Boualem Sansal… KARIM ZÉRIBI en rajoute une couche dans la presse algérienne !!!

Débusqué par l’ hebdo Marianne, le caméléon Zéribi, saute mouton médiatique 
de chaîne en chaîne, de plateaux radiophonique en escapades politiques ou
syndicalistes, de la SNCF à la présidence de la RTM (métro de Marseille), ce 
« personnage publique instable », disert et hâbleur, autrefois condamné en justice, 
et incrusté partout, ne nous manquait plus que dans « le rôle » de pantin tebbounien 
pour qu’enfin nous soit révélée sa réalité profonde  quand il endosse le rôle du 
Juda de la farce, marionnette maghrébine infiltrée, traître à la France et à ses valeurs !
Juvénal
Karim Zéribi a été élu politique, cadre de la SNCF ou encore président de la Régie des transports de Marseille. Il a fondé en mars 2024 le « Conseil mondial de la diaspora algérienne ».
Frederic MUNSCH/SIPA
Alors que Paris et Alger s’enlisent depuis plus d’un an dans une confrontation diplomatique sans précédent, les passes d’armes dépassent désormais le cadre institutionnel. Dans les médias, des voix comme celle de l’ancien eurodéputé Karim Zéribi relaient et amplifient un climat de défiance réciproque.

Les passes d’armes entre l’Algérie et la France ne se font pas uniquement au plus haut sommet de l’État. Empêtré depuis plus d’un an dans une crise diplomatique sans précédent, Emmanuel Macron avait, le 6 août dernier, affirmé passer à l’étape supérieure en choisissant l’épreuve de force. Il avait demandé à son Premier ministre, François Bayrou, que la France agisse avec « plus de fermeté et de détermination » vis-à-vis de l’Algérie.

Le lendemain de ces déclarations, Alger avait rétorqué, soulignant que la France était l’unique responsable de cette crise bilatérale, en raison de la reconnaissance par la France, de la souveraineté du Maroc sur le Sahara-occidental, en octobre dernier. Cette guerre diplomatique entre Paris et Alger s’observe également dans les médias, où divers défenseurs de l’un des deux partis n’hésitent pas à prendre la parole pour défendre leur bout de pain, au risque d’envenimer la situation ?

DES LIENS AVEC LE POUVOIR ALGÉRIEN

Ce 18 août, dans un entretien accordé au quotidien généraliste algérien El Moudjahid, l’ancien député européen Karim Zéribi ne mâche pas ses mots et critique l’attitude des politiques français de manière acerbe. Il dénonce, au sein d’une partie de la classe politique française « un fond de nostalgie coloniale, une islamophobie décomplexée et un racisme assumé », et se dit « choqué » du silence d’Emmanuel Macron (de quel silence parle-t-on ?) qui équivaudrait à donner une « caution aux extrêmes ».

L’ancien député reproche en outre à la France de ne pas respecter l’Algérie, contrairement à d’autres pays tels que la Russie, la Chine, l’Italie ou encore l’Allemagne, qui eux considèrent l’Algérie « comme un partenaire stratégique », à juste titre, selon lui. Paris ne pourrait s’empêcher de « s’accrocher à ses vieux réflexes coloniaux », ce qui constituerait une « faute historique ».

Né à Avignon d’une mère franco-algérienne et d’un père algérien, Karim Zéribi, après avoir été élu politique, cadre de la SNCF ou encore président de la Régie des transports de Marseille, a fondé en mars 2024 le « Conseil mondial de la diaspora algérienne », dont le but est de « permettre aux Algériens d’être plus forts et plus respectés ». Une initiative lancée sous les conseils répétés du président algérien Abdelmadjid Tebboune, selon l’aveu même de son fondateur.

Les liens entre Karim Zéribi et le pouvoir algérien semblent sans équivoque. « Cela fait plusieurs mois que le président de la République Abdelmadjid Tebboune lance des appels à la diaspora algérienne installée partout dans le monde », déclarait-il, à l’occasion d’un entretien donné au premier média francophone algérien sur Internet, TSA.

JUSTIFICATION DE L’EMPRISONNEMENT DE BOUALEM SANSAL

Et c’est donc sans surprise que ce dernier avait justifié l’arrestation par le pouvoir algérien de l’écrivain Boualem Sansal, déclarant dix jours après son incarcération : « Il faut aujourd’hui que les gens de paix, les gens positifs, les gens qui veulent se respecter, s’unissent et mettent à mal ces Boualem Sansal pseudos écrivains islamophobes qui propagent la haine (…) Je dis que l’Algérie devrait lui interdire de rentrer sur son sol car il insulte ce pays et peut-être le déchoir de sa nationalité. »

Ces échanges d’accusations, entre diatribes politiques et relais médiatiques, montrent que dans ce contentieux diplomatique, chaque mot devient une arme. Dans ce climat déjà inflammable, émergent des figures comme Karim Zéribi, qui jouent à la fois un rôle de porte-voix d’une partie de la diaspora et de relais du pouvoir algérien. Reste à savoir si cette guerre de récits, qui risque de s’installer durablement, ne va pas un peu plus fracturer les relations entre les deux pays.
Juvénal de Lyon  
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SULFUREUX, AMBITIEUX ET INCONSISTANT, ZERIBI HOMME LIGE DE L’ ALGERIE
(1) Grâce à ses protecteurs de la sphère politico-médiatique, Karim Zéribi a eu des postes très influents en tant qu’élu politique, cadre de la SNCF ou encore président de la Régie des transports de Marseille. Condamné à trois ans de prison avec sursis et à une privation de ses droits civils pendant cinq ans, ce fan de football a cherché d’autres sources de revenus, en se lançant notamment dans le conseil. Ses nouvelles ambitions l’amènent à fonder un « Conseil mondial de la diaspora algérienne », dont l’objet est de « permettre aux Algériens d’être plus forts et plus respectés ». Étrange, pour celui qui a récemment justifié l’arrestation par le pouvoir algérien de l’écrivain Boualem Sansal.

Pour ceux qui ont acquis de longue date l’art de dribbler, au point que cerner leurs convictions zigzagantes pourrait apparaître hasardeux, l’actualité peut les aider à nous dire qui ils sont vraiment. C’est le cas de Karim Zéribi, après qu’il a justifié l’arrestation par le pouvoir algérien de Boualem Sansal.

Ce passionné de football est né à Avignon en 1966 d’un mariage franco-algérien. Il rêve de devenir footballeur professionnel, mais une blessure l’en empêche. Un temps syndicaliste CGT à la SNCF, signe d’un engagement plutôt à gauche, Karim Zéribi doit son envol à sa rencontre en 1998 avec Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur en déplacement à Marseille. Dans la rue, Zéribi lui fait part de son admiration. Son bagout séduit le « Che », qui voit en lui la preuve que ses thèses républicaines plaisent aux jeunes issus de l’immigration.  Marianne

Juvénal de Lyon   /   LIBÉREZ BOUALEM SANSAL
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14 Commentaires

  1. en france ce triste sir fait la promotion de l’algérie et des algériens et aide à leur installation combative : l’Etat gauchiste l’a promu et le laisse faire depuis 50 ans malgré ses condamnations, pourquoi se gênerait-il ? peut être d’ailleurs se voit-il prochain président de la république française !

  2. Karim Zeribi est certainement le porte parole du gouvernement algérien ; en France il est très soutenu en haut lieu par des juges de gauche puisqu’il a échappé comme son fils à une peine de prison ferme eu égard à ses malversations. Les Algériens ont obtenu l’indépendance puis ils sont venus par millions en France, incapables de gérer leur pays qu’ils ont ruiné malgré les héritages qu’ils ont eus. Le gouvernement français au lieu de leur interdire de s’installer en France et de bénéficier de toutes les aides, a signé l’accord de 1968 leur octroyant des avantages, regroupement familial, priorité pour les emplois, pour les logements, retraites, sécurité sociale, etc. Zeribi devrait les enjoindre à retourner en Algérie pour aider au développement économique du pays. https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4166749/le-fils-de-karim-zeribi-libere.html
    https://www.franc-tireur.fr/karim-zeribi-le-guide-du-roublard
    https://www.bvoltaire.fr/quand-des-algeriens-profitent-des-accords-de-1968-pour-rester-en-france
    https://www.cleiss.fr/docs/textes/conv_algerie.html

  3. Encore un député européen dont on ne sait absolument pas ce qu’il a fait à Bruxelles. En tous les cas il a droit à une belle retraite qui lui permet de voir l’avenir avec sérénité.

  4. Est ce que la bécasse Ferrari sut Cnews continuera de l’inviter et être en pamoison devant son petit chouchou ?…en Suisse, une même dinde (Mamarbachi) d’origine iranienne était aussi fascinée par l’ordure Tarik Ramadan !…il semble vraiment que certaine de ces pintades sont attirée par ces crevures !?

  5. – Sansal a été haut fonctionnaire au Ministère algérien de l’Industrie et des Mines où il a occupé le poste important de Directeur de l’Industrie. À ce titre, il a bénéficié durant toute sa carrière de privilèges importants uniquement servis aux hauts fonctionnaires de l’État, c’est-à-dire logement gratuit de haut standing, voiture avec chauffeur et garde rapprochée.
    – Il a pris sa retraite en Algérie qui est plus que confortable puisqu’elle est servie par le Fonds Spécial des Retraites qui ne concerne que les hauts cadres de l’État.
    – Il a vécu toute sa vie en Algérie et même lorsqu’il s’est établi en France, il rentrait périodiquement en Algérie avec son passeport algérien.
    -Il n’a jamais été critique envers le pouvoir algérien puisqu’il en a longtemps fait partie.
    – Il a été condamné pour atteinte à l’intégrité territoriale de l’Algérie, délit puni par la Loi algérienne.
    Enfin, en cas de litige, c’est la nationalité d’origine qui prime sur la nationalité acquise selon le droit international .

  6. voici quelques vérités sur Sansal qu’aucun des médias Bolloré ne dit et que vous pouvez vérifier si vous voulez bien vous donner de la peine :
    – Boualem Sansal est né en Algérie.
    – Il a grandi en Algérie.
    – Il a été algérien pendant 74 ans et seulement franco-algérien depuis 1 an seulement.
    – Il a fait ses études en Algérie.
    – Toute sa carrière professionnelle s’est déroulée en Algérie.

    • Et alors ? il a fait ensuite le choix de la France, choix qui nous honore et il est devenu français, ça vous dérange ????

  7. qu il reste en algérie le traitre ! mais voila il n aurait pas sa retraite de deputé dans son beau pays et tous les avantages qu il a en FRANCE !
    espece de rat kaille §

  8. Mère algérienne naturalisée française, père algérien.
    Ça n’est pas Français, c’est un droit du sol.

  9. Chevènement, ce n’est pas une référence en soi. Je n’ai jamais su ce qu’il voulait vraiment. Le sait-il lui même ? Quant à Biribi, euh Zerbibi ou Zéribi peu importe, ce type me met mal à l’aise. J’ai l’impression à chaque fois de voir un des aides du Diable.