Et si ce nouvel évènement du genre CE-N-EST-JA-MAIS-AR-RI-VÉ-EN-FRAN-CE n’était qu’une prise d’otage ? Des bijoux otages d’un homme richissime un peu dérangé ou d’un autre État voire d’une organisation étrangère voulant imposer une épreuve de force à la France, si faible en raison de sa présidence actuelle…
Le coût, pour le trésor de notre Histoire de France, de ce vol dimanche au coeur du Musée du Louvre est à comparer à l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, autre évènement de l’ère macronienne qui, auparavant, n‘était« JA-MAIS-AR-RI-VÉ » en France ! Sans parler du coût financier, lui littéralement… inestimable !
Si, pour Notre-Dame, nos compagnons du devoir et tous ceux qui les ont dirigés et aidés ont pu redonner vie à l’édifice du coeur de Paris, peut-être en sera-t-il de même pour les bijoux de Reines ou Impératrices de notre Histoire de France ?
C’est peu envisageable puisque l’hypothèse la plus probable est la destruction de ces oeuvres pour en récupérer chacun des bijoux et fondre leur or… Mais il est aussi possible que cela n’aille pas jusqu’à la destruction de ces oeuvres…
Certes mon espoir est un peu fou mais possible puisqu’il repose sur le fait que ce vol puisse être, en fait, le résultat d’une commande d’un homme immensément riche souhaitant avoir pour lui seul ces trésors (ce qui s’est déjà vu pour des oeuvres de la peinture française voire mondiale ) afin de pouvoir regarder voire caresser de ses seules mains, en son domaine à l’abri, en une propriété quelque part… peut-être dans Paris même ou plutôt à l’autre bout de la planète, de tels joyaux historiques portés et donc touchés par les Reines Marie-Amélie ou Hortense ou encore Marie-Louise voire par l’Impératrice Eugénie (1) !
Pour un cerveau quelque peu égoïste et plus que dérangé ou encore complètement hors de raison, disposer de moyens financiers suffisants pour « engager » -pour un prix nettement moindre que le coût de l’objet volé mais largement suffisant pour les « O.S. gangsters » qui se sont chargés du boulot de « récupération » de ces oeuvres uniques au monde convoitées par ce commanditaire !
Il est certes beaucoup plus probable que ce soit les responsables d’un pays peu scrupuleux sur la pratique des bonnes manières entre États, qui aient réalisé, par cet enlèvement, une prise d’otage ! Soit contre une forte rançon que devra verser la France pour récupérer ces « bijoux-otages », soit pour contraindre les responsables de notre pays à adopter telle attitude sur tel problème que ce pays rencontre avec la France.
L’avantage, que ce soit pour l’une ou l’autre de ces hypothèses est que les « kidnappeurs » n’auraient aucun intérêt à endommager et encore moins à détruire ces bijoux ! D’où mon espoir en cette hypothèse !
Après ce vol de haut niveau, certains n’hésitent pas à rappeler qu’un Président de la République avait pris une curieuse décision quant à la sécurité du Louvre : un certain François Mitterrand ! C’est lui qui, lors de sa présidence de la République, a fait retirer la sécurité des musées parisiens à ceux qui l’assuraient depuis toujours et pleinement ! Et ce n’était pas de simples surveillants comme cela semble être le cas actuellement puisqu’il s’agissait tout simplement des membres d’un corps d’élite ! Celui de la… Garde Républicaine ! Il est certain que, face à ses membres, les truands auraient certainement évité un tel vol ! Ce corps d’élite aurait eu un effet certes républicain mais surtout un effet répulsif pour des voleurs même aussi gonflés que ceux de dimanche ! Ils auraient certainement hésité à affronter ce régiment ! Ne serait-il pas judicieux de revenir sur la décision prise par l’ancien président socialiste ?
Jacques MARTINEZ, journaliste,
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
-(1) Sous le titre :
« Diadèmes, colliers, broches… quels sont les 8 bijoux volés au musée du Louvre ? »
TF1 INFO précise que…
« Huit bijoux « d’une valeur patrimoniale inestimable » ont été dérobés, dimanche 19 octobre, dans deux vitrines de la galerie d’Apollon au musée du Louvre.
Le ministère de la Culture a dévoilé dans un communiqué la nature du butin emporté par un « commando » recherché de quatre malfaiteurs. »
(…) « Huit bijoux « d’une valeur patrimoniale inestimable », dont le diadème de l’impératrice Eugénie et deux colliers, ont été volés (…) Deux vitrines de haute sécurité ont été prises pour cible (…) « dans la galerie d’Apollon qui abrite la collection royale de gemmes et les diamants de la Couronne », annonce le ministère de la Culture.
« Parmi les 8 objets dérobés :
-Un diadème de la parure de la reine Marie-Amélie et de la reine Hortense,
-Un collier de la parure de saphirs de la reine Marie-Amélie et de la reine Hortense,
-Une boucle d’oreille, d’une paire de la parure de saphirs de la reine Marie-Amélie et de la reine Hortense,
-Un collier en émeraudes de la parure de Marie-Louise
-Une paire de boucles d’oreilles en émeraudes de la parure de Marie-Louise,
-Une broche dite broche reliquaire,
-Un diadème de l’impératrice Eugénie,
-Un grand nœud de corsage de l’impératrice Eugénie (broche) »
La Reine Marie-Louise d’Orléans, dite « Mademoiselle d’Orléans » fut une princesse française, née en 1662 à …Paris et décédée en 1689 à Madrid. Elle fut Reine à plusieurs titres… d’Espagne, de Sicile et de Naples ainsi que duchesse de Bourgogne, de Milan, de Brabant, de Luxembourg et de Limbourg mais aussi comtesse de Flandre et de Hainaut par son mariage avec le dernier roi issu de la branche espagnole de la maison de Habsbourg, Charles II.
La Reine Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, née en 1782 dans le royaume de Naples et décédée en 1866 au Royaume-Uni, est la dernière Reine des Français en épousant Louis-Philippe Ier.
La Reine Hortense de Beauharnais, née en 1783 à …Paris et décédée en 1837 au château d’Arenenberg en Suisse. Elle fut Reine de Hollande (1806-1810), duchesse de Saint-Leu-la-Forêt en 1814. Fille de Joséphine de Beauharnais, elle était membre de la famille impériale française. Elle est la mère de l’empereur Napoléon III.
L’Impératrice Eugénie de Montijo (identité complète : María Eugenia Ignacia Agustina de Palafox y Kirkpatrick) née le 5 mai 1826 à Grenade (Espagne) et décédée le 11 juillet 1920 à Madrid. Elle fut l’épouse de Napoléon III, empereur des Français. Et donc impératrice des Français de 1853 à 1870.
(source : wikipedia)
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Bonjour,
Au risque de paraître cuistre, la photo d’illustration et la référence du texte ne sont pas les bonnes : le bijou volé appartenait à Marie-Louise d’Autriche, deuxième épouse de Napoléon, et non à Marie Louise d’Orléans.
D’ailleurs, ce n’est pas celle de la bonne Marie-Louise d’Orléans ….
Tout ce que miterrand à touché s’est transformé en merde, ses décisions de l’époque portent ses fruits pourris aujourd’hui. Dans le cas qui nous intéresse, il n’avait pas besoin de la garde republicaine, on ne laisse pas des objets aussi rares et précieux dans une pièce avec une fenêtre , d’autant que celle-ci n’était même pas protégée.
Sous Macron on emprisonne les présidents de la République (ceux de droite), on honore les avocats socialistes pour non services rendus à la patrie, on entrepose des joyaux inestimables en tête de gondole d’un local sans contrôle.
Et oui encore la mitte, le diable ce type, initiateur du grand bordel préparé par le joueur d’accordéon, qui Il y a 50 ans, partageait son petit déjeuner avec les éboueurs de l’avenue de Marigny pour faire ‘peuple’, invitait une autre figure du diable à Neauphle-le-Château…