Absolue soumission à l’islam de l’ignoble général Petraeus, ancien patron de la CIA

Ahmed al-Sharaa, ancien commandant djihadiste et président de la République arabe syrienne, et le général David H. Petraeus lors du sommet annuel Concordia 2025 au Sheraton New York Times Square, le 22 septembre 2025 à New York.RICCARDO SAVI / Getty Images via AFP 

Il faut le voir pour le croire ! En marge de l’assemblée générale de l’ONU du 22 septembre dernier,  le sanguinaire terroriste, Ahmed Al Sharaa, se pavane partout, dans le but de se refaire une virginité, faire oublier l’inoubliable. Qu’il soit un terroriste sanguinaire de la pire espèce, sur la tête duquel planait une récompense de 10 millions de $, est oublié. Aidé en cela par Allah, son seul maître, le monstre sans conscience avance inexorablement la taqîyah en bandoulière. Tout sourire, il serre de ses mains d’assassin ignoble, celles des dégénérés qui se laissent séduire.

Pas en reste, les grandes accolades entre dictateurs sanguinaires…

Le tapis rouge lui est déroulé, des sourires lui sont opposés, quand tous savent, qu’il massacre les chrétiens en Orient. Que la Syrie, ce beau pays, est sens dessus dessous. Le changement de régime encore une fois fomenté par les US, est un total désastre. Valait mieux garder Bachar, qui ne touchait pas les chrétiens. Bachar dit sanguinaire par les dégénérés, qui se sont réjouis de plus sanguinaire encore avec Al Shaara.

Nous marchons sur la tête et plus encore car, à voir l’échange entre ce monstre et le général 4 étoiles, David Petraeus, au Sommet annuel de Concordia 2025, la nausée vous vient du début à la fin.

Il s’agit d’un forum sur les affaires mondiales organisé aux côtés de l’Assemblée générale, qui rassemble des dirigeants mondiaux, des cadres d’entreprises et des figures d’ONG pour favoriser les partenariats public-privé et le dialogue. A voir l’attitude de ce général Petraeus, qui a dirigé les forces américaines lors de l’invasion de l’Irak, qui est devenu plus tard le directeur de la CIA, les bras vous en tombent.

Lorsqu’il s’avance sur la scène vers Al Shaara, sourire auxlèvres, Petraeus le salue en arabe. Ce qui s’en suit est inouï et dépasse l’entendement.

Il s’adresse à Al Shaara avec une onctueuse amabilité, aidé de ses notes et avance toujours tout sourire, qu’il était durant 37 ans dans l’armée US, servant comme soldat, non comme un diplomate et continue en s’excusant que s’il s’exprime ici, c’est en tant qu’ancien soldat. Et pour le reste assez pénible, je vous livre l’essentiel vers la fin, qui plonge tous les analystes de la communauté internationale des géopolitologues dans l’interrogation sur le comportement de ce général :

« Comme votre job doit être difficile maintenant, avec tout ce que vous devez porter sur les épaules. Je sais que vous êtes conscient que la pression est énorme. Quand les gens me demandent comment c’était, de commander en Irak, je répondais en disant que c’était l’expérience la plus pénible de ma vie, mais aussi la plus importante. Ma prochaine question vous concerne personnellement. Comment tenez-vous le coup sous toute cette pression ? Avez-vous le temps de réfléchir ? Pouvez-vous bien dormir la nuit ? -rire-, encore une fois, j’y étais et c’est tellement dur et vos nombreux fans, j’en suis un moi-même, nous nous inquiétons – applaudissements. »

Et voilà ce que nous livre Al Shaara, comme s’il était devenu blanc comme neige.

« À un moment, nous étions au combat et maintenant nous passons au discours » déclare Al Shaara avec un grand sourire interrogé sur leur histoire, ajoutant que les gens qui ont traversé la guerre connaissent l’importance de la paix. Ensuite : « Nous ne pouvons pas juger le passé sur la base des règles d’aujourd’hui et nous ne pouvons pas juger aujourd’hui sur la base des règles d’hier. » Ben voyons ! Évoquant son temps en tant que commandant d’Al Qaïda, AlShaara ose : « peut-être qu’il y avait des erreurs auparavant, mais ce qui compte maintenant, c’est de défendre le peuple syrien et la région contre l’instabilité. Notre engagement envers cette ligne est ce qui nous a amenés ici aujourd’hui à New York, assis parmi les alliés et amis.»

C’est fort de tabac. Après avoir mis certaines villes d’Europe à feu et à sang, envoyant ses djihadistes nous terroriser par des attentats meurtriers, il nous chante l’apaisement.

Puis, Al Shaara déclare qu’il croit qu’il se bat pour une « noble » cause, qui mérité un soutien.

Interrogé plus tard, sur la violence sectaire mortelle en Syrie cette année, il avance que le régime de Bachar avait laissé la Syrie dans le chaos et que toutes les parties ont commis des erreurs, y compris certaines parties du gouvernement. Il a ajouté, qu’un conseil nouvellement formé, enquête et poursuivra tous les contrevenants. Il ajoute que le peuple syrien s’est rallié autour du nouveau gouvernement et que le développement économique et l’unification de la Syrie sont ses priorités.

Dans cette optique, Al Shaara a réitéré sa demande au Congrés américain de révoquer la loi de 2019 sur la protection civile intitulée CESAR SYRIA, qui sanctionne la Syrie. Le monstre a réitéré sa position sur la protection des minorités syriennes, y compris la population kurde du nord, dont les droits doivent être protégés par la constitution. Pas un mot sur les chrétiens persécutés et personne pour lui poser la question. Puis arrive déjà la restriction, lorsqu’il ajoute que les forces armées kurdes ne doivent pas opérer en dehors des auspices de l’État, car le gouvernement et son armée doivent être la seule entité avec des armes à feu. Ben voyons. On le voit venir. Le terroriste syrien a également parlé d’Israël, gémissant qu’Israël a attaqué la Syrie plus de mille fois depuis le départ de Bachar.

Puisque les parasites aux manettes de l’Occident collectif dégénéré sont tellement déculturés, ils vont le croire sur parole. Nous devons les chasser des instances de gouvernement. Le plus vite sera le mieux. Des actes terroristes nous guettent toujours et cela ne s’arrêtera pas car, l’islam est en conquête mondiale. Ce qui fait de l’islam le plus grand danger existentiel pour nos pays.

Sylvia Bourdon, 26 septembre 2025

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