Macron sous le scalpel : l’Élysée menace France-Soir pour étouffer la vérité sur sa santé. France-Soir persévère !
Dans une France en pleine crise démocratique, où la défiance envers les élites atteint des sommets et où Emmanuel Macron semble de plus en plus isolé, abandonné par une grande partie de ses proches politiques, la question de son état de santé physique et mental émerge comme un enjeu majeur. Le président lui-même a publiquement évoqué une « maladie » en 2022, décrivant un épuisement profond qui interroge sur sa capacité à gouverner dans un contexte de tensions géopolitiques explosives.
Des voix s’élèvent pour dénoncer la maltraitance institutionnelle infligée aux Français depuis des années, un système qui, selon certains analystes, aurait aussi rendu « malades » les citoyens par ses politiques oppressives et l’état d’impasse démocratique dans laquelle la France se trouve aujourd’hui avec 4 premiers ministres en deux ans. Et les anciens militaires de l’association Place d’Armes viennent même de l’adjurer « de quitter ses fonctions au plus vite ».
C’est dans cet esprit d’intérêt public et de transparence promise par le chef de l’État lors de ses campagnes électorales – où il jurait « de la transparence sur tout ce qui peut avoir de l’importance » concernant sa santé – que France-Soir s’est lancé dans une enquête rigoureuse et déterminée.
Notre objectif : éclairer les Français sur l’état de santé de leur dirigeant, non par voyeurisme, mais par devoir journalistique et civique.
Depuis décembre 2020, un seul bulletin de santé a été publié par le Dr Jean-Christophe Perrochon, médecin-chef de la présidence délégué par le ministère des Armées. Aucune mise à jour depuis, malgré les engagements répétés de Macron. Des bulletins ont-ils été établis en interne, mais jamais rendus publics ? Qui ou quoi les bloque ? Ces questions, légitimes dans un pays démocratique, hantent l’opinion publique.
La recherche du Dr Perrochon : une enquête qui porte ses fruits
France-Soir n’a pas ménagé ses efforts pour retrouver le Dr Perrochon, figure discrète mais centrale dans le suivi médical du président. Notre équipe l’a localisé et sommé, par voie d’huissier, d’établir et de publier un bulletin de santé actualisé, afin d’honorer la « double promesse électorale » de transparence de Macron.
Malgré cette sommation, silence radio. Cette opacité n’est pas anodine : elle soulève des soupçons sur d’éventuels obstacles internes à la présidence, peut-être motivés par la peur de révélations embarrassantes sur l’état physique ou, plus crucial encore, mental du président.

Pour recontextualiser cette affaire, France-Soir a publié une série d’articles approfondis sur les relations complexes entre les puissants et leurs médecins (1). Ces enquêtes explorent les secrets partagés dans l’ombre du pouvoir et le dilemme entre secret médical et intérêt général.
En 2004, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné la France pour avoir censuré la publication du livre du Dr Claude Gubler, Le Grand Secret, lequel révélait aux citoyens français le cancer caché de François Mitterrand pendant deux septennats. Selon la CEDH l’intérêt public prime sur le secret médical quand il s’agit de la santé d’un chef d’État.
Ces cas historiques rappellent que la santé des dirigeants n’est pas une affaire privée quand elle impacte des millions de vies. Aux États-Unis, le débat sur l’état mental de Joe Biden a explosé lorsque son médecin a snobé une audition sénatoriale, jetant un voile de suspicion sur les bulletins officiels.
En France, l’enjeu est encore plus pressant : une récente étude scientifique sur la santé des dirigeants d’États nucléaires met en lumière les pressions psychologiques extrêmes qu’ils subissent. Dans ce contexte, les déclarations de Macron sur la « mutualisation » de l’arme nucléaire – rejetée par 58 % des Français selon un sondage récent – interrogent son état d’esprit. Ajoutez à cela la peur d’une escalade guerrière en Ukraine, avec l’envoi massif d’armes françaises et les accusations incessantes contre la Russie. La santé mentale d’un leader nucléaire n’est pas un tabou : c’est une question de sécurité nationale.
L’affaire Perrochon : d’une enquête journalistique à un scandale d’état
Face au mutisme du Dr Perrochon pourtant mis en demeure de communiquer et/ ou d’établir des bulletins de santé du Président de la République, France-Soir n’a pas lâché prise et a saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) pour vérifier si ces bulletins relèvent bien des documents administratifs communicables.
C’est là que l’enquête a pris un tour inattendu et triomphal. Le 12 juin 2025, à notre grande surprise, nous avons reçu une réponse officielle du secrétaire général de l’Élysée, M. Patrice Faure, directeur de cabinet du président.
Dans une lettre en recommandé, il nous intime de cesser tout contact avec le Dr Perrochon, sous peine de poursuites pour violation du secret médical. Pire : il menace explicitement notre avocat, Me Diane Protat : « Vos clients demandent, ni plus ni moins, à un médecin de violer le secret professionnel auquel il est tenu vis-à-vis de l’un de ses patients », écrit-il, qualifiant notre démarche d’ « étonnante ».

Réponse officielle de M. Patrice Faure, directeur de cabinet du président
Cette décision administrative unilatérale, qui refuse catégoriquement l’accès à tout bulletin et impose une censure préalable, est une admission indirecte : l’opacité serait une politique délibérée de l’Élysée.
Cette réponse, aussi choquante qu’incroyable, est une avancée pour les lecteurs de France-Soir. Elle confirme que notre enquête dérange au plus haut niveau et force l’administration à sortir de l’ombre. Pour la première fois, un haut responsable de la présidence admet que des bulletins pourraient exister mais ne sont pas publiés, et va jusqu’à menacer un média libre et son avocat pour protéger ce mur de silence. C’est un scandale en soi : un acte administratif qui intimide la presse, contraire à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et à l’article 10 de la CEDH.
France-Soir a répliqué le 4 juillet 2025 par une lettre ferme de Me Diane Protat, rappelant la jurisprudence CEDH sur Le Grand Secret et les engagements de Macron sur la « transparence médicale ». « France-Soir inscrit son action dans le cadre de la liberté de la presse et de son devoir d’informer le public », peut-on lire,
soulignant que le secret médical ne saurait primer sur l’intérêt général quand il s’agit de la santé d’un dirigeant.
Face à cette opacité persistante, qui contredit les promesses électorales et les pratiques de transparence des prédécesseurs de Macron, France-Soir est passé à l’offensive juridique. Le 8 août 2025, le Tribunal administratif de Paris a ainsi été saisi d’un recours pour excès de pouvoir contre la décision de M. Faure.
Représentés par Me Protat, Xavier Azalbert (directeur de la rédaction) et la société Shopper Union France (éditrice de France-Soir) contestent cette mesure comme une atteinte illégale à la liberté d’expression et à la liberté d’information.
Une transparence fondamentale et une question prioritaire de constitutionnalité
Alors que France-Soir prétend que cette décision unilatérale du directeur de cabinet d’Emmanuel Macron relève de l’organisation administrative de l’Élysée (et non d’un acte de gouvernement immunisé) et qu’elle cause un préjudice direct aux citoyens en les privant d’une information essentielle au contrôle démocratique, les services du Premier ministre, curieusement répliquent pour le compte du Président et affirment dans leur argumentaire adressé au tribunal administratif que :
Face à cet aveu que les Français n’auront jamais accès aux informations importantes sur la santé du Président de la République, France-Soir persévère en déposant une question prioritaire de constitutionnalité :
« L’article L. 1110-4 du Code de la santé publique, en ce qu’il consacre le secret médical sans prévoir d’exception pour la communication des informations relatives à l’état de santé du Président de la République nécessaires à l’exercice du droit de la société à demander des comptes à tout agent public de son administration, garanti par l’article 15 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, et à l’application de la procédure d’empêchement prévue par l’article 7 de la Constitution, méconnaît-il les droits et libertés garantis par la Constitution, notamment le principe de transparence et l’exigence de continuité de l’État ? »
Le Tribunal administratif de Paris doit, selon la loi, examiner cette question cruciale sans délai. En effet, l’absence d’exception dans l’article L. 1110-4 du CSP visant le Président de la République, paralyse les mécanismes constitutionnels de gestion des crises institutionnelles et notamment la mise en œuvre de la procédure d’empêchement prévu par l’article 7 de la Constitution et limite anormalement le droit des citoyens à être informés de l’état de santé de leur dirigeant en violation des dispositions de l’article 15 de la DDHC.
Alors qu’une crise démocratique sans précédent est en cours – avec un président esseulé, acculé par les scandales, et de plus en plus de voix appelant à sa démission –, la transparence totale sur son état de santé, physique et mental, est impérative.
Les pressions géopolitiques actuelles amplifient l’urgence : envoi d’armes en Ukraine, mutualisation nucléaire malgré l’opposition populaire, dépenses colossales pour un « plan d’armement européen » illusoire, comme l’illustre le Dr Olivier Frot, saint-cyrien et docteur en droit. Un dirigeant affaibli mentalement pourrait-il prendre des décisions rationnelles face à un risque d’escalade avec la Russie, qualifiée en permanence d’ « ennemie de la nation » ?
France-Soir continue son combat pour la liberté de la Presse et pose à la Justice et à ses lecteurs la question fondamentale : doit-on modifier la loi sur le secret médical pour prévoir une exception claire pour les personnalités à la tête de l’État ? Pas seulement pour Macron, mais pour tous les futurs présidents, afin d’imposer une transparence absolue sur ce sujet vital.
Les Français ont le droit de savoir si leur leader est apte à exercer le pouvoir suprême, surtout dans un monde au bord du gouffre. La santé des puissants n’est pas un privilège : c’est une responsabilité collective. France-Soir reste vigilant, pour que la vérité l’emporte sur le silence.
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-« Le président lui-même a publiquement évoqué une « maladie » en 2022, décrivant un épuisement profond qui interroge sur sa capacité à gouverner dans un contexte de tensions géopolitiques explosives. »-
Mais coco à ta mémère ; imagine ce que les Français subissent et donc leur état à cause de toi et ta politique dictatoriale !
Il a des « SENTIMENTS » Riquet à la houppe !
Ben alors… « travers la frence que tu nous fais », qu’on échange NOS SENTIMENTS !
-« Depuis décembre 2020, un seul bulletin de santé a été publié par le Dr Jean-Christophe Perrochon, médecin-chef de la présidence »-
Tiens ! Tiens ! Depuis 2020 ! juste quand Misters COVID et Vaccin ARNm s’invitaient au « Banquet Gaulois » !
Pas besoin d’être médecin pour voir qu’il est psychopathe et qu’il perd les pédales (sic).
Je ne suis pas médecin, mais je peux déjà affirmer que macronar n’a pas tous ses fagots à l’abri ni la lumière à tous les étages. Vu comment il traite les français, son peuple, qu’il haï et qu’il aime faire souffrir. Vu qu’il détruit son pays comme un gosse capricieux détruit ses jouets je peux affirmer que ce type est très gravement malade. Il se comporte comme un fou furieux mentalement déranger, un psychopathe qui nous a imposer un vaccin tueur pour pouvoir mettre à l’abri un max de pognon donné par les labos criminels. Et vu qu’il a insisté pour nous faire vacciner avec quatre doses, je pense qu’il trouve une certaine jouissance dans le malheur des gens donc ce type est un pervers narcissique ce qui est confirmé par le besoin de faire la guerre à une grande puissance qui fera si il y arrive des milliers de morts et sa haine pour Poutine démontre que c’est un fou furieux. Donc le faux président, mais vrai clown, qui en ce moment hante les couloirs de l’Élisée avec sa maman est un fou furieux, psychopathe pervers narcissique qui devrait être enfermé avec une camisole. Et ce sale type à le feu nucléaire entre les mains, ça fait peur.
Merci de nous alerter sur la possibilité que nous soyons gouvernés par un psychopathe résidant à l’Élysee avec un joujou atomique entre les mains. Human Bomb !
Où : que nous fusions gouvernés ?