La leçon que les Occidentaux et Israël n’apprendront jamais…

« Ne Jamais croire et/ou se fier en un musulman, qu’importe d’où il vient et qu’importe son titre »

La raison est simple, le Coran enjoint le musulman de faire usage de la Taqîya et lui ordonne de participer activement au devoir incontournable de l’islamisation du monde. Donc tout musulman qui obéit au Coran doit islamiser le monde, de toutes les façons possibles.

La doctrine de la Taqîya :

Wikipédia : Le fondement juridique de la Taqîya est coranique. 

« Cette indulgence [de la Taqîya] est donc générale en islam ». D’un point de vue théologique, les discussions juridiques relatives à la Taqîya portent sur la question de savoir quelle est la part qui incombe à la miséricorde divine et à l’obligation de préserver les intérêts de la communauté des croyants.

Ainsi dans le Coran, la Taqîya est fondée entre autres sur les passages :

·       « Celui qui renie Dieu après avoir eu foi en Lui — excepté celui qui a subi la contrainte et dont le cœur reste paisible en sa foi —, ceux dont la poitrine s’est ouverte à l’impiété, sur ceux-là tomberont le courroux de Dieu et un tourment terrible » (16, 106), et

·       « Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même. Et c’est à Allah le retour. Dis : Que vous cachiez ce qui est dans vos poitrines ou bien que vous le divulguez, Allah le sait. Il connaît tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Allah est omnipotent » (3, 28-29).

De plus, le Coran interdit aux musulmans d’être l’instrument de leur propre mort. Prenant ceci comme base, certains juristes ont décrété que mentir pour se protéger du danger de la mort est un devoir religieux. En se prévalant de ces versets et décrets, la Taqîya est devenue un comportement historiquement adopté dans les minorités musulmanes réprimées. Selon al-tabari (sura XVI, 108), lorsque l’intention d’un fidèle, symbolisée par son cœur, ne correspond pas à ce que dit sa langue, il n’a pas à en être blâmé.

Dans un sens, le musulman est certain que pour accéder à l’islamisation du monde entier qui est le devoir principal de tout musulman, il peut en toute sécurité mentir, employer tous les moyens mêmes malhonnêtes, criminels et autres, afin de concrétiser les instructions coraniques de l’islamisation globale.

C’est la cause dominante qui mène le monde occidental à se confronter quotidiennement à diverses initiatives/démarches musulmanes soit dans le financement d’institutions scolaires ou universitaires, dans l’achat d’importantes entreprises et établissements en Europe et aux USA, comme des « futurs pied-à-terre » pour un remplacement graduel. Ce plan fonctionne comme sur des roulettes surtout en ce qui concerne Israël et son obstination à ne pas suivre les occidentaux dans leur suicide.

L’invasion, tacite maintenue par des éléments musulmans, fait aussi partie de ce programme ambitieux et global qui couvre en général les démocraties, les États libéraux, connus pour leur manœuvrabilité et leur tendance à la corruption tout comme les monarchies théocratiques et les dictatures. Dans tous les cas, c’est la plèbe, les gens du cru qui paient pour leurs frasques.

La Terre devient pour ce projet, l’élément capital. Contrairement à Mahomet qui s’était lancé dans la conquête du monde par l’épée/l’arme, les musulmans d’aujourd’hui ont établi un nouveau programme, moins fracassant, dont la substitution de population. Et puisque l’utérus des femmes musulmanes est fécond et la polygamie autorisée, cette voie pacifique est donc appliquée à la lettre. Arafat l’avait bien mentionnée « Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ». Un bédouin en Israël a donné le jour à 60 enfants.

L’amplification de cette invasion est due principalement à l’usage cynique des règles démocratiques sur l’abolition des frontières, la destitution de l’apartheid, sous le dôme du multiculturalisme et de la diversité, devenues les voies les plus fréquentées des musulmans assoiffés de remplir leur devoir d’islamiser les mécréants et de tuer les Juifs, les Chrétiens et les croyants de tout bord.

« Il faut que lislam soit l’unique religion qui règne sur la planète Terre ».

Israël démocratique n’a aucune chance d’échapper au glaive musulman. Le Hamas fait partie de la confrérie musulmane qui implémente la Taqîya face à Israël et aux USA, lesquels mordent incessamment à l’appât comme lors des accords d’Oslo. Arafat ayant répondu par un refus catégorique à la trop généreuse offre d’Ehud Barak, ancien Premier ministre, signalait « Si j’accepte, je serai assassiné ». Et il a raison. Aucun musulman ne lui permettra de renoncer à un pouce de terrain d’Israël – qu’il nomme Palestine.

Rappelons ici qu’Ehud Barak avait proposé à Arafat 90% de la Judée et Samarie et la moitié de Jérusalem comme capitale d’un futur État palestinien.

Le 19 juin, les Archives nationales d’Israël ont publié des documents montrant que lors des négociations de décembre 2000, le Premier ministre de l’époque, Ehud Barak, était prêt à renoncer à la souveraineté israélienne sur certaines parties de la vieille ville de Jérusalem et du mont du Temple.

Cinq mois plus tôt, lors des pourparlers de Camp David, Barak avait déjà proposé à l’Autorité palestinienne le contrôle de territoires qui allaient bien au-delà de ce que la plupart des stratèges militaires israéliens estimaient que la nation pouvait céder tout en conservant des frontières défendables.

L’envoyé américain Dennis Ross, qui a participé à toutes les discussions pertinentes, a déclaré plus tard : « Le gouvernement Barak […] a officiellement accepté des idées qui auraient effectivement divisé Jérusalem-Est, mis fin à la présence de l’armée israélienne dans la vallée du Jourdain et créé un État palestinien sur environ 97 % de la Judée et Samarie (Cisjordanie) [ainsi que sur l’ensemble de la bande de Gaza]. » Ross a ajouté que Barak avait également accepté de renoncer au Mont du Temple.

Il faut avouer que le refus d’Arafat a sauvé Israël des inconsciences d’Ehud Barak. Dans son dernier discours à la Knesset avant son assassinat, Rabin avait déclaré : « Les frontières de l’État d’Israël, dans le cadre d’une solution permanente, dépasseront les lignes qui existaient avant la guerre des Six Jours. Nous ne reviendrons pas aux lignes du 4 juin 1967. Israël doit conserver certaines parties de la Judée et de la Samarie afin de bloquer les voies d’invasion traditionnelles et de protéger à la fois Jérusalem et la plaine côtière basse, où vit environ 70 % de la population israélienne.

Alors ces fameux accords d’Abraham à quoi servent-ils au juste ? À quelque chose au moins, à nous révéler la face véritable des occidentaux et des arabes : La Jordanie menace, l’Égypte aussi, les émiraties rentrent dans leur coquille comme une limace face au danger, le Maroc de même…  Mais mes chers amis, c’est la Taqîya en pleine action.

À quoi bon ajouter d’autres noms de faux jetons à la liste décevante actuelle. Ah, j’oubliai Trump veut un Prix Nobel pour la paix… Pardon, pas avec le sang de nos soldats et celui de nos otages.

La querelle pour les territoires/terres est largement entamée et se propagera partout en Europe, au Canada, en Australie et aux USA.

Le monde libre et démocratique en est-il au moins conscient ?

Mais qu’importe, après son silence assourdissant, la chute de son masque après la pogrom sur 7 octobre 2023 et la reconnaissance d’un État palestinien, je ne peux que répéter Rhett Butler dans le film Autant en emporte le vent : Frankly, my dear, I don’t give a damn – Franchement ma chère, c’est le cadet de mes soucis ».

Thérèse Zrihen-Dvir.

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