Qui, bientôt, annoncera de Corse :  Ici Bastia ! Les Français parlent aux Français ! »  ?

Vu le nombre de plus en plus nombreux d’agressions contre notre culture française et, tragiquement, contre nous Français, surtout depuis les deux dernières présidences de la République Française, quel est le Général encore inconnu qui,  l’an prochain, ou le mois prochain voire demain, après avoir quitté l’Hexagone à bord d’un bateau de pêche, débarquera en Corse ?

Pourquoi en cette île de Beauté ? Parce que les Français qui y vivent savent dissuader les « fouteurs de troubles » d’y « foutre la merde », pour ne pas dire plus ! La Corse où ce Général sera attendu dans une station de radio mais aussi, époque oblige, dans une chaîne de télévision !…

Mes confrères journalistes ayant déjà classé ce Général dans la catégorie « extrrrêm’ -drrroit’ », ce ne sera surtout pas une chaîne d’État dont les journalistes-fonctionnaires auront déjà veillé à ce que la « bien pensance » ne soit, précise leur communiqué, « nullement entachée par l’intervention des plus incongrues d’un tel général », qualifié de « factieux » et évidemment « déjà à la retraite » !

D’ailleurs, il n’y a eu ni bousculade, ni enchères pour savoir quelle station radiotélévisée aurait l’honneur de le recevoir : ce fut le tandem privé « Cnews-Europe1 » du « fasciste » Bolloré, comme les chaînes publiques le qualifient ! C’est lui, le seul et unique, qui, à ce Général, a aussitôt ouvert largement ses portes et longuement ses micros : ceux de CNews et d’Europe1 !
Accord donc du milliardaire Vincent Bolloré mais refus désapprobateur d’un autre milliardaire Matthieu Pigasse qui, lui, préfère non la libération de notre France de l’emprise des « internationalistes » mais plutôt le quotidien si proche des terroristes du Hamas… Libération !

Le Général « factieux » choisira la seule région française où les envahisseurs anti-France n’osent s’y rendre… Pourtant la plupart sont Français ! Mais ils n’aiment pas la « France française » préférant cette aberration que serait une « France internationaliste » ! D’ailleurs, mercredi, lors des pâles manifestations détournées par Mélenchon et ses LFI, ils y arrachaient les quelques drapeaux tricolores même (ou « parce que… » tant ils sont lâches et pleutres), même tenus par des personnes âgées ! Cela dans une manif où, eux, sont fiers de brandir des drapeaux étrangers chers à des terroristes du Hamas !

Voilà pourquoi, demain ou le mois prochain ou dans un an, il ne serait pas étonnant qu’un Général annonce, le ton solennel, aux micros d’une radio mais -époque oblige- également d’une chaîne de télévision, naturellement toutes deux relayées par les circuits de réseaux sociaux :
« Ici, Bastia ! Les Français parlent aux Français ! »
Et entrant aussitôt dans le vif du sujet :
« Les chefs d’État qui, depuis 1981, sont à la tête des armées françaises, ont formé des gouvernements alléguant la défaite de nos institutions au profit des islamistes… à commencer par les corps de défense et de sécurité que sont la Gendarmerie et la Police peu aidées par nos gouvernants dans leurs missions au service de la protection des Français par certains juges peu rigoureux à l’adresse des fauteurs de troubles ! »
« Les autorités en poste actuellement se sont mises en rapport avec l’ennemi pour cesser le combat. Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force idéologique de nos ennemis aidés par des citoyens français ne pensant qu’à leur bénéfice électoral. »
« Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ?… NON ! »
« Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire. »

D’autant que « la France n’est pas seule ! Elle-n’est-pas-seule ! Elle peut utiliser sans limites l’immense industrie des Etats-Unis. »

D’autant que…
« Cette guerre n’est pas limitée au territoire de notre malheureux pays. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances n’empêchent pas qu’il y a, dans l’univers, tous les moyens pour écraser un jour nos ennemis. »

Cela même si ces ennemis se servent de certains Français qui s’égarent en se persuadant que leurs Frères venus d’ailleurs vont les mener au pinacle alors que, au lieu de bonheurs, d’honneurs et de faveurs, ces Français n’auront que malheurs, déshonneurs et disgrâces… Et le « factieux » poursuit : 

« Le destin du monde est là. Moi, général français et fier de l’être, actuellement à Bastia, j’invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire corse ou dans notre chère Outre-Mer… ou qui viendraient à s’y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j’invite les ingénieurs et les ouvriers spécialisés des industries d’armement ou en informatique voire en l’Intelligence Artificielle, qu’ils se trouvent en Corse ou qui viendraient à s’y trouver, à se mettre en rapport avec moi ! »
Car, conclura ce Général… « Quoi qu’il arrive, la Flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas ! »
Puisque… « Demain, comme aujourd’hui, je parlerai à la radio de Bastia ! »

Cela dit… entre nous, plutôt qu’un Général arrêtant les tirs aux buts, genre Général de Goal, espérons plutôt que les prochaines élections législatives ou présidentielles nous offriront la possibilité d’une éclatante voire d’une écrasante majorité de droite -et dès le « centre droit » !- avec une importante part « très à droite » où je me classe refusant le terme « d’extrême-droite » que je rejette !

Jacques MARTINEZ, journaliste,  à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

-(1) Texte intégral de l’appel à Londres du Général de Gaulle le 18 juin 1940… Date qui me rappelle un tournant dans ma vie personnelle : pour le 22e anniversaire de ce discours, le 18 juin 1962, j’étais, à 16 ans, dans un avion militaire de transport de troupes, avion qui nous arrachait…  -mes frères et moi, nos parents n’ayant pu partir que peu avant l’indépendance- définitivement de notre Algérie Française natale ! Je suis né, comme l’atteste ma carte de sécu, dans le « 91 », le département… d’Alger, numéro devenu depuis celui de… l’Essonne !
Cette Algérie française qui , surtout, fut bradée à des terroristes, auteurs d’assassinats de musulmans et de chrétiens -dont des milliers d’enfants et, parmi eux, de deux de mes copains d’école primaire-. Elle fut bradée -avec, en prime, les départements pétroliers français du Sahara- par le Président de la République d’alors -grâce au coup d’état de 1958- : un certain … Charles de Gaulle !
https://www.cher.gouv.fr/contenu/telechargement/12058/81263/file/Appel+du+18+juin+1940.+de+Gaulle.pdf 

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