Le 7 octobre où tout a basculé – Kichka (Israël)
Le 7 octobre 2023, des milliers de Gazaouïs ont envahi toutes les localités du sud israélien, massacrant, pillant, brûlant tout ce qui se trouvait sur leur chemin.
Avant d’enquêter et pointer le doigt sur les « coupables de cet échec dernier », nous devons tous faire un recul/rétrospection vers les années 2006, lorsqu’un soldat de l’armée israélienne et citoyen franco-israélien, Gilad Shalit est capturé le 25 juin 2006, par un commando d’arabo-Palestiniens à Kerem Shalom. Ehud Oulmert, premier Ministre israélien en ces années-là, se vit contraint d’entamer des négociations pour sa libération, suite à son incapacité militaire de le libérer – « Opération Pluies d’été ».
Le 11 octobre 2011, le gouvernement israélien de Benyamin Netanyahou approuve une proposition de libération. Shalit est libéré le 18 octobre 2011 contre 1027 prisonniers palestiniens dont Yahya Sinwar (L’architecte du massacre du 7 octobre 2023), sous la médiation égyptienne… Il faut aussi signaler que la famille de Shalit épaulée par la Gauche politique, avait mené une campagne imbattable contre le gouvernement, le forçant à accepter un marché qui non seulement, exposait la faiblesse de l’État, mais aussi et surtout faisait de tout Israélien, civil ou militaire, une proie invitante. Le danger de voir ces 1027 prisonniers regagner les rangs de la terreur était évident à tous : Gouvernement et citoyens. Faiblesse du chef d’État et désinvolture envers ses concitoyens.
Les gouvernements successifs après ce dit fiasco, ont de fait, fermé les yeux sur l’escalade ahurissante de la situation sécuritaire autour de la bande de Gaza. Les pluies de roquettes faisaient dorénavant partie de leur quotidien… Les ballons incendiaires aussi, sans mentionner la proximité des bédouins, leurs infractions, meurtres… entre heurts et malheurs.
La population du sud israélien eut beau plaider sa cause auprès des premiers Ministres successifs, elle n’eut droit qu’à une apathie accablante. Il semblait alors, en ces temps-là, que la forteresse de la bande de Gaza était imprenable… En parallèle, ce bubon cancéreux grossissait à vue d’œil.
Lorsque la première roquette du Hamas s’écrasa sur le sol de Jérusalem et le centre de Tel-Aviv – là où siège la crème de la société israélienne – ce fut le moment précis où la gauche décida d’y ajouter son grain de sel… Tout d’abord par des reproches/accusations envers le chef d’État opérant :
Les Gazaouïs ne travaillent pas, n’ont pas les moyens suffisants pour subsister… Il faut ouvrir les frontières et leur permettre l’accès aux opportunités ouvrières chez les Israéliens. Il faut aussi subventionner les Arabes d’Israël afin de les intégrer… une pluie de milliards de shekels remis au parti arabe Ra’am avec à sa tête Mansour Abbas, qui se chargea de détourner ces fonds vers le Hamas et consorts.
Il faut traire la vache, tant qu’elle est consentante.
Sitôt dit, sitôt fait. Les gazaouïs vinrent en grand nombre travailler dans les champs des kibboutzim, des mochavim, limitrophes de Gaza… partout. Ce que personne n’a osé vérifier, était leur fiabilité. Ces ouvriers eurent pour ainsi-dire l’occasion de glaner des informations précises sur les locations israéliennes du Sud, tandis qu’en Judée et Samarie, la même stratégie se perpétuait en silence.
Toujours sous l’influence de la gauche pacifiste, le gouvernement permit au Qatar de venir déverser ses millions de dollars à Gaza et même ailleurs, car apparemment, il y eut une distribution de pots de vin au sein d’un grand nombre de services sécuritaires… que nulle personne n’a osé vérifier. La gauche avait de facto, fait main-basse sur toutes les institutions principales : motus complet.
Mais en fait, qu’importe, Israël n’a-t-il pas fermé les yeux sur toutes ces ONG qui infestent l’État, le financement des pays d’Europe, des USA, de l’UNWRA… Il faut croire que le pays entier jouait à la « Belle au bois dormant ».
Pour le Qatar, comme pour l’Égypte, cette situation de sédation leur convenait. Comment laisser passer une opportunité de cette taille et ne pas renforcer les groupes de terroristes de Gaza ? Car en fin de compte, aucun Arabe qui se respecte ne veut d’une entité juive dans sa proximité. Paix et guerre ne sont-elles sœurs jumelles ?
Il aurait fallu d’abord qu’Israël définisse ses ennemis pour les bloquer, ou au moins, les défaire… Or, tant que le violon de la Gauche israélienne continue d’égrener ses notes de musique vers la création d’un État palestinien et flirte impunément avec le grand chef indien, Mahmoud Abbas de l’Autorité palestinienne, qui maintient derrière les coulisses, la terreur et la finance avec l’argent israélien, européen, américain, en payant des salaires aux terroristes prisonniers et leurs familles, rien ne se fera.
Et rien ne se fit.
L’État d’Israël perpétua sa phase d’incubation avant d’accoucher du massacre du 7 octobre, 2023. C’était clairement prévisible.
Dans ce cas les coupables sont : Les chefs d’État, leurs gouvernements, les services secrets, le Mossad, l’armée, ses généraux… et les manifestants qui, par leur insistance, leur obstination pour la création d’un État laïque, avaient omis de prendre en considération leur condition présente, leur vulnérabilité et surtout leur responsabilité envers leurs concitoyens.
« Tu portes en toi la responsabilité envers l’autre, tout comme il la porte envers toi » L’expression « nous sommes responsables les uns des autres » fait référence à la responsabilité mutuelle que chaque personne a envers l’autre, en particulier au sein d’un groupe ou d’une communauté.
Dans ce domaine, nous sommes tous coupables.
Nous nous sommes tus trop longtemps, lorsque les roquettes nous tombaient dessus au lieu de mener une campagne digne de celle que la Gauche mène sans interruption à ce jour.
Nous aurions dû démanteler le système judiciaire corrompu et tyrannique.
Nous aurions dû exiger la punition et la peine capitale pour les terroristes ayant du sang sur les mains, au lieu de leur offrir un hôtel à cinq étoiles, comme prison.
Nous aurions dû affirmer notre patriotisme, notre fidélité à notre foi et à notre identité…
Et tant d’autres choses et éléments que nous avons, par laxisme, fatigue, ou simplement érosion, omis de traiter avant qu’ils ne s’accumulent au point de nous contraindre à tout abandonner…
Coupables, tout comme le sont à l’heure actuelle, tous ces pays d’Europe, le Canada, les USA, l’Australie qui se laissent envahir et déposséder de leurs terres/patries par un islam radical.
Thérèse Zrihen-Dvir
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On a les mêmes à la maison. Tous les jours des Français tombent sous le couteau des mêmes, des Françaises sont violées puis tuées, dans l’indifférence générale.
Et les dhimmis de compétition de la gauche française, collabos, bobos, zartistes et zélites nous serine toujours et encore que le multiculturalisme et le vivre ensemble est possible et nécessaire. Être cons à ce point c’est de la trahison et relève de la cours martiale.
Vraiment dommage que les Européens ne fasse pas le parallèle .
Trop de gens aveuglés par la haine d Israël hélas !