Finies, les vacances de Toussaint ou de Noël ? Les gauchos préfèrent « vacances de l’Aid « 

 le syndicat FSU-SNUIPP veut laïciser ces dénominations en les remplaçants par “vacances de fin d’année” et “vacances d’automne”. Le Conseil supérieur de l’éducation -composé de 98 membres représentants les personnels enseignants, les parents d’élèves, les étudiants et lycéens ainsi que les collectivités territoriales, associations périscolaires et familiales – ont voté à 44 voix pour et 7 voix contre cette nouvelle nomination des vacances scolaires. source 

Ils me gonflent, ils me gonflent et c’est peu dire, tous ces gauchos ennemis de la France, de son histoire, de son héritage… Le pire ? C’est qu’ils veulent détruire nos vestiges, nos souvenirs, nos us et coutumes pour une seule et bonne raison, ne pas toucher, vexer… les petits musulmans immigrés ou descendants d’immigrés, sans oublier les convertis, de plus en plus nombreux à cause des mariages mixtes… Et je ne dirai rien du projet Eurabia de conquête islamique de toute l’Europe…

Ceux qui viennent de lancer l’attaque sont les gauchos de la FSU syndicats très à gauche et très dégénérés de l’Education Nationale qui se considèrent comme très progressistes parce qu’ils détruisent tout. Sauf l’islam, faut pas déconner, quand même, ces gens-là, ces profs-là ont des valeurs, et de vous faire des leçons la bouche en cul de poule sur la tolérance et les méchants colonialistes qui, enfin paieraient le prix de leurs anciennes conquêtes. Pour eux, voir leur fille voilée et soumise suivre 3 pas derrière son sAigneur et maître c’est une juste punition, une rédemption, grâce à cela ils ont moins honte d’être Blancs et d’avoir reçu et éducation et instruction. 

 

Que voulez-vous il est des gens d’une certaine communauté qui interdisent à leurs filles d’aimer et de se marier avec un homme s’il n’a pas la même religion qu’eux. Ça s’appelle l’endogamie. Il y a beau temps qu’au pays de Voltaire, au pays de la liberté, on laissait les enfants choisir  leur vie, leur religion, leur athéisme, leur compagnon de vie… Quand je pense qu’on est au pays de Voltaire mais aussi de Simone de Beauvoir, mais aussi au pays de Marie de France ou d’Olympe de Gouges  ou encore les Cornélie (mère des Gracques)  et autres Livie (épouse d’Auguste)  romaines…

Vous me direz que la France a toujours été terre d’immigration notamment entre 1850 et 1950, et que jamais notre héritage chrétien n’a dérangé qui que ce soit… 

 

Le probl!ème est évident. C’est que nous avons fait entrer le diable chez nous.  Vous savez, le diable qui dans les contes d’antan, voulait faire disparaître les bons, traduisez les chrétiens, traduisez les Français qui ne sont plus qu’une minorité à être chrétiens mais qui préfèrent s’appeler Claudine, Isabelle ou Sarah que Amina ou Fatma… prénoms qui, parce que d’origine arabo-musulmane évoquent immanquablement l’inégalité hommes-femmes et la soumission de cette dernière. On n’y peut rien c’est historique. Faut-il, en plus du reste, supprimer l’histoire, les livres, les encyclopédies ? 

On y vient tout doucement mais sûrement… Ils ont essayé il n’y a pas longtemps, en Afghanistan.. .

 

Au fait un petit délire sur les origines du mot Noël, même s’il semble logique, étymologiquement parlant, de le faire venir de Natalis diem (le jour de la naissance-sous-entendu de Jésus).C’est joli, c’est un beau voyage l’histoire des mots et des inconscients …

Noïo hel, natalis dies, naël… aux origines du mot noël
« Noël », chaque année en décembre, ce mot est sur toutes les lèvres, mais savez-vous quelle est son origine linguistique ? Comment il a évolué depuis l’Antiquité ? Jean-Paul Meyer, enseignant-chercheur au laboratoire Linguistique, langues, parole ( Lilpa – Unistra), a mené l’enquête.
Juive, celtique, chrétienne ? Des origines controversées
Les origines du mot « noël » sont controversées, et la controverse est elle-même ancienne. Dès les 16e-17e siècles, lorsqu’apparaissent les premiers grands dictionnaires français, les lexicographes sont en désaccord. Chacun des points de vue se rattachant à l’idée que l’on se fait de l’évènement.
Jean Nicod, dans son Thresor de la langue françoyse tant ancienne que moderne, penche pour une origine hébraïque : l’Emmanuel (« Dieu parmi nous ») annoncé par le prophète Isaïe serait la source du mot noël. Et ce en lien avec la prédication de la venue du messie qui annonce le début d’une ère nouvelle.
La filiation de l’expression latine natalis dies
Pierre Borel, au contraire, dans son Trésor de recherches et antiquitez gauloises et françoises (1655), devine dans le mot « noël » l’expression gauloise noïo hel (« nouveau soleil »), qui aurait évolué en noüel puis noël. Les fêtes celtiques du solstice d’hiver, à rapprocher des Saturnales romaines, célèbrent la victoire du soleil sur la nuit (« sol invictus ») et annoncent le retour de la lumière.
De son côté, le grammairien Gilles Ménage (1613-1692) argumente en faveur d’une origine latine. Dans ses ouvrages successifs, notamment le Dictionnaire etymologique de la langue françoise (1694), il place le mot dans la filiation de l’expression latine natalis dies (« jour de naissance »). Un point de vue également défendu par Antoine Furetière dans son Dictionnaire universel (1690). Cette origine nataliste du mot « noël » en lien avec la naissance de Jésus est actuellement la plus répandue et la mieux acceptée.
De l’indo-européen au français moderne il n’y a que des lettres
En partant de cette origine nataliste, pour retrouver le chemin qui mène de la racine indo-européenne jusqu’à notre noël français, il faut emprunter les sentiers du latin : gnatus (naitre), évoluant en natus, qui à son tour forme l’adjectif natalis (natal). En ancien français, le Natal désigne le jour de Noël, avant que le mot n’évolue vers Naël et Noel au 12e siècle. Précisons que le tréma sur le « e » de noël ne s’est imposé qu’au 18e siècle, pour normaliser la prononciation en deux syllabes (la diérèse). On peut cependant encore entendre la syllabe unique, /nwɛl/, dans certains parlers régionaux.
C’est au 4e siècle que l’habitude de fêter la naissance du Christ à la fin de l’année s’est généralisée
Il est permis de penser que le cheminement a été long… C’est le temps de la langue, surtout pour ce qui concerne les changements à l’écrit. Et après tout, le jour de Noël ne s’est pas imposé facilement non plus : c’est seulement au 4e siècle de notre ère, lorsque le christianisme a été reconnu parmi les religions officielles de l’Empire romain, que l’habitude de fêter la naissance du Christ à la fin de l’année s’est généralisée.
La famille « noël » est ainsi aussi diverse que les traditions qui l’accompagnent : depuis nedeleg en Bretagne et noué en Normandie, jusqu’à nadal, nadau, nadalet ou naulet en terres occitanes, en passant par nau dans les Charentes, naoué en Lorraine ou encore nouvé en Franche-Comté, la liste est très longue. Ainsi, à Gruissan, Narbonne ou Port-Leucate, ce n’est pas un wääscho que l’on boit en ce moment, mais un doux et tendre muscat de nadal.

Source 

 

Ok vous allez me dire que, avec ces histoires d’étymologie je n’ai pas vraiment parlé des dénominations des vacances. Tout bêtement et vous l’avez compris, parce que je ne vois pas l’intérêt de changer la dénomination actuelle…

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8 Commentaires

  1. Ce sont les gauchistes qui ne veulent pas parler de Noël car celà fait référence à Jésus Les musulmans n’y voient aucun probleme car Jésus est considéré comme un prophète et Marie comme la mère du prophète Il suffit de voir le nombre de musulmanes qui se nomment Myram Mort aux gauchistes mais méfions nous tout de même des musulmans

  2. Au risque de me répéter, la gauche est le cancer de notre société et l’islam, le purin de l’humanité !…éradiquer le premier, effacerait le second, ainsi que bien d’autre hérésie !

  3. Ils préfèrent surtout « la prime de Noël » tellement bien venue pour partir chez eux et bien sûr ….revenir pour la CAF!!!

  4. Et les ruptures de jeûne (iftar) pour gueuletonner dans les mairies aux frais des contribuables, mais les crèches y sont bannies, contraires à la laïcité !!! RÉSISTONS !