Pas de changement de gouvernance ? La note de la France baisse encore…

Même les marches le disent : Macron est un mauvais président et la France va mal, très mal..

Que vont-ils encore inventer, que vont-ils encore nous imposer sous prétexte de situation financière catastrophique ? Encore plus catastrophique qu’hier et moins que demain où les fonds d’investissement risquent de se débarrasser des titres français qui valent de moins en moins. Nous ressemblons de plus en plus à la Grèce sous Tsipras… 

La faute à Macron certes, c’est voulu il a été mis là exprès. Mais surtout la faute aux députés escrocs qui l’ont protégé par leur vote de mouton. Ils avaient la dernière occasion de nous débarrasser du monstre de l’Elysée… Raté ! 

Peut-on encore espérer un miracle avant la vente aux enchères de nos bijoux de famille, de nos châteaux, du peu d’industrie qui nous reste, de la Joconde; de nos îles… ? 

Christine Tasin

 

 

S&P a abaissé la note de la France à A+ en raison d’un climat politique jugé instable et d’un déficit public mal maîtrisé. L’agence doute de la capacité du gouvernement à tenir ses promesses de rigueur. Si les marchés ont pour l’instant peu réagi, cet avertissement pourrait peser sur le financement du pays.

Le 17 octobre, l’agence de notation Standard & Poor’s (S&P) a annoncé une dégradation de la note souveraine de laFrance, passant de AA− à A+, soit un recul d’un cran, désormais équivalente à celle de pays comme l’Espagne, le Portugal ou la Slovaquie.

Cette décision, attendue mais anticipée d’un mois, s’explique selon l’agence par l’instabilité politique croissante, jugée sans précédent depuis la naissance de la Ve République. L’abaissement de la note était initialement prévu pour le 28 novembre, mais S&P dit avoir été contrainte de l’annoncer plus tôt en raison des récentes motions de censure, du blocage parlementaire et de l’incapacité à engager des réformes structurelles comme celle des retraites, suspendue par le nouveau gouvernement.

Un mauvais signal pour les investissements

Pour l’agence, la perspective d’un retour sous la barre des 3 % de déficit public d’ici 2029 apparaît de plus en plus irréaliste, notamment dans un contexte de forte fragmentation politique, avec six Premiers ministres en trois ans. S&P estime que le déficit, annoncé à 5,4 % du PIB en 2025 par Bercy, pourrait difficilement redescendre au niveau visé de 4,7 % en 2026, prévoyant plutôt 5,3 %, et une dette publique atteignant 121 % du PIB d’ici 2028 (contre 112 % fin 2024). Ces prévisions pèsent sur la crédibilité de l’exécutif.

Autre conséquence de cette instabilité : les ménages épargnent davantage, avec un taux record de 18,6 %, et les entreprises freinent leurs investissements, redoutant une fiscalité plus lourde. S&P revoit ainsi ses prévisions de croissance à la baisse :

0,7 % pour cette année et 1 % pour 2026.

Le ministre de l’Économie, Roland Lescure, a pris acte de la décision tout en rappelant l’engagement du gouvernement à ramener le déficit sous les 3 % d’ici 2029. Mais l’agence doute fortement de cette capacité, surtout à l’approche de l’élection présidentielle de 2027. Pour les marchés, l’impact reste modéré à court terme : si le « spread » avec l’Allemagne est monté à 0,9 % après les dernières turbulences, il s’est légèrement détendu autour de 0,8 %. Le taux d’emprunt à 10 ans de la France est même redescendu à 3,3 %, son plus bas niveau en deux mois.

Cependant, cet abaissement de la note n’est pas sans conséquence : certains fonds d’investissement, contraints par leur règlement interne à ne conserver que des titres notés AA ou plus, pourraient être forcés de se délester d’obligations françaises, ce qui ferait peser une pression supplémentaire sur le coût de la dette.

RT France

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6 Commentaires

  1. C’était prévu, rien de nouveau. Sauf que les politicards vont s’en servir pour ponctionner à mort les Français. Évidemment il ne toucheront pas alors prébendes. On n’est pas obligé de subir ça sans rien dire.

  2. Même les faiseurs de rois sont obligés de reconnaître le désastre français qu’ils ont organisé en propulsant au pouvoir cette clique de salauds et leur petites mains de bons à rien gamellards.
    N’est-ce pas M Minc: ‘Il est le pire président de la Ve !’.
    A+