Vladimir méprise les faibles qui jouent les matamores comme Macron et exècre les faux-culs pleurnichards à la Zelensky. Il dirige un peuple patriote et une armée aguerrie. C’est un vrai chef. Ce qui nous manque le plus en France. Où nos médias mainstream s’obstinent à rabâcher depuis 44 mois que la défaite de la Russie est proche.
Macronescu doit s’imaginer que la chasse à l’ours est un sport pour paltoquets.
La rotation accélérée des généraux de cour, présentés comme des brillants stratèges, aurait de quoi préoccuper si on prenait leurs pantomimes au sérieux. On ne compte plus le nombre d’officiers supérieurs promus sur une lubie de l’immature, et tombant presque aussitôt en disgrâce par un caprice de Brichel. Vexée que ces soudards ne la matent pas comme un homme normal reluque une femme désirable.
Ces allées-venues au sein de l’État-Major déconcertent. Le généralissime Fabien Mandon, sous les ordres d’un marmouset qui n’a pas fait son service militaire, affirme que l’armée française sera prête à faire la guerre aux Russes… Dans trois ou quatre ans. De quoi mériter sa sixième étoile. On peut espérer que d’ici là, le foutriquet aura dégagé.
Le brave général s’en est allé, tel un vulgaire Zygomyr, quémander des sous à l’Assemblée antinationale. Téléguidé par les services secrets des Boches qui lui ont fait gober des œufs d’autruche… La Russie serait prête à entrer en conflit militaire direct avec l’OTAN. En frappant en premier le maillon faible, le royaume de la fée Fripounette. La nullité des services secrets français est consternante.
Cette culotte de peau décorée comme un arbre de Noël a affolé les députains en leur décrivant une Europe faible envahie par des Cosaques armés jusqu’aux dents. En taisant que, dans tous les pays de l’Eurocrature, le danger vient moins de l’extérieur que de l’intérieur. Avec des millions de coraniques qui peuvent virer djihadistes du jour au lendemain. Et dont certains collectionnent déjà des armes de guerre dans les caves des cités interdites à la police.
Vlad assume son rôle de chef des opérations nucléaires
Jusqu’à présent, il avait laissé son fidèle second Medvedev s’exprimer à sa place. Par souci de ne pas gâcher les chances de paix. Mais puisque les rustres de l’Ukraine poussent les reîtres de l’OTAN à taper fort, Vlad a fait savoir qu’il ne retiendra plus ses coups et montre ses muscles.
On l’a vu, ce mercredi en train de superviser à distance les exercices des forces nucléaires stratégiques russes. Ce déploiement a commencé par des tirs d’essai du missile balistique intercontinental RS-24 Iars depuis le cosmodrome de Plessetsk, près du cercle polaire arctique, à destination d’un terrain d’entraînement au Kamtchatka, en Extrême-Orient russe.
Le Kremlin est assez discret sur les spécifications de cet engin. Néanmoins, les services d’espionnage des USA ont établi une fiche signalétique inquiétante. D’une portée de 12.000 kilomètres, il vole à mach 30 soit 36.750 Kph, ce qui signifie qu’il peut atteindre sa cible la plus éloignée en 20 minutes et y délivrer plusieurs têtes nucléaires.
Il est conçu pour transporter des ogives porteuses de véhicules de rentrée multiples et indépendants pouvant viser plusieurs objectifs simultanés. Chaque charge a une capacité équivalente à 50 fois Hiroshima. C’est un peu moins que le RS-28 Sarmat dit Satan qui pourrait avec ses 10 têtes nucléaires raser la moitié de la France en une seule frappe. Mais c’est quand même du lourd.
Le guidage du Iars est assuré par un système inertiel augmenté de la navigation par satellite Glonass, contribuant à une précision remarquable. Il peut être lancé depuis des silos de missiles mais aussi à partir de lanceurs mobiles sur route ou sur rail, offrant une flexibilité opérationnelle exceptionnelle.
Un autre missile balistique le R-29 RMU Sineva, d’une portée pouvant atteindre 11.500 km, a été lancé depuis un sous-marin en mer de Barents, près des lignes de l’OTAN. Porteur de 4 ogives nucléaires MIRV à têtes multiples, il se singularise par la précision de ses frappes.
À côté de ces vecteurs XXL, les autres armes testées par Vlad paraissaient presque des jouets. Comme ces missiles de croisière tirés par des bombardiers Tu-95MS. « Tous les objectifs des exercices ont été atteints » a précisé Poutine.
La France a fait savoir qu’elle pourrait opposer à l’arsenal russe ses M51volant à Mach 25, portée 8.000 km, avec 6 ogives. Au cas où Fripounette serait assez taré pour lancer la première frappe, poussé par les Boches qui le mettent sous pression, repérez près de chez vous les caves, les grottes et les souterrains où vous protéger de la chaleur et du souffle des représailles. Et stockez des cachets d’iodure de potassium contre les radiations. On a continué à vivre à Hiroshima après… Et au Fenua, on s’est pris 193 bombes entre 1966 et 1996, dont 46 en plein air, et on est toujours là.
L’Allemagne se pose encore une fois en bastion de l’Europe pour la protéger des Russes
L’histoire ne bégaie pas. Elle éructe d’énormes rots aigres. Le 22 juin 1941, soit moins de deux ans après avoir signé un pacte de non-agression avec Staline, les Boches attaquaient l’URSS. Quand on relit ou réentend les documents d’époque orchestrés par Herr Doktor Goebbels, on a l’impression que Pustula von la Hyène en a fait un copier-coller !
Pour légitimer l’opération Barbarossa, les nazis expliquaient que les Soviets s’apprêtaient à les agresser et donc qu’il valait mieux frapper en premier. Ce faisant, ils protégeaient du péril rouge, le reste de l’Europe sous leur botte ! C’est exactement le discours belliciste actuel de l’UE aux mains de ces incorrigibles Boches qui n’apprennent jamais rien de l’histoire ni de leurs défaites.
Aujourd’hui, le chancelier Hitmerz et la hyène Pustula se partagent le boulot. À Hitmerz le glaive, à Pustula le bouclier. Alors que les traités de 1945 imposaient à la Germanie des restrictions sur le plan militaire, les Huns ont habilement dissimulé la croissance exponentielle de leurs dépenses militaires sous des fonds spéciaux et des entités de recherche, et élargi le recrutement de la soldatesque afin de combattre le chômage. Des propos déjà entendu en 1935.
L’Ukraine est l’alibi idéal des Fridolins actuels. Pour peu, ils l’auraient inventée. La barrique de bière Merkel a bien reconnu publiquement que les protocoles de Minsk censés ramener la paix au Donbass n’étaient que des chiffons de papier pour donner aux Ukronazis le temps de se réarmer. Avec en guest star Hollandouille, dans le rôle de Daladier.
Tandis que les arsenaux de son pays se remplissent d’avions, de tanks et de missiles, Pustula propose de créer un mur de drones. Dans le cadre de la future armée européenne. Puisque Macrounette a promis de lui refiler nos bombinettes.
Les Polacks et les Baltiques se plaignent d’incursions de drones et de missiles russes. Ça tombe bien pour justifier des ripostes. Mais les rares fois où des observateurs neutres ont tâté du terrain, ce fut pour constater que ces « agressions » étaient soit des erreurs de tir des Ukrainiens, soit des provocations de leur part. Le pygmée turco-mongol nous a habitués à ce genre de mises en scène de Halloween avec des faux massacres où les morts se relèvent tout seuls quand il ne s’agit pas de cadavres déterrés dans un cimetière.
Début septembre, Pustula réclamait un « mur de drones européens de défense, développé, déployé, entretenu conjointement et réactif en temps réel». Le 26 septembre, les ministres de la Défense des pays de l’est de l’UE l’ont invitée à revoir sa copie. Entre le Danemark, l’Estonie, la Finlande, la Lettonie, la Lituanie et la Pologne, qui va raquer et quel führer commandera un système qui existe déjà partiellement ?
Tous devraient casquer. Des milliers de drones en vol 24/24, ça va faire cher malgré les subventions de l’UE. Et l’idée de placer leurs forces sous la tutelle des Boches ne suscite pas l’enthousiasme des chefs des États concernés. Qui ne sont pas trop motivés à se laisser entraîner dans une guerre contre les Russes pour servir la vengeance des Teutons. L’espoir que l’Eurocrature se délite est peut-être dans ces fractures.
Christian Navis
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Les généraux ont pour particularité de faire grimper la mortalité de la troupe en temps de guerre et de provoquer des conflits en temps de paix. Celui-ci n’échappe pas à la règle.
POUTINE devrait absolument re-ouvrir le site d’expérimentation de la « Novaya Zemlya »…et y conduire de très puissants tests thermonucléaires atmosphériques…histoire de ramener à la raison les fous dangereux de l’OTAN et de la « Pustulette » de l’U.E.!…