Les squattés se rebiffent ? Seront condamnés, c’est la justice en France !

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Où l’on voit bien que la justice est aux mains des gauchos, où l’on voit bien que le pays est aux mains des gauchos ! 

Les recours, les demandes, les lois… se multiplient mais rien ne bouge, rien ne change.

La loi est faite pour le squatteur contre le salaud de riche, traduisez le salaud qui a bossé toute sa vie pour avoir un bien et le laisser à ses enfants. 

Ils peuvent bien dire ce qu’ils veulent, trouver des arguties juridiques pour dire qu’il faut faire confiance à la loi et la respecter, la réalité est là. Les Français ne sont plus chez eux, à la lettre, à la merci de n’importe quel escroc qui cambriole, fait changer les serrures et se prétend chez lui car il a fait livrer une pizza à son nom chez vous.  Le monde d’UBU. Les monde des salauds et des haineux. Le monde de Macron. Le monde de Von der Leyen. Le monde de Mélenchon. 

Revolución ! 

Des propriétaires excédés par leurs squatteurs et les lenteurs de la justice se tournent vers des groupes organisés pour récupérer leurs biens

À Toulouse, la lutte acharnée des propriétaires contre les squatteurs

Une crise immobilière qui pousse à l’extrême

À Toulouse, la multiplication des occupations illégales de logements met les propriétaires à rude épreuve. Face à des squatteurs installés dans leurs biens, certains, à bout de patience, choisissent de contourner la loi en faisant appel à des groupes organisés pour reprendre possession de leurs propriétés, relate TF1 Info. Ces pratiques, bien que séduisantes pour des propriétaires désemparés, s’accompagnent de lourds risques juridiques, révélant les dysfonctionnements d’un système judiciaire souvent trop lent.

Le combat d’un propriétaire : l’exemple de Guy

Guy, habitant d’un village au sud de Toulouse, a vécu un véritable calvaire lorsque sa maison a été squattée. Après avoir épuisé toutes les voies légales – avocats, huissiers, gendarmes, services sociaux – il s’est heurté à des démarches interminables. « Chaque rendez-vous était une lueur d’espoir, vite éteinte par une nouvelle déception », raconte-t-il. Désespéré, il a fini par s’installer sur son propre terrain dans une caravane, usant de stratagèmes comme diffuser de la musique à plein volume pour déstabiliser l’occupante. Après six mois de lutte, il a récupéré son logement, mais dans un état catastrophique, envahi de déchets et de traces d’insalubrité.

Des solutions illégales pour un problème persistant

Face à l’inaction perçue du système, certains propriétaires se tournent vers des intervenants prêts à agir en dehors du cadre légal. Ces « prestataires », souvent issus du milieu de la sécurité, proposent des méthodes expéditives : forcer l’entrée en l’absence des squatteurs, changer les serrures ou user d’intimidation. « On agit vite et discrètement, en imitant leurs méthodes », confie l’un d’eux, qui facture entre 5 000 et 10 000 euros selon la complexité de l’intervention.

Ces pratiques, bien que tentantes, exposent les propriétaires à des sanctions sévères : jusqu’à trois ans de prison et 30 000 euros d’amende pour violation de domicile. Malgré la loi anti-squat de 2023, censée faciliter les expulsions, les démarches judiciaires restent longues et coûteuses, laissant les propriétaires dans une impasse.

Un système judiciaire débordé

La loi anti-squat, promulguée en 2023, promettait des expulsions plus rapides. Pourtant, dans la réalité, les propriétaires doivent encore affronter des mois d’attente, des frais juridiques élevés et des squatteurs parfois protégés par des failles légales. Cette lenteur alimente la frustration et pousse certains à envisager des solutions extrêmes, malgré les conséquences.

Une problématique à double tranchant

Si les squatteurs sont souvent perçus à juste raison comme des opportunistes profitant des biens d’autrui, les propriétaires, eux, se retrouvent dans une situation d’injustice criante. Leur désespoir face à l’occupation illégale de leur propriété met en lumière un problème systémique : un manque de solutions rapides et efficaces pour protéger leurs droits. Cependant, le recours à des méthodes illégales, bien que motivé par la frustration, ne fait qu’aggraver la situation, exposant toutes les parties à des risques judiciaires.

Vers une réforme nécessaire ?

Pour mettre fin à ce cercle vicieux, des experts appellent à une simplification des procédures d’expulsion et à un renforcement des moyens judiciaires. En attendant, à Toulouse, la lutte des propriétaires contre les squatteurs reste un combat semé d’embûches, où la tentation de l’illégalité guette à chaque instant.

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8 Commentaires

  1. Ce sont les Borloo, les Duflot et Cie avec leur loi Dalo qui sont responsables de tous ces drames. Eux ne risquent rien et dans tous les cas le problème serait vite réglé.

  2. J’aime bien l’expression violation de domicile alors que celui-ci n’appartient pas au squatter. Cette Justice est pourrie jusqu’à l’os.

  3. Quand un squatter prend la maison secondaire d’un despute ou d’un sémenteur, il se passe quoi….. il se passe que les policiers réagissent très très vite pour déloger les squatters, et ça traine pas. Mais eux ils ont tous les droits contrairement aux citoyens ordinaire qui aux yeux de ces politiques, ne sont rien.

  4. Comme disait Simon de Montfort : tuez-les tous dieu reconnaitra les siens.
    j’ai été tenté de remplacer dieu par Allah, mais ce fut une erreur car les muz ne sont pas forcément dans dans ce business.

  5. Ah si, ça marche la loi anti-squat et les interventions rapides… A condition que le squatté soit un juge, un député, un artiste connu…