Le con ! Macron fait arraisonner un navire russe…

Tiens, on se demandait ce que l’autre dérangé du bulbe allait pouvoir inventer pour pousser Poutine vers la guerre… 

Cette histoire de pétrolier russe arraisonné du côté de Saint-Nazaire est plus que trouble. 

J’applaudirais vivement Poutine, si, comme je le crois, pour contourner l’absurde embargo mis sur le pétrole et le gaz russe il avait créé une flotte fantôme destinée à vendre sous le manteau du pétrole aux pays qui n’ont pas  ni  pétrole ni les moyens d’acheter au prix fort le pétrole vendu par les pays musulmans cela ne serait pas étonnant et ce serait même de bonne guerre. Et cela permet à nombre de pays d’offrir à leurs ressortissants une énergie encore abordable, puisqu’entre les embargos sur l’énergie russe et les prix prohibitif des énergies renouvelables dus aux écolos-tarés, le citoyen européen moyen (et pas que lui) crève la bouche ouverte.  Cette flotte fantôme, si on en croit Frontières, serait constituée de 600 à 1000 navires sillonnant les mers, comme les corsaires des temps passés. Je trouve cela génial. Bravo aux fraudeurs et mort aux cons qui, à Paris comme à Bruxelles nous réduisent à quia délibérément et veulent, dans la foulée, que nous soyons en guerre.

Néanmoins je trouve un anomalie dans l’histoire… que viendrait faire un pétrolier  russe du côté de Saint-Nazaire, alors que la France, a priori, n’achète pas de pétrole en catimini aux Russes ???  Et les bateaux russes auraient vraiment besoin de passer si près de la France pour aller ravitailler d’autres pays  ??? 

Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange.  Et comme politiques et journaleux mentent comme des arracheurs de dents pour faire croire au  bon peuple de France, quelque peu crédule des fadaises, on ne peut qu’être inquiets. Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. Quand on veut amener la guerre sur le territoire européen, on accuse Poutine de tout et de n’importe quoi, têtes de cochon devant des mosquées, drones, vaisseaux fantômes… et on n’a pas encore tout vu. 

Voilà que la France sort une explication possible qui l’arrangerait bien. Et si ce navire était celui qui avait lancé des drones sur le Danemark fin septembre ? Ah  ah ! en voilà une idée intéressante… Des drones sur le Danemark ? Pour quoi faire ? Et pourquoi, si c’était vrai, stationner pendant 2 jours entre  Noirmoutier et Belle Île… Peu importe… quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. Et Macron veut tuer Putine ou du moins justifier la guerre contre la Russie. 

Un début d’explication ? Si le Le Pushpa  est juste un pétrolier, il a le droit de passage, comme tous les navires, on ne peut rien dire. Si c’est un bateau lanceur de drones, on peut l’arraisonner…  Quant à faire avaler à Madame Michu que les vilains russes auraient eu un quelconque intérêt, alors qu’ils sont en guerre, en alerte à cause des terroristes ukrainiens, à s’amuser à jeter des drones sur le Danemark… Je lui fais confiance. Avec l’aide des journaleux de service, ils peuvent faire avaler volontairement de la mort-aux-rats à nos concitoyens abreuvés de BFM…

Aux armes, citoyens !

Christine Tasin

Un pétrolier soupçonné d’appartenir à la « flotte fantôme » russe a été intercepté au large de Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique. Peu après l’annonce de cette opération menée par la marine française, le procureur de Brest, Stéphane Kellenberger, a annoncé le placement en garde à vue de deux membres d’équipage. Il s’agit de l’homme se présentant comme le commandant et de son second.

Un navire au passé trouble

Long de 244 mètres et connu sous plusieurs identités, dont « Pushpa » et « Boracay », ce navire bat actuellement pavillon du Bénin. Il figure sur la liste des sanctions européennes en raison de son rôle présumé dans le contournement des restrictions imposées à Moscou sur la vente de pétrole. L’arraisonnement a eu lieu samedi dernier, avant qu’une équipe d’intervention française ne monte à bord ce mercredi.

Une procédure judiciaire lancée

En déplacement à Copenhague pour un sommet européen, Emmanuel Macron a qualifié l’opération de « très importante », soulignant que les forces françaises étaient intervenues « en temps et en heure ». Le chef de l’État a évoqué de « graves fautes » commises par l’équipage, justifiant l’ouverture d’une procédure judiciaire.

L’enquête préliminaire vise notamment le défaut de justification du pavillon du navire et le refus d’obtempérer, deux délits maritimes passibles d’un an d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende. Selon le site OpenSanctions, le pétrolier a déjà changé à de multiples reprises de pavillon, naviguant successivement sous immatriculation gabonaise, mongole ou encore des îles Marshall.

Soupçons autour de survols de drones

Le navire pourrait également être lié à des incidents aériens au Danemark. Il aurait servi de plate-forme de lancement, ou au minimum de leurre, dans les survols de drones qui ont entraîné la fermeture temporaire de l’aéroport de Copenhague et perturbé d’autres infrastructures entre le 22 et le 25 septembre.

Interrogé sur ces liens potentiels, Emmanuel Macron a toutefois appelé à la prudence, rappelant qu’aucune preuve formelle n’a pour l’heure été établie.

Un contexte géopolitique tendu

Ces incidents interviennent alors que l’Europe fait face à une multiplication des provocations aériennes attribuées à la Russie : vols de drones en Pologne, incursions d’avions militaires au-dessus de l’Estonie et désormais perturbations au Danemark, pays hôte d’un sommet européen crucial cette semaine.

Le président français a rappelé que la flotte fantôme, estimée entre 600 et 1 000 navires, génère des revenus considérables pour Moscou. Selon lui, ce commerce clandestin financerait jusqu’à 40 % de l’effort de guerre russe en Ukraine.

Frontières

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