Mamie Sucette fait le tapin à 88 ans ? Que les culs serrés cachent leur haine du plaisir !

 

“J’ai commencé à 21 ans, raconte-t-elle. C’est ma maison ici, c’est ma vie, je m’ennuie chez moi. Ici je suis bien, je vois du monde.”  Ce qui devait arriver arriva… le reportage a mis le feu aux poudres. Les cons ça ose tout…

Mamie Sucette ose se prostituer, en être fière, en être heureuse… Sus à l’impudente, sus à la s….e ! Les ligues de vertu -de plus en plus à gauche, aux côtés des culs serrés catho traditionalismes et des bourgeois à la bouche en cul de poule poussent de hauts cris…

« Plus je vieillis, plus j’ai du succès » : les confidences de Nicole, 88 ans et prostituée « toujours heureuse »

Quand on pense à la « libération des moeurs » en 1968 en France et après. Libération nécessaire car, jusque-là, trop souvent, comme le chantait justement Brasens « une femme honnête n’a pas de plaisir ». Femmes honnêtes cadenassées par l’éducation, par les codes moraux, par la religion…  On en était encore un peu là en 68. En 1960, mon oncle adorable au demeurant, tonton gâteau pour moi disait « tiens voilà la putain  » en voyant ma mère arriver,  elle avait commis un crime, m’avoir sans être mariée… C’était hier… 20 ans après la plupart des digues des ligues de vertu avaient sauté et mon oncle ne se souvenait même pas d’avoir pu dire cela à propos de sa soeur, qu’il aimait d’ailleurs beaucoup.

Alors, que, en 2025, des connasses de tous bords, bourgeoises coincées, restées des peine-à-jouir ou pseudo-féministes gauchistes veuillent à leur tour, et pour d’autres raisons, empêcher les femmes qui le souhaitent de se prostituer (à qui est-ce que cela nuit si elle ne s’exhibent pas en plein jour et en pleine action dans la rue ???), ça me rend enragée ! J’ai quant à moi du mal à comprendre le plaisir d’être prostitué mais si ça plaît à certains et certaines, où est le problème ? J’ai du mal à comprendre également le plaisir d’être dans la cage aux dégénérés qu’est devenue l’Assemblée Nationale, mais si ça convient à certains, où est le problème ? 

Pendant que les coincés dénoncent France 3 d’avoir fait et montré le reportage sur  Nicole, la France s’islamise, Macron nous entraîne dans la guerre, les écolos-dingos nous entraînent dans la pauvreté, le froid , les cafards grillés, le Grand Remplacement avec charia obligatoire… des tarés jettent l’opprobre -ne pas confondre avec eau propre comme certains analphabètes produits par l’école socialope le croient-  sur une femme âgée qui leur fait l’affront d’être heureuse et épanouie et dire merde à la bien pensance. 

Les commentaires sous la video ont dû être désactivés, ça en dit long sur la sottise humaine.

 157 total views,  157 views today

image_pdf

Répondre à Agathe Rabier Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


14 Commentaires

  1. Si être une prostituée ne mérite pas l’ostracisme, ce n’est pas un titre de gloire en soi. En matière de cul, attention aux effets de balanciers de Histoire et, si j’ose dire , aux effets de bas-cule. Porter le voile musulman signifie « je suis pure, les autres sont des putes ». Revendiquer son métier de pute comme une glorieuse liberté pourrait-il signifier « celles qui font l’amour par amour » sont des « coincées » ? Celles qui ne fonctionnent pas comme un distributeur à Coca-cola, où il suffit de mettre un euros dans la fente, ne savent pas vivre ? Ce pas a été souvent franchi par les dragueurs de nos générations, surtout les pas assez séduisants et pas assez patients, consommateurs impulsifs ne songeant qu’à leur plaisir immédiat. Coincée = se faire une haute (trop haute) idée de l’amour ? L’anathème a trop servi dans la bouche des paresseux et des goujats et des incultes de la « Libération sexuelle ». Pauvres types.

  2. C’est une femme libérée ; c’est une femme libre ; c’est une femme assumée parce qu’elle s’assume ; c’est une femme indépendante ; c’est une femme heureuse.
    C’est une femme qui a choisi son chemin qu’elle a mené et mène remarquablement bien.

    C’est son chemin, c’est sa vie ! Demande-t-elle quelquechose à quelqu’un , Doit-elle quelque chose à quelqu’un ? Porte-t-elle préjudice à quelqu’un ?

    Est-elle un fardeau pour la société ?
    Est-elle désagréable ? Porte-t-elle préjudice à quelqu’un ?
    Est-elle aigrie ?

    Sur le plan santé physique et mentale, elle semble dans un état remarquable !

    Elle a fait bonne route et semble la faire encore très bien ?

    Elle semble de bonne compagnie…

    Alors …
    Combien de ses juges de mauvaise critique peuvent-ils en dire autant ?

    ____
    C’est une femme libérée (Cookie Dingler – Femme libérée (1984))
    ○ YOUTUBE (Nostalgies 60′-70′-80′) : https://tinyurl.com/avv5ntbx

    • Libérée, libre, assumée, indépendante… Elle ne porte pas préjudice, mais elle demande cinquante balles et doit faire le job. Sucer des queues ! Ce n’est pas une amazone non plus. On lui doit le respect, certes, mais un exemple de vie heureuse et d’équilibre, on peut trouver mieux, non ?

      • Oui, Paul, les contre-vérités qu’on peut dire de crainte de passer pour démodé… faute d’avoir vu l’envers de cette prétendue « liberté », sans doute…

      • Oui, Paul, les contre-vérités qu’on peut dire de crainte de passer pour démodé !… Faute d’avoir vu l’envers de cette prétendue « liberté », sans doute…ou de vouloir se la représenter.Il faut avoir un rien d’imagination, visuelle et sensuelle, pour se représenter CONCRETEMENT ce que « cela » représente… l’hygiène, les odeurs, les douleurs, les mots, l’humiliation,la peur, les filles ! Sortez de l’abstraction idéologique post-soixanthuitarde, putain de Dieu !

    • Indépendante ?… mais sa survie dépend de sa soumission au désir de ceux qui paient ses services sexuels ! Certains ne vont pas manquer de comparer cela à la soumission de n’importe quel salarié à son patron, sophisme ! Ou alors, il faut cesser de juger que le harcèlement d’un supérieur existe, puisqu’il paye, vous laisse penser qu’il vous « aidera » dans votre carrière, et il faut proclamer que, si on lui cède pour son avancement, on est une femme libérée et « indépendante ». Ce n’est pas mon avis… La vraie indépendance, c’est de dire non si on n’a pas de désir. La vraie liberté, c’est de s’assumer sans se faire entretenir. S »assumer », ça se paie en travail, en choix difficiles, en efforts quotidiens dans le domaine intellectuel et matériel. C’est vrai aussi pour les hommes qui ne choisissent pour compagne ni une pute, ni une maman.

      • Et demandez-vous pourquoi des medias mainstream mettent cette femme en avant comme un modeèle de femme libérée…(La photo est diffusée sur les actualités Google ). Nous, les Européennes, on n’a plus qu’à passer sous les fourches « caudines » (= « pourvues de queues ») du premier envahisseur-en-manque venu ? Souvent, ils tuent ensuite la prostituée, c’est le comble de leur jouissance, le savez-vous ?

        • Pour une fois, ma chère Agathe, je mettrais un bémol et serai moins sévère que vous ; on peut certes dénoncer la fausse liberté de jeunes qui font le tapin, avec ou sans souteneurs, exposées aux violences etc; mais on doit aussi ne pas généraliser et accepter que des prostituées aiment leur métier et préfèrent avoir encore un peu de tendresse -et un peu plus-, d’échanges humains, de discussions dans une fourgonnette au bord de la route plutôt que la solitude de l’Ehpad où l’on est encore plus réduit à être de la viande aux mains de ceux qui vous font la toilette, qui vous donnent la becquée… Je pense que si elles osaient, en avaient le goût, le courage et les moyens nombre de nos occupantes d’Ehpad préfèreraient le sort de Nicole !

  3. Ça va surement plaire aux macronistes qui aiment tant les vieilleries… Bon, la « donzelle » a le mérite de remettre sur le paillasson ou sous la robe la notion définitionnelle du tapinage politique et autre pédophilie qui, pour le coup, n’est pas sanctionnée par les pouvoirs publics de tout acabit et où les vocables ne manquent pas pour exprimer un phantasme, voir un rejet, mais qui dans l’ensemble profitent à une soi-disant bienpensante qui, Elle, a toujours la main au panier des autres ?

  4. Bon à part qu’on dirait un homme mémé sucette je ne vois pas quoi y redire. Si ça lui fait du bien et qu’elle rencontre des hommes disposés à lui faire reluire la rosette et la craquette à mamie sucette. Grand bien lui fasse et longue vie.

  5. On connait une autre ‘mamie sucette’ beaucoup mieux lotie, adulée par certains.
    Mais qui est activement vent debout dans notre beau pays contre le plus vieux métier du monde et bien c’est bercy qui déteste les transactions en liquide.