Ci-dessous un article de Gigobleu à propos d’Israël qui mêle les croyances et l’histoire. Nous le publions pour ses rappels importants et nécessaires de l’histoire d’Israël, liée, ce n’est pas un hasard, à notre lutte contre l’islam. Nous ne sommes pas un site chrétien, chacun pourra laisser de côté les éléments de croyance en une divinité ou s’y intéresser pour une raison ou une autre, mais il est évident que pour nous ce n’est pas l’intérêt du texte.
Christine Tasin
Voici un article passionnant et tellement vrai qu’il a été impitoyablement confirmé par les faits tout au long de notre histoire.
Tous ceux qui s’en prennent à Israël et aux juifs finissent mal.
Quelques exemples non exhaustifs : Hitler, Nasser, Arafat et, pour la France, hélas, Charles De Gaulle. Après avoir pris clairement position contre Israël en 1967, De Gaulle a été destitué après mai 1968…
Comme c’est étrange ? C’est une grave erreur à mon sens de négliger les avertissements de théologiens chrétiens ou de rabbins qui ont un regard parfois « fulgurant » concernant les événements qui touchent Israël et son peuple. J’ai moi-même aussi étudié en théologie cette connaissance particulière et je peux dire que de toutes les matières auxquelles j’ai été confronté (mécanique, philosophie, sociologie, lettres, droit …) c’est, de loin, la matière la plus difficile à appréhender et toujours dans une démarche scientifique, avec précautions.
J’étudie les questions relatives à Israël depuis 60 ans et, jusqu’à présent, toutes mes intuitions ont été confirmées par les faits.
L’avenir d’Israël semble bien sombre aujourd’hui. L’ONU vient de voter à une large majorité en faveur de la Déclaration de New York qui appelle à la reconnaissance officielle de l’Etat de Palestine. Résultat : 142 voix pour, 10 contre et 12 abstentions. Parmi ces 142 voix pour, il faut compter bien sûr les 57 pays musulmans qui représentent ensemble presque la moitié de la population mondiale. Israël bénéficie encore, pour l’instant, du soutien des Etats-Unis (mais pour combien de temps encore ?). Concernant l’Europe, seule la petite Hongrie a voté contre.
L’article de Dreuz rappelle une intervention de feu le pasteur Jean-Marc Thobois qui a bénéficié du respect unanime des milieux protestants, catholiques et juifs.
Gigobleu
Dans une vidéo prémonitoire, intitulée « Le Complot des Nations contre Israël », visible sur You-Tube, le pasteur Jean Marc Thobois, malheureusement disparu en 2020, mentionnait la haine que vouaient les nations à Israël, comment cette haine était de nature maléfique et pouvait être sanctionnée par une malédiction.
Aujourd’hui, en 2025, après l’épouvantable pogrom du 7 octobre 2023 par le Hamas et les Gazaouis, nous assistons à un déchaînement de haine antisémite dans le monde, fondée sur les mensonges grossiers des pires terroristes, parce qu’Israël, soumis à des attaques terroristes systématiques et continuelles, d’une cruauté extrême, livre un combat existentiel, pour sa survie même, sur une aire géographique extrêmement réduite, le site de son très ancien royaume, face à un monde islamique qui s’étend sur 57 pays et sur un vaste empire forgé par une conquête brutale, par le sabre, de la moitié de la planète.
La campagne de haine gratuite actuelle qui libère une violence antisémite constante et quasi universelle est effective et révoltante.
L’exposé du pasteur est précieux, pour apporter des explication sur les enjeux, les mobiles sous jacents à cette haine générale de nature satanique et sur la possibilité d’une malédiction imposée aussi bien par une colère divine que par un pourrissement, une dérive, un égarement interne fatal.
Le pasteur citait le Psaume 83, Cantique. Psaume d’Assaf :
Le pasteur citait ensuite le verset 8 du chapitre 17 de l’Exode :
Les Amalécites survinrent et combatirent contre Israël à Rephidim. Moïse dit alors à Josué : « Choisis-toi des hommes et demain, sors combattre Amaleq : moi, je me tiendrait au sommet de la colline, le bâton de Dieu à la main. » Josué fit ce que lui avait dit Moïse, il sortit pour combattre Amaleq, et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline. Lorsque Moïse tenait ses mains levées, Israël l’emportait, et quand il les laissait retomber, Amaleq l’emportait. Comme les mains de Moïse s’alourdissaient, ils prirent une pierre et la mirent sous lui. Il s’assit dessus tandis qu’Aaron et Hur lui soutenaient les mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre.
Ainsi les mains restèrent fermes jusqu’au coucher du soleil. Josué défit Amaleq et son peuple au fil de l’épée. L’Éternel dit alors à Moïse : Ecris cela dans un livre pour en garder le souvenir, et déclare à Josué que j’effacerai la mémoire d’Amaleq de dessous les cieux. » Puis Moïse bâtit un autel qu’il nomma l’Éternel, mon étendard, car dit il : La bannière de l’Éternel en main ! L’Éternel est en guerre contre Amaleq, de génération en génération.
Le pasteur continua ainsi : « il y a dans le monde une haine étrange, unique en son genre, qui se transmet de génération en génération, depuis la nuit des temps, jusqu’à nos jours. Cette haine, c’est la haine d’Israël…. Il y a derrière cette haine, une puissance maléfique, la puissance de Satan. ».
Il expliqua que pour les nations, l’élection d’Israël était insupportable, alors qu’Israël était justement élu pour transmettre la bénédiction divine à toutes les nations, comme un service, Israël étant le canal de la bénédiction universelle de Dieu pour le monde entier, depuis le Mont Sinaï, la révélation du Décalogue et de la Torah, à l’origine de la civilisation de Justice et de Liberté dite « Monde Libre »…
Cette observation d’une haine étrange et unique est particulièrement pertinente en 2025, alors qu’Israël est universellement condamnée pour avoir le culot de livrer héroïquement un combat existentiel contre une ligue de milices terroristes inhumaines, prêtes à sacrifier leur propre population dans le but clairement annoncé, encore et encore, de détruire l’indépendance juive sur le site même, très réduit en surface, de son ancien royaume de David et Salomon, pour faire finalement triompher le Djihad totalitaire, inégalitaire, cruel et violent, sur la terre entière, le monde islamique s’étendant déjà sur 57 pays et la moitié de la terre.
De nombreuses nations chrétiennes ou ex-chrétiennes, à l’exception des USA et de quelques autres, dont la Hongrie, la République Tchèque et l’Argentine, s’empressent étrangement de reprendre mot pour mot les mensonges grossiers du Hamas, et prétendent, menées par le lamentable Macron, imposer un état terroriste judenrein (interdit aux juifs), prétendument « palestinien », en plein cœur du minuscule état d’Israël, pour sa fin certaine, dans une boucherie terroriste annoncée et claironnée : « 100 fois, 1000 fois le 7 octobre 2023. ».
L’établissement, en Judée-Samarie, à Gaza et à Jérusalem, d’un tel état terroriste, entièrement dédié et exclusivement consacré à la destruction de l’indépendance juive, serait un arrêt de mort pour Israël.
En soutenant ainsi les milices terrroristes et tortionnaires, Hamas, Djihad Islamique, Hezbollah, Houtis, Corps des Gardiens de la Révolution Islamique, etc… dans leur projet génocidaire contre Israël, les nations rejoignent et prennent le parti risqué d’Amaleq, qui fut « vaincu par la bannière de l’Éternel », et dont « la mémoire fut effacée de dessous les cieux. »
En refusant l’enseignement de Dieu d’avoir à bénir Israël afin de recevoir la bénédiction divine, en s’en privant ainsi, elles s’attirent au contraire une malédiction.
Le pasteur cita ce commentaire du Psaume 2 : « ….Pour châtier les nations, le Souverain Maître du Mmonde attend qu’elles aient mis le comble à leurs péché …».
Le pasteur constata que la France, par exemple, était, déjà en 2018, et c’est encore plus vrai aujourd’hui en 2025, en ruines, ridiculement et haineusement divisée, tragiquement égarée, ingouvernable, enlisée dans un désordre caricaturalement ubuesque, endettée au delà du supportable, la risée des nations, inexistante, se mordant la queue et comme vraiment porteuse d’une forme de malédiction.
Il en était bien sûr très triste, car français, il aimait son pays.
D’ou vient cette malédiction ?
L’église a enseigné à la France le mépris et la haine des juifs et du judaïsme pendant les siècles, ce qui l’a menée à se déshonorer dans une longue succession de calomnies abominables, de persécutions, de pogroms, d’exclusions, de spoliations, de crimes abjects, dont par exemple la rafle du Vel d’Hiv de 42, avec hommes, femmes et enfants brutalement entassés dans des wagons à bestiaux, et lancés vers les camps nazis de la mort et leurs chambres à gaz.
Un enchaînement particulier d’événements a, depuis quelques décennies, enfermé la France dans une glissade maudite.
Le grand patriote Mendès France, homme sincère et intègre s’il en fut, avait, en tant que chef du gouvernement, extirpé la France du bourbier vietnamien avant de négocier, en défendant les droits des Français, l’autonomie interne de la Tunisie avec Habib Bourguiba, extrait par lui de sa geôle.
Il s’activa ensuite pour mettre en place une solution pacifique au défi algérien, par des contacts et entretiens poussés avec des personnalités algériennes modérées et francophiles, pour une forme de partenariat à définir par des compromis de part et d’autre, et à développer activement pour le bien de tous, sur cette terre qui avait été une terre chrétienne, avec un plus grand nombre d’églises qu’en Europe, avant la conquête arabe du 7ème siècle .
En plein effort dans ce processus laborieux et complexe, il fut insulté à l’Assemblée Nationale, traité de « .. ..Sale juif !… » et mis en minorité le 6 février 1955.
Finalement, le travail de Mendès France pour la Paix une fois ainsi brutalement interrompu, les hostilités se déchaînèrent et l’Algérie et la France sombrèrent dans un cruel conflit.
La guerre qui s’ensuivit mit au pouvoir les forces algériennes les pires, les plus violentes, fanatiques et corrompues, qui spolièrent, massacrèrent et chassèrent les Français jusqu’au dernier, faisant de l’Algérie indépendante un ennemi acharné de la France, détestée, offensée et accusée, encore de nos jours, de tous les maux dont souffre ce pays dictatorial, en état d’autodestruction par le pillage de ses immenses ressources minières par une petite clique corrompue et violente.
La crise nationale majeure qui s’ensuivit en France remit au pouvoir Charles de Gaulle, appelé en 58 comme homme providentiel.
De Gaulle avait certes agi héroïquement lors de la 2ème guerre mondiale, pour faire figurer la France parmi les vainqueurs, malgré la défaite de 40.
Mais il inaugura dès son retour au pouvoir une politique résolument pro-arabe et anti-israélienne, allant jusqu’à condamner Israël pour s’être victorieusement défendue en juin 67, contre une coalition arabe qui pensait balayer facilement l’unique état juif au monde.
La coalition était menée par Nasser, qui établit un blocus naval, acte de guerre, exigea le retrait des forces d’interposition onusiennes présentes dans la péninsule du Sinaï, y massa ses innombrables chars soviétiques aux frontières d’Israël, tout en promettant de « jeter les juifs à la mer » avec force gesticulations, devant des foules hystériques.
Avec sang froid, détermination et minutie, Israël mit par bonheur les agresseurs en déroute.
De Gaulle accusa alors injustement les juifs d’être un peuple « sur de lui et dominateur » pour avoir simplement agi pour survivre aux rodomontades belliqueuses de Nasser et à ses aventures guerrières !
Il instaura un embargo sur les armes à destination d’Israël, en retenant même des vedettes qu’Israël avait entièrement payées.
Il renforça et justifia ainsi, par sa critique d’Israël, l’hostilité et la haine arabo-musulmane contre l’Etat juif, désigné injustement comme agresseur, en jetant en somme de l’huile sur le feu, en avivant le conflit au lieu de contribuer à sa solution.
Le Quai d’Orsay a depuis conservé la même ligne pro-arabe systématique, votant aux Nations-Unies avec les pires dictatures rétrogrades et corrompues de la planète et contre la démocratie plurielle et créative israélienne.
La France a donc ainsi choisi de suivre obstinément le parti d’Amaleq, d’affronter l’étendard de l’Éternel, contre Israël, à chaque occasion, au risque de s’attirer la malédiction clairement annoncée par le verset de la Bible, et par le simple bons sens…
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Rien de nouveau : Déjà, François 1er avait pactisé avec les turcs contre Charles Quint, en découla le 1er siège de Vienne en 1529 qui fut sauvée par une résistance héroïque. Pour l’anecdote, le Mossad (?) vînt lui-même chercher la nuit du 24 décembre 1969 dans le port de Cherbourg les vedettes payées d’avance mais refusées par le grand corniaud De Gaulle, ridiculisant ainsi, une fois de plus, la France et ses « dirigeants ».
Et ne pas oublier Adolph Eischmann, criminel nazi de la pire espèce,….carapaté en Argentine. Le Mossad l’a traqué pendant des mois, kidnappé et embarqué en douce dans un avion d’ElAl via Israel, jugé et pendu en 1961 !
Ce sont les représentants des pays qui ont voté pas leurs peuples. Mis à part la Hongrie tous ces dirigeants sont des vassaux du Qatar et autres pays de la sphère musulmane. La toile d’araignée islamique qui s’est abattue sur l’Europe avec la complicité de tous les dirigeants européens corrompus c’est à vomir.
Jusqu’aux papes, qui décrivent les migrants comme des êtres affamés d’amour, en quête d’un toit et d’affection. Leurs prises de position sont incompréhensibles. Ils doivent fumer de l’encens. l’Église catholique le paie elle aussi par une désaffection constante de la part des Français, et le nombre de prêtres qui va décroissant. Il n’y en aura bientôt plus. l’Église a considéré à tort les juifs comme des christicides. Et je ne suis pas certain que cette idée n’est plus présente dans l’esprit de certains de ses représentants.
C’est notamment pour ça que Zemmour et d’autres ne pourront sans doute jamais être au pouvoir en France.
la haine de tous ces antisémites est à la mesure de leur médiocrité : ce qu’ils détestent depuis toujours c’est le courage, le talent, l’intelligence, la supériorité intellectuelle du peuple juif qui les renvoient à leurs piètres performances – ces haineux ne pensent alors qu’à sa destruction
Pas trop mal aux chevilles, camarade? Si l’éviction du Général de Gaulle en 1969 leur est imputable, cet « exploit » n’est pas glorieux et lourd de conséquences pour eux-mêmes, comme on le constate actuellement avec la montée l’antisemitisme nauséabond en Occident. L’arroseur arrosé ?