400 migrants ont été évacués en mars dernier du théâtre qu’ils occupaient depuis 4 mois…
Nous n’étions pas mécontents à l’époque, avouons-le… mais à présent nous nous demandons s’il n’aurait pas été préférable de laisser les migrants occuper, dégrader… le théâtre, se démerder pour manger, dormir... (oui, je sais, j’oublie délibérément que les occupants illégitimes étaient -et le seront encore ailleurs – nourris par le contribuable, forcément, contribuable qui a payé, paye, et paiera les frais de réparation, l’eau, chaude et froids des toilettes, des douches… et forcément la nourriture…). Combien ça a coûté au contribuable parisien, tout ça ? Combien ça a coûté au contribuable français, in fine ?
Et ce n’est pas fini car les migrants expulsés du théâtre n’ont pas été reconduits dans leurs pays d’origine, ce qui eût été justice, ils sont un peu partout en France à nos frais, même les (futurs) escrocs, voleurs, violeurs, assassins… Statistiquement les étrangers sont plus nombreux en prison que les Français, comme le démontrait le sénateur Valérie Boyer en 2022… il y a donc statistiquement au moins quelques futurs gibiers de potence parmi les évacués… Et je ne parle pas des 3 millions de déficit causés par l’occupation, une paille !
Quant aux directeurs du théâtre ils étaient ravis de l’occupation, soutenir les migrants a été leur légion d’honneur : après des mois à gérer une occupation qui, s’ils l’ont toujours soutenue au titre de la légitimité de la mise à l’abri des migrants, l’ont également subie jusqu’à la mise en péril de leur outil de travail…. Alors de quoi se plaignent-ils ? Je regrette encore plus qu’il n’y ait plus de galères pour qu’ils expient leurs crimes…
Mais là n’est pas l’objet de notre ire du jour.
Je découvre que rien n’a changé ni à la Mairie de Paris ni à la Gaîté lyrique. Vous croyez que la Mairie aurait profité des nécessaires limogeages, des nécessaires économies, des. nécessaires travaux pour faire place nette et faire du neuf ? Je t’en fiche, on prend les mêmes et on recommence.
Les mêmes ? Les mêmes gauchos qui ont le même état d’esprit, qui font le même genre de programme, qui décervèlent les nôtres et les amènent à pleurer sur les pauvres malheureux venus d’ailleurs pendant leurs spectacles.
La preuve dans cet article du parisien
-Pour son premier week-end d’ouverture, concert rap, contest de hip-hop et festival littéraire féministe et antiraciste
-« Nous avons retrouvé nos deux piliers que sont la fête et l’engagement, on a vu le bâtiment revivre, des publics différents se rencontrer, on a dansé, ça fait du bien »
-Si tout va bien donc, la Gaîté lyrique rouvrira toute la semaine au public dès janvier 2026 pour redevenir « ce lieu du quotidien » voulu comme tel par la Ville de Paris dans le cadre du projet « La Fabrique de l’époque » où se croisent et se mélangent des publics différents au travers de conférences, de débats, de concerts et de distribution solidaire. En 2024, 800 événements, dont 78 % gratuits, avaient été programmés.
-Certains médias, comme Cnews, Valeurs actuelles ou le JDD ont pointé « la provocation », eu égard à l’occupation par les jeunes migrants, de programmer pour la réouverture, jeudi 11 septembre, une conférence sur « L’Expérience de migration à travers les générations ». C’est oublier que l’ADN même du projet de la Fabrique de l’époque porté par le consortium Arty Farty, ARTE, makesense, SINGA et Actes Sud et missionné par la Ville de Paris est justement de « répondre à l’urgence culturelle, sociale, démocratique et climatique ».
-Ce jeudi, en parallèle du concert, déjà complet, de Clap your Hands say Yeah, se tiendra la première Nuit des controverses. Un débat voulu pour être contradictoire de cinq heures sur l’abolition des frontières, la dictature verte, ou encore le droit à être heureux. « Nous sommes un lieu d’expression large, tous les publics peuvent se retrouver, réapprendre à ne pas être d’accord et à en débattre dans un espace de dialogue », justifie Vincent Cavaroc.
Excusez-moi je vous laisse, je cours vomir… Quand je pense qu’il y a des milliers de connards à Paris qui payent des impôts pour cette imposture et qui payent pour participer à ça….
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Pathétique, à vomir, oui.
« Contest de hip-hop ». C’est plus chic que concours ?
« La Fabrique de l’époque »… On ne saurait mieux dévoiler l’entreprise de décervelage, de soumission de toute une génération. Pauvres d’eux ! En voilà une vraie épidémie.
Quand on pense ce qu’était la gaîté lyrique jusqu’aux années 50! Le temple de l’opéra comique et de l’opérette avec un rayonnement international, je maudis les criminels qui ont fait de ce joyau culturel, une auge à pourceaux !
Singa l’ong proimmgrationiste du clown de génération.s benoit hamon.
Le socialiste qui vit a Issy les Moulineaux une ville de droite et il vit avec une bourgeoise qui bosse chez lvmh.
Singa qui a pour but de intégrer des bacs moins 10 du tiers monde.
Qui seront des assistés a vie.