dans ce monde wokiste où la masculinité est carrément une tare, il devient impossible d’admettre que nos ancêtres chasseurs avaient le physique d’un Tarzan et le courage d’un lion. Effectivement, un homme chassant le mammouth avec une sagaie ou un arc, c’est franchement gênant, non ? On n’est pas franchement dans le schéma de l’« homme déconstruit » cher à nos néoféministes.

Mais l’acharnement des « scientifiques » pour battre en brèche ces stéréotypes fort gênants devient tellement frénétique qu’il aboutit à un résultat grotesque : les études se contredisent …

UNE PREMIÈRE ÉTUDE ABOUTISSAIT À LA CONCLUSION QUE L’AUTRALOPITHÈQUE ÉTAIT VÉGÉTARIEN :

J’ai déjà fait mention d’un article qui « démontrait » que les ancêtres de l’Homme étaient essentiellement végétariens. Telle était la conclusion sans appel d’une étude publiée dans la revue « Science » en janvier 2025. Elle partait d’un constat que les rapports isotopiques mesurés dans les restes d’émail dentaire fossilisés ne pouvait s’expliquer que par une alimentation très majoritairement d’origine végétale pour conclure que :

« Les australopithèques ne consommaient quasiment pas de viande ».

Les journalistes de Radio-France étaient allées jusqu’à conclure par un titre accrocheur que « Nos possibles ancêtres les Australopithèques ne mangeaient pas de viande ».

En analysant de près cette étude, j’avais démontré qu’elle ne valait pas un pet de lapin, ne serait-ce que parce que les différents Australopithecus n’avaient pas le même régime alimentaire et surtout parce que tout simplement ils n’étaient pas les ancêtres de l’Homo sapiens, mais de lointains cousins.

Rien d’étonnant quand on sait que l’Institut Max Planck qui a financé l’étude affiche son militantisme écologique. Sa « déclaration de mission » précise qu’il « veut être un modèle de la façon dont la recherche peut être organisée (…) pour être respectueuse du climat ».  De surcroît, il existe une initiative de leurs chercheurs, le Max Planck Sustainibility Network(MPSN), réseau de durabilité interne, par lequel ceux-ci s’interdisent de prendre l’avion.

Donc tout est désormais nettement plus clair : un réseau d’activistes climatiques s’emploie à désinformer au nom de la « Science » !

MAINTENANT, UNE NOUVELLE ÉTUDE DÉMONTRE QUE L’HOMME DE NEANDERTAL MANGEAIT DES ASTICOTS !

Las ! Nos scientifiques récidivent avec l’Homme de Neandertal. Cette fois ci ils affirment au contraire que celui-ci mangeait tellement de viande que… c’était impossible qu’il mange de la viande !

Et le tout bien sûr scientifiquement démontré, comme vous allez pouvoir en juger.

On part là encore du rapport isotopique de l’azote (N15/N14) dans l’émail fossilisé. Cette fois-ci, nos chercheurs constatent que les valeurs y sont élevées, supérieures à celles des grands carnivores (lions, hyènes et autres loups).

Et là, ils concluent que c’est tout simplement impossible ! En effet, l’homme moderne ne peut pas se nourrir presque exclusivement de protéines animales car alors il est atteint par un « syndrome de malnutrition hyperprotéique » potentiellement mortel.

La solution ? Nos ancêtres se nourrissaient d’asticots dont le rapport isotopique N15/N14 est supérieur à celui de la viande ! La démonstration est complexe et laborieuse, nous y reviendrons.

Il existe pourtant des explications très simples à cette anomalie :

  • La première est que le métabolisme de l’Homme de Neandertal était plus proche de celui des grands carnivores que de celui de l’homme moderne. C’est d’autant plus plausible qu’il a été démontré qu’il existe une importance adaptation de leur génome au métabolisme des lipides.
  • La seconde est que l’apport calorique lié à la consommation de gibier pouvait être davantage axé sur les graisses que les protéines.

Ce phénomène est bien connu chez les chasseurs-cueilleurs. Il a été découvert au début du XXème siècle par les explorateurs européens qui ont souffert de malnutrition sévère alors qu’ils mangeaient de la viande plus qu’à satiété. C’est le cas de Stefansson chez les Inuits. En 1928, le phénomène a été expérimenté en laboratoire, décrit comme le « rabbit starvation » et la guérison était très rapide en consommant des lipides, sans changer la quantité de viande maigre ingérée. C’est ainsi que procédaient les Inuits en surconsommant de la graisse de phoque.

Les mêmes observations avaient été faites au siècle précédent.  Les explorateurs chez les Amérindiens y ont souffert des mêmes maux. Ils s’en étaient prémunis en utilisant les mêmes astuces que les populations indigènes qui extrayaient la graisse contenue dans la bosse de bison et la moelle osseuse pour corriger l’excès de protéines.

Il n’y a donc aucun mystère : la diététique actuelle complétée par l’ethnologie explique parfaitement ce rapport isotopique anormalement élevé.

Mais nos chercheurs n’ont même pas évoqué cette possibilité.

Ils sont partis de recherches menées sur 389 asticots de trois espèces de mouches différentes dévorant des cadavres humains (dans une morgue aux États-Unis).

Au terme d’une analyse isotopique par spectromètre de masse, ils ont pu établir que le rapport δ15N pouvait être significativement enrichi : les asticots contenant alors jusqu’à 43 % de N15.

Dès lors « il n’est pas interdit de penser » que les Néandertaliens bouffaient des asticots.

Certes, l’hypothèse est intéressante et plausible, mais ce n’était alors probablement qu’un complément alimentaire lors de période de disette, comme ça a pu se produire chez beaucoup de chasseurs-cueilleurs, mais ce n’était pas une règle.

Cependant, ce qui était (peut-être) occasionnel devient rapidement la règle sous la plume des journalistes.

CQFD : nos ancêtres n’étaient pas de nobles chasseurs, mais des charognards extrayant de la vermine dans des quartiers de bidoche pourrie pour s’en repaître !

Objectif atteint : on peut difficilement aller au-delà de la déconstruction de l’image de nos ancêtres !

Ces exemples sont hélas représentatifs de la recherche moderne : les chercheurs ne sont pas des scientifiques mais des militants.

Par tous les moyens, ils parviendront à démontrer les plus invraisemblables théories au service de leur idéologie.

Et les journalistes sont complices de cette manipulation. Par ignorance, par paresse ou par complicité, ils résumeront l’article en un titre bien accrocheur qui contribuera à désinformer les foules :

  • « Nos ancêtres étaient végétariens »
  • « Nos ancêtres se nourrissaient d’asticots ».

Étonnez-vous dès lors de la prolifération d’écolo-bobos qui militent pour ne plus consommer de viande et clament que les insectes sont l’alimentation de l’avenir….

Force est donc de constater que le wokisme fait des ravages dans la communauté scientifique. Les chercheurs engagés trahissent totalement l’approche scientifique.

Il est à craindre hélas que l’on en ait récupéré toute une cargaison en France. Ceux que l’on nous a présentés comme des victimes du trumpisme venant se réfugier dans notre beau pays ne sont-ils pas au contraire de dangereux hurluberlus ?

En effet, un vrai scientifique ne craint pas la politique car la vraie science ignore les vicissitudes de la politique.

 

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7 Commentaires

  1. Et les peaux de fourrure avec lesquels ils se couvraient ?…les os et les tendons qu’ils employaient comme outil !?..c’était fait avec les peaux d’asticot ???….ca « tombait du ciel » comme dit la perruche-bécasse de l’assemblée nationale ?…Dieeeeuuuu que ces pseudo scientifique sont con !!!

  2. C’est assez logique qu’ils mangeaient des asticots puisque en réalité ils avaient de la peine à chasser avec succès et, comme les hyènes bet les vautours , arrachaient avec leurs canines de la viande d’animaux tués par d’autres animaux.

  3. Non seulement l’homme de Neanderthal mangeait de la viande cru ou cuite selon les periodes ou ils avaient du feu qu’ils n’ont pas su creer eux meme avant 100 000 ans en arriere, mais ils etaient deja des genis de mathematique avanceee. En effet, des paleotholongiste ont prouve qu’ils vivaient dans des grottes qui etaient alignes pour un maximum de lumeiere et de chaleur (pour les periodes ou ils n’avaient pas de feu.
    Si j’arrive a la retrouver, j’ai une video Americaine sur le sujet.
    Certaines de ces caves remontent a 450 000 ans en arriere

  4. Bien sûr tout le monde sait ça ! A l’époque c’est la viande qui mangeait les hommes!🤣🤣🤣