En moins de 50 pages, Nicolas Vidal a scanné la triste époque que nous vivons

 

Analyse au vitriol… qu’il fallait faire.  Rien n’échappe à l’oeil acéré et ô combien averti de Nicolas. A l’heure où il faut parfois à certains des articles de 15 pages pour simplement présenter leurs humeurs du jour, La Tempête qui Vient est rafraichissante, dynamisante, rassurante… et surtout elle redonne confiance. Freud l’avait bien compris, dire c’est déjà guérir… Non, nous ne sommes pas idiots, non on n’est pas foutus, oui ils abusent de nous depuis des lustres et ajoutent chaque jour des feuilles au mille-feuille de nos malheurs.

Et le bougre, avec l’impétuosité, la fougue devrais-je dire d’en chaîner les phrases chocs, les constats, les analyses … 

Quelques bonnes phrases à retenir et à ré-utiliser 

-Les Républicains sont les porteurs de valise de la Macronie

-Oui, le seuil d’alerte est dépassé 

-Le reçul de notre démocratie n’a jamais été aussi tragique depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir

-Ils ont peur de la haine qui devient incontrôlable 

Un grand nombre de paragraphes, de pages valent le détour et peuvent aider à comprendre ce qui s’est passé, ce qui se passe. 

Par exemple :

L’oligarchie déteste le peuple.

Nous sommes sous le joug d’une oligarchie qui ne supporte plus la contradiction et la liberté de pensée. elle y préfère la mollesse et l’apathie du consommateur qui sera, dans quelque temps, une véritable bête de somme vouée à l’esclavage économique contemporain d’un système politique et économique en totale putréfaction.

Je vous conseille, entre autres, les pages au vitriol sur les LR et sur le RN... Vidal n’est pas méchant mais il voit clair et il appelle un chat un chat. Ça dépote ! Et il en veut terriblement aux partis dits patriote de ne pas se battre pour le Frexit (à part Philippot – mais Philippot soutient les Palestiniens contre les juifs… Nobody is perfect … (citation célèbre tirée du film de Billy Wilders -1959-  Certains l’aiment chaud avec la grande Marilyn Monroe.)

Le rusé Vidal de commencer son ouvrage par une citation mise en exergue au tout début. Elle vaut son pesant de cacahuètes…; à jeter à la tête d’Edouard Philippe qui, fier de ce qu’il pense, le dit et prétend se présenter au 2027…

C’est une pépite,  non ? La preuve par 9. 

Et je ne résiste pas au plaisir de vous citer un autre passage gouleyant à souhait et, surtout, porteur de prémisses de joies à venir. Non, pardon,  de LA JOIE à venir. 

[…] Dans tous les coins de la France où je me rends, jusqu’à mon village héraultais, je sens monter une colère incandescente qui pourrait rapidement se transformer en haine.Des millions de Français sont en train de prendre conscience de l’ampleur de la trahison. Ils découvrent avec stupeur la profondeur abyssale de l’extorsion de fonds dans nos financespubliques que nous abondons à la sueur de notre front depuis tant d’années.

Le seuil d’alerte est à présent dépassé alors que la caste politique continue de distribuer nos biffetons depuis les guichets d’une République maquerelle à une oligarchie qui festoie, qui s’engraisse et qui métisse son peuple. […]

A commander sur Amazon, 6,99 euros.

Screenshot

 110 total views,  110 views today

Répondre à Argo Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


3 Commentaires

  1. Et si c’était vrai ? « Quand des millions de personnes se rendront compte que l’on ne peut plus vivre comme par le passé, la Révolution devient logique et inévitable » suivant récit nostalgique « les corps indécents ». Vivre comme le passé est devenu impossible puisque c’est la survie qui prévaut et l’enfer au quotidien avec une insécurité super-grandissante. L’inflation précipite un grand nombre d’entre nous dans la précarité. Suffit d’une étincelle pour mettre le feu (attentat par exemple) et faire descendre les gens en masse dans la rue.

  2. Je ne veux pas commenter sur un raccourci mais Louis XVI a fini tristement, essentiellement pour des raisons économiques et discriminatoires. S’ils ne veulent pas finir de cette façon, ces Olibrius devraient changer de politique. Il est encore temps. L’immigration par exemple, l’AME, les gaspillages.