Coup de théâtre : le clandestin qui avait violé une femme à Londres se révèle être en plus …un terroriste islamique !

Abdelrahmen Adnan Abouelela, 42 ans, un demandeur d’asile égyptien emprisonné pour avoir violé une femme à Hyde Park à Londres, est un terroriste islamique condamné, nous pouvons le révéler pour la première fois.

Le musulman clandestin était hébergé par le contribuable britannique à l’hôtel Hilton. 

Pour « remercier » le pays d’accueil, il avait violé une femme dans un parc.

On découvre aujourd’hui qu’en plus, il avait été condamné pour terrorisme, en Egypte dont il s’était enfui !

La capture de femmes infidèles (non musulmanes) et leur utilisation comme esclaves sexuelles sont autorisées par le Coran.  (Coran 4:3, 4:24, 33:50).

Daily mail

Un demandeur d’asile égyptien emprisonné pour avoir violé une femme à Hyde Park à Londres est un terroriste islamique condamné, révèle le Daily Mail.

Abdelrahmen Adnan Abouelela, 42 ans, a été reconnu coupable par contumace d’avoir fait partie d’une cellule de fabrication de bombes en Égypte et condamné à sept ans de prison le 5 mai 2015.

Lui et six autres hommes avaient fabriqué des explosifs dans un appartement sécurisé pour commettre des actes « terroristes » tels que le bombardement de pylônes électriques et de conduites de gaz.

Le Daily Mail révèle qu’Abouelela, membre du mouvement radical des Frères musulmans, s’est échappé d’Egypte avant d’être condamné. 

Il a demandé l’asile à son arrivée au Royaume-Uni en avril 2023 et a été hébergé dans un hôtel financé par les contribuables pendant que sa demande était examinée.

Abouelela a été autorisé à se promener librement et a même posé pour un selfie en janvier de l’année dernière devant l’Imperial War Museum North Museum à Trafford, dans le Grand Manchester.

Les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur ont passé 17 mois à réfléchir à la question de savoir s’il fallait ou non accorder l’asile à ce monstre, bien qu’ils aient apparemment eu connaissance de sa condamnation pour fabrication de bombes, avant qu’il ne viole cette femme vulnérable à Hyde Park en novembre dernier.

Les dossiers judiciaires en Egypte révèlent qu’Abouelela et ses six complices avaient loué un appartement dans le quartier d’Ebnia Baitak, dans la ville tentaculaire du 10 Ramadan, à l’est du Caire, où ils ont fabriqué leurs bombes.

Abouelela, qui s’est infiltré en Grande-Bretagne en 2023 depuis la Turquie, faisait partie d’une cellule de fabrication de bombes en Égypte et a été condamné à sept ans de prison par contumace en Égypte le 5 mai 2015.

Le terroriste islamique séjournait à l’hôtel quatre étoiles The Hampton by Hilton, dans l’ouest de Londres, aux frais des contribuables britanniques. 

Alors que les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur hésitaient pendant 17 mois à accepter ou non sa demande d’asile, l’extrémiste islamiste Abouelela a violé sa victime. Voici sa photo d’identité judiciaire fournie par la police métropolitaine après sa condamnation par le tribunal  Crown Court de Southwark en mai.

Abouelela séjournait dans un hôtel Hilton quatre étoiles à Ealing, grâce aux fonds du contribuable britannique, lorsqu’il a perpétré son attentat.

Il a été reconnu coupable de viol par la Crown Court de Southwark le 22 mai de cette année et a été condamné à huit ans et demi de prison mardi de cette semaine.

On pense qu’Abouelela a vécu pendant un certain temps en Malaisie et au Soudan après avoir fui l’Égypte, et il aurait apparemment demandé l’asile politique pour la première fois à son arrivée en Turquie.

Il a été détenu pendant au moins 72 jours à l’aéroport Atatürk d’Istanbul après que sa demande d’asile avait été rejetée par les autorités turques début 2019.

Abouelela a lutté désespérément contre les tentatives d’extradition vers l’Égypte avant que les autorités turques ne cèdent apparemment et ne lui permettent de rester en Turquie.

Dans une vidéo publiée en ligne pendant sa détention, il a déclaré en arabe qu’il était membre de l’opposition égyptienne et qu’il était détenu depuis 72 jours. Il a ajouté : « Je ne sais pas ce qui va m’arriver. »

Mais les publications sur les réseaux sociaux d’Abouelela et son profil LinkedIn suggèrent qu’il a été autorisé à continuer à vivre heureux en Turquie et qu’il  a exprimé un soutien indéfectible aux Frères musulmans ces dernières années.

Abouelela s’est marié en décembre 2020, selon son profil Facebook, et a ensuite eu un enfant avec sa femme.

Mais il a ensuite quitté la Turquie et a demandé l’asile à son arrivée au Royaume-Uni en avril 2023, affirmant qu’il serait confronté à des persécutions s’il était renvoyé dans son Égypte natale.

On ne sait pas s’il a été contraint de quitter la Turquie ou s’il l’a fait de son propre gré, même si le tribunal a révélé cette semaine que sa femme et son enfant y vivent toujours.

Abouelela risque une expulsion automatique en vertu de la loi britannique sur les frontières de 2007 après avoir purgé sa peine pour viol, car il aura purgé une peine de plus d’un an de prison.

Mais étonnamment, il pourrait potentiellement réussir à rester s’il dépose  un appel réussi au motif que l’expulsion violerait ses droits en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme ou les obligations du Royaume-Uni en vertu de la Convention sur les réfugiés.

L’appartenance d’Abouelela aux Frères musulmans ou à l’un de ses groupes affiliés a été révélée dans un reportage de 2019 sur sa détention à l’aéroport d’Atatürk par la chaîne d’information internationale arabe publique saoudienne Al Arabiya.

Les Frères musulmans sont considérés comme une organisation terroriste dans de nombreux pays, bien qu’ils ne soient pas interdits au Royaume-Uni.

Le rapport indique qu’il a quitté le Soudan pour la Turquie, mais qu’il risque d’être extradé vers la Turquie pour des « accusations explicites de terrorisme ».

Les autorités turques avaient initialement décidé de l’extrader avant de changer d’avis et de le libérer.

Durant son séjour en Turquie, il a publié à plusieurs reprises des messages religieux sur Facebook et a ouvertement critiqué le régime du président égyptien Abdel Fattah Saeed Hussein Khalil el-Sisi.

Abouelela a été détenu pendant au moins 72 jours à l’aéroport Atatürk d’Istanbul après le rejet de sa demande d’asile par les autorités turques début 2019. Il a contesté son extradition vers l’Égypte. Il a toujours une femme et un enfant vivant en Turquie, a-t-on appris au tribunal lors de son procès pour viol.

Dans un message, il décrit les membres des Frères musulmans comme ses « frères » tandis qu’un autre décrit comment il a été brièvement emprisonné en Égypte en 2015 par les « chiens » du régime d’el-Sisi.

Dans un autre message publié après son arrivée au Royaume-Uni, il a marqué le 11e anniversaire du massacre de Rabaa au Caire, lorsque El-Sisi, alors ministre de la Défense, a éliminé deux camps de partisans du président égyptien déchu Mohamed Morsi, tuant des centaines de civils.

Abouelela a fait référence à ceux qui sont morts le 14 août 2013, déclarant en arabe : « Oh Allah, fais de leur sang une malédiction sur leurs meurtriers ».

Les Frères musulmans ont été fondés en Égypte en 1928 et sont arrivés en Grande-Bretagne il y a environ 60 ans, bien qu’ils restent un ensemble de groupes vaguement associés plutôt qu’une entité unique.

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