Nos filles condamnées parce que les politicards ont besoin du fric du Qatar pour arroser les immigrationnistes ?

Un fait divers de plus, qui se termine bien, exceptionnellement lui, pour la victime, qui comme cela arrive trop souvent s’est retrouvée seule en queue de train dans un wagon désert et a été agressée par un violeur. Sauvée in extremis par l’arrivée d’une autre voyageuse ayant entendu les cris depuis son wagon a réussi à détourner l’agresseur de sa proie, à le faire reculer et à le photographier, ce qui l’a fait fuir. 

« Il a vu que je n’avais pas peur » : comment Marguerite a sauvé Jhordana d’un viol dans le RER C
Cette directrice d’établissement scolaire a mis en fuite un homme qui tentait de violer une jeune femme dans le RER C, à hauteur de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), mercredi 15 octobre. Grâce à son calme et à son expérience des situations difficiles, elle a permis d’éviter le pire. Nous l’avons retrouvée.[/caption]

Et pourtant, le commun des mortels aurait sans doute paniqué en entendant les cris de la victime terrorisée, en découvrant cet homme sur elle, le visage de Jhordana en sang. « Je voyais sa bouche, ses mains qui la touchaient. Il fallait faire quelque chose. Pour moi, c’est inconcevable de ne rien faire. C’est soit vous l’affrontez, soit vous le regrettez toute votre vie. »

Elle n’hésite pas et se met à hurler sur l’agresseur. « Ça fait partie de mes traits de caractère », explique-t-elle simplement. L’homme surpris d’entendre qu’ils ne se trouvaient pas seuls dans le wagon se relève. Il pensait sans doute que l’ensemble des voyageurs avaient quitté la rame à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Juste de quoi permettre à la jeune femme de le repousser et de s’échapper. « Après ça, je l’ai mise derrière moi, raconte Marguerite. Il s’approchait de nous, il me disait que ça ne me regardait pas, que c’était une affaire entre elle et lui. »

Dans son dos, Jhordana pleure, traumatisée. La Brésilienne, en France depuis peu, lâche, entre deux sanglots, quelques mots en portugais. Elle a le visage en sang, l’homme lui a mordu la lèvre, l’a griffée et même frappée. Marguerite est intervenue à temps pour éviter qu’il ne la viole.

« On reculait et lui continuait de s’approcher, alors j’ai sorti mon téléphone et j’ai filmé. Je lui disais que j’allais appeler la police, je lui demandais de reculer. » Conscient que Marguerite ne lâchera rien, l’homme descend à la station suivante, à Villeneuve-le-Roi et prend la fuite en courant. « On avait tellement reculé qu’on s’est retrouvées au fond de la rame. »

Jhordana est en état de choc. La quadragénaire refuse qu’elle sorte à la station suivante. Elle la prend sous son aile et l’emmène dans l’établissement scolaire où elle travaille. Car lorsqu’elle ne sauve pas des jeunes femmes dans le RER, Marguerite occupe un poste de directrice d’un collège et d’un lycée du Val-de-Marne.

 

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2 Commentaires

  1. Donc dans le pays macronien, il va falloir s’armer pour prendre le métro, le RER et les trains de banlieue. Évidemment si on blesse un migrant, la justice nous tombera dessus donc il faut quand même faire très attention. Bravo la France d’aujourd’hui.